Derniers Avis : Mission 3D Spy kids 3 - Page 2

La 3D est pas mal du tout (du moins sur le Blu-ray 3D, avec les lunettes en carton je ne sais pas), le film nous propose un bon paquet de sorties d'écran pour le fun, et ça j'adore ! En revanche le métrage en lui-même n'est pas top, le scénario me semble en effet très brouillon au point d'être assez ridicule (même pour un film destiné à un jeune public) et à part la 3D le seul autre véritable intérêt de ce troisième Spy Kids réside dans le casting qui est plutôt étonnant pour un métrage de ce type (Sylvester Stallone, Antonio Banderas, Salma Hayek, Danny Trejo...) !

Le Spy Kids sont calibrés pour plaire à la jeunesse qui rêve de devenir espions. Sur ce troisième opus, on est au coeur d'un jeu vidéo à l'image de TRON et les épreuves se succèdent. L'intérêt du film pour ma part a été de voir les clins d' oeil de grand acteurs pour Robert Rodriguez. Ce n'est pas grand film mais ça se regarde.

Peut etre pour les enfants... mais une deception de la part de robert rodriguez.

Le "Spy Kids" de trop avec un Robert Rodriguez qui semble avoir pris le melon en abusant trop d'effets numèriques qui font mal à la rètine! C'est simple, les producteurs ont un peu oubliè l'histoire avec un metteur en scène qui n'en a cure! Au final, sans saveur ni rèelle structure narrative (il y en a que pour la 3D qui rend pas mal de scènes ratèes du fait de l'impossibilitè de visionner le mètrage dans les conditions adèquates), qui pâtit, en plus, de la stupèfiante absence de mètier des interprètes (la jeune Courtney Jines est malgrè tout convaincante) dont le pauvre Sylvester Stallone obligè de se ridiculiser en acceptant de jouer Toy Master! Histoire d'enfoncer le clou, "Spy Kids 3-D: Game Over" a coûtè 38 000 000 de dollars! Pire encore, une quatrième mouture a vu le jour en 2011 et reste disponible uniquement sur internet! Bref, ce troisième opus de la franchise "Spy Kids" est bâclè d’un bout à l’autre avec un scènario vide et un Ricardo Montalban en roue libre qui fait peine à voir en grand-père (le sèducteur mexicain embauchè par la M.G.M pour servir de partenaire à Esther Williams en prend ici pour son grade notamment quand il enfile sa tenue de « cosmonaute »). Rodriguez se rattrapera heureusement deux ans plus tard avec le très brillant "Sin City"...

Les années 2000 ont marqué un tournant dans la vie artistique de Robert Rodriguez : après avoir tourné The Faculty et produit les éternelles suites d'Une Nuit en enfer, il a découvert les joies nouvelles de la réalisation numérique, annonçant son virage futur vers le tout en 3D dès la débâcle Spy Kids 2. Revient à cette conclusion de trilogie la tâche difficile d'aller encore plus loin dans le délire, ce troisième épisode décidant, cette fois, de tourner plus de la moitié de son film dans des décors entièrement artificiels.

Et si l'on passera outre les invitations faîtes au spectateur pour qu'il mette ses lunettes (sûrement est-il trop stupide pour comprendre), le premier niveau de ce jeu-vidéo mêlant 3D pure et live-action drôlement incrusté pourra choquer la rétine : entre effets sonores datés (l'on croirait écouter des bruitages de vieux jeux de Play One) et design des décors douteux, les plus fragiles d'entre nous frôleront la crise de nerf s'ils ne parviennent pas à s'adapter à ces décors hauts en couleurs et pétaradants d'excès imaginatifs, à l'instar de ce fameux premier niveau où les personnages bondissent sur des genres de marteaux piqueurs à propulsion, et qui affichera une gestion de l'espace et de la hauteur purement affreuse.

Heureusement, on se fait vite à l'expérience visuelle, et si l'on parvient très rarement à apprécier ce qu'on voit (si ce n'est certains qui sortent un peu du lot, à l'image de certains trips présents lors de la course en moto), on se prend vite au jeu de l'énumération des tentatives d'innovations présentes tout du long, et qui démontrent, une nouvelle fois, la propension qu'à Rodriguez à se montrer généreux en divertissement pour gosses.

La démarche est appréciable, et tandis qu'il offrait aux enfants un monde miniaturisé ainsi qu'un cochon volant avec son fameux Spy Kids 2 (qui entamait malgré lui la décadence de la franchise), ce troisième volet n'est pas maigre en inventions idiotes et réjouissantes pour les plus jeunes d'entre nous.

Outre ses fameux marteaux piqueurs bondissants, marqueront surtout Stallone et ses clones (qui se donne à coeur joie dans le surjeu et le changement de personnalités), les bécanes en 3D et cette fameuse séquence surréaliste où notre héros, toujours Juni Cortez, affrontera le mécha contrôle par ce qu'on considèrera, au début, comme l'antagoniste du film, jusqu'à ce que son personnage évolue vers ce twist final renversant. Non, il ne l'est absolument pas, et vous pourrez même le prévoir quelques scènes plus tôt.

Un retournement de situation qui permet surtout d'emmener le spectateur vers le véritable twist du film : il concerne le personnage de Stallone, et conduira la saga vers la conclusion la plus idiote, naïve et niaise qu'elle pouvait espérer. On se claque finalement la main sur la gueule, tant pour la simplicité de la fin que pour la manière qu'elle a de nous être amenée, sans chercher à la rendre fluide, ou ne serait-ce que logique. Ne précisons pas qu'elle réunit tous les personnages campés par des acteurs importants vus dans les trois films, et qu'elle affiche un aspect bisounours proprement insupportable, et complètement incohérent avec le scénario que nous conduisait le film.

Il parle ainsi de pardon et de rédemption avec une grande maladresse, avec le traitement naïf de ces films de gosses primaires et qui pensent, non sans se vautrer en même temps, qu'il suffit de faire du débile et du coloré pour plaire aux enfants. C'est oublier que s'ils n'ont pas forcément les mots pour qualifier les défauts d'un tel film (il m'étonnerait d'en entendre parler de montage raté ou de colorimétrie excessivement laide), ils les ressentent autant que les adultes et autres adolescents.

Ainsi, mon cher Robert, quand tu te contentes de nous balancer de la 3D certes pas dégueulasse pour son temps, mais qui nous affiche des incrustations d'acteurs profondément ratées, que tu jettes les couleurs de tes tenues de combat sans chercher de liens logiques ou esthétiques entre elles, et que tu nous assènes de toujours plus de fonds verts visibles et de cette bande-son qui n'a plus rien de l'ancienne personnalité de tes vieux bons films, ce n'est pas qu'on ne trouve plus ce qui faisait le charme de ton art, non, c'est qu'il semble que tu ne sais plus, toi non plus, comment revenir à ce qui faisait ton succès, et l'originalité de ton cinéma.

Se pourrait-il cependant que le quatrième épisode, sorte de sequel à part, soit encore plus mauvais? Cela paraît bien difficile.

Bon divertissement avec notamment sylvester stallone.

Mission 3D Spy Kids 3 fût le premier film que j'ai vu en 3D au cinéma et dans mes souvenirs, cette fameuse 3D n'était pas trop mal (il faut être indulgent, ce n'était pas l'époque d'aujourd'hui où la 3D est très utilisée) mais par contre qu'est-ce que ce le film est nul !!!!!!! Le scénario est encore pire que celui des deux précédents opus ! Il n'y a pas d'humour, ils ont voulu mettre de l'émotion à la place mais ça n'a pas marché. Les acteurs sont moyens et concernant les personnages, certains d'entre eux sont agaçants et on ne voit pas assez Carmen. Le pire film de Robert Rodriguez !

Comme les autres de la saga, c'est à dire film pour gamins. L'idée de la mission 3d est vraimet simpa et originale. Les décors sont impressionnants. Les effets spéciaux sont réussis. On ne s'ennuie pas tellement. Mais voilà, que ce soit par l'ambiance, les dialogues, le scénario... film pour enfants, qui se plongeront très vite dans ce monde, et seront vraiment bluffés.

Un troisième épisode impressionnant niveau scénario, il fallait oser les propulser dans un jeu vidéo, le casting se voit rajouter un grand nom du cinéma, qui n'est autre que le genialissime Sylvester Stallone.
Les effets spéciaux sont encore mieux, l'humour décalé de RR est toujours là, que du bonheur !

Robert Rodriguez se vante souvent de pouvoir faire des films pour très peu cher et de manière artisanale. Sauf qu’au lieu de faire des choses intimistes, il est dans l’expérimentation visuelle.

Il était évident qu’il allait tenter d’autres formes de cinématographies. Il tenta en 2003 de sortir le 3e épisode de sa saga Spy Kids en trois dimensions (la primitive, celle avec les lunettes bleues et rouges). Il se trouve que techniquement, c’était plutôt réussi dans les cinémas, avec cependant un peu trop de gimmicks visuels appuyés (Juni qui met ses lunettes, intimant le public d’en faire de même, c’est un peu abusé). Il est alors dommage qu’il l’ait fait dans le pire volet de sa saga, voire même un des plus mauvais films de sa filmographie, qui compte quand même quelques catastrophes industrielles (Roadracers, Desperado 2). Car, en effet, Spy Kids 3D est un film d’une nullité crasse. De par sa production design, absolument scandaleuse, moche et risible, de par ses acteurs, venus pour cachetonner quelques minutes avant de repartir avec un petit chèque (même Alexa Vega est à peine présente. Seul Sylvester Stallone s’en donne à cœur joie), de par sa musique, à peine digne d’un Monoprix de Creuse. Les scènes d’action font tellement fond vert que cela en devient pénible à regarder, comme si le mauvais goût du premier opus avait fini par gagner du terrain sur les décors un peu plus enchanteurs du deuxième volet.

Spy Kids 3D est un film lamentable qui ne mérite que le déni d’existence par un réalisateur qui n’aurait pas dû tenter quelque chose qu’il ne maîtrise pas, le total fond vert.

le premier était excellent, et le deuxième était un chef d'oeuvre, ce troisième opus n'est pas non plus décevant selon moi. Cette fois-ci, leur mission est en 3D, et quand je dis 3D, ce n'est pas n'importe quelle 3D, au contraire c'est de la vrai 3D, car les acteurs sortent vraiment des écrans. A part cela, la mission est pas si mal, mais par contre, elle est beaucoup trop courte, et ça, c'est vraiment dommage. Quand à Silvester Stallone, je ne m'attendais à ce qu'il apparaisse dans ce film. Un bon film, 4/5.

alors la je me demande ce qui c'est passé dans la tête de Robert Rodriguez (pardon pour l'ortographe) non mais c'est quoi cet suite de fou, est le pire c'est la scene final -_- des acteurs pas geniaux, un scénario qui aurait pu avoir de la gueule mais non.

Mission 3D Spy kids 3 : Une bonne suite qui assure le divertissement comme il le faut. Avec en plus, une mission en 3D qui est cette fois ci, de la vrai 3D (pas comme les films d’aujourd’hui, quand j’avais était le voir a l’époque au ciné, ça sortais vraiment de l’écran et cette bien utilisé donc une des meilleurs 3D au ciné, tout simplement. Après parlons du film, bien on voir que ça s’essouffle un peu et que ça tire sur les ficelles. Car tous ce qui fessait la force des deux premier on était un peu mit a la trappe. Le super duo Juni et Carmen : on les voix à peine 15 minutes, encore moins pour les parents que on voit que 5 minutes, est encore. La, c’est que basé sur Juni alors adieu les super duos. Donc, on sent qu’il manque des trucks. De plus, coté univers, on atterri cette dois ci dans un jeu vidéo et les décors sont très virtuel comparé aux magnifiques décors du deuxième dans l’ile… Le coté espion, James Bond avec les gadgets et tout on aussi était réduit. Donc voila, il y a trop de choses que on adoré qui sont partis : dommage. Mais sinon dans l’état, ça reste vraiment plaisant et divertissent à regarder. L’idée de ce jeu vidéo virtuel est sympa et original qui colle bien avec l’univers et le passé du grand père même si rien n’est approfondi ni développé plus que ça, on aurait aimée des flash-back et plus de détail donc on sent moins de travaille. Mais sinon, la mission est pas mal : toujours avec de l’action, de l’humour, un univers original quoi que un peu moins délirant et fouillé et la fin est trop rapide. Coté réalisation : c’est toujours bon et les effets spéciaux sont super, la 3D est génial (la meilleur) mais les décors de fond sont un peu moins réussit. Ensuite, coté casting et acteur, c’est super mais on les voit trop peux (Antonio Banderas, Carla Gugino, Alexa Vega…). Par contre, on a le droit au casting coté « méchant » a Sylvester Stallone : ce n’est pas négligeable, surtout que son rôle est sympa et amusant. Et pour finir, les musiques sont toujours géniales. Voila, malgré peux être les critiques que j’ai faites car ils y a beaucoup de truck en moins. J’ai quand même bien aimée ce film qui est plaisant et divertissent à regarder, j’ai passé un bon moment quand même dans cette nouvelle mission des spy kids. Le moins bon des spy kids (de la trilogie) sert mais faut pas boudée son plaisir.

Une troisième opus centré sur Juni (de loin le personnage le moins réussi de la saga) qui présente un scénario débile auquel on ne croit pas une seconde. Les effets spéciaux sont laids et les acteurs à la rue (mis à part Stallone qui s'éclate).

On prend les mêmes et on recommence, mais cette fois-ci en 3D. La seule nouveauté reste la présence de Sly en méchant.