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Kassovitz fait preuve derrière la caméra d'un vrai sens du rythme et insuffle de la tension dans des scènes visuellement hyper maîtrisées (...). On aurait d'autant plus aimé qu'il parvienne à insuffler autant d'intensité au pan psychologique du film.
Kassovitz a réussi un vrai film de genre impressionnant, qui vous emporte en un souffle de feu et de glace (...). Maîtrisant à la perfection les scènes d'action et le rythme du récit, il parvient à créer une effrayante ambiance de fin du monde civilisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Babylon A.D. démontre une fois de plus que le rapport qui unit conditions de production et oeuvre achevée n'a rien d'arithmétique : ce gros film n'a rien de tourmenté, de difforme, de monstrueux, il est simplement ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) cette peinture pessimiste de lendemains qui déchantent alterne séquences d'action et considérations philosophico-mystiques... sans vraiment convaincre. Kassovitz nous doit une revanche.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(...) Mathieu Kassovitz n'a pas perdu la main en matière d'action pure. Côté scénario, par contre, c'est la bérézina. Privilégiant la forme sur le fond, Mathieu Kassovitz échoue là où Alfonso Cuaron avait réussi avec [Les fils de l'homme].
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le propos politico-religieux relégué une fois pour toutes au second plan, Babylon A.D. se présente comme un film d‘action efficace mais sans grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Babylon A.D. ne dure qu'1 heure 40 mais en paraît trois. (...) entre le hurlement de mégaphone alter mondialiste (la guerre et le capitalisme, c'est dégueulasse, au ralenti s'il vous plait) et la série B de gros gamin, Kassovitz ne choisit pas.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le tournage de Babylon A.D. (...) fut laborieux; le film est à son image (...) Cette histoire politico-mystique (...) se dérobe sous le poids de son décorum, de ses trous scénaristiques et de ses scènes d'action illisibles.
Brazil
Une mise en scène nerveuse, rapide et efficace (...) Mathieu Kassovitz sait diriger ses acteurs et sait manier sa caméra.
MCinéma.com
Kassovitz fait preuve derrière la caméra d'un vrai sens du rythme et insuffle de la tension dans des scènes visuellement hyper maîtrisées (...). On aurait d'autant plus aimé qu'il parvienne à insuffler autant d'intensité au pan psychologique du film.
Paris Match
Kassovitz a réussi un vrai film de genre impressionnant, qui vous emporte en un souffle de feu et de glace (...). Maîtrisant à la perfection les scènes d'action et le rythme du récit, il parvient à créer une effrayante ambiance de fin du monde civilisé.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
Le Parisien
Babylon A.D. présente les qualités d'un honnête film d'action à grand spectacle.
Le Journal du Dimanche
Le résultat (...) dépasse rarement le niveau de série B potable.
Le Monde
Babylon A.D. démontre une fois de plus que le rapport qui unit conditions de production et oeuvre achevée n'a rien d'arithmétique : ce gros film n'a rien de tourmenté, de difforme, de monstrueux, il est simplement ordinaire.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) cette peinture pessimiste de lendemains qui déchantent alterne séquences d'action et considérations philosophico-mystiques... sans vraiment convaincre. Kassovitz nous doit une revanche.
Télérama
(...) Mathieu Kassovitz n'a pas perdu la main en matière d'action pure. Côté scénario, par contre, c'est la bérézina. Privilégiant la forme sur le fond, Mathieu Kassovitz échoue là où Alfonso Cuaron avait réussi avec [Les fils de l'homme].
aVoir-aLire.com
Le propos politico-religieux relégué une fois pour toutes au second plan, Babylon A.D. se présente comme un film d‘action efficace mais sans grande originalité.
Chronic'art.com
Babylon A.D. ne dure qu'1 heure 40 mais en paraît trois. (...) entre le hurlement de mégaphone alter mondialiste (la guerre et le capitalisme, c'est dégueulasse, au ralenti s'il vous plait) et la série B de gros gamin, Kassovitz ne choisit pas.
La Croix
En dépit d'une affiche internationale (...) [le film] s'avère plus grotesque que surprenant.
Les Inrockuptibles
Une adaptation excessive et sans cohérence narrative (...)
Libération
Laborieusement prévisible, Babylon A.D. manque à peu près tout ce qu'il tente sur la voie du renouvellement du genre.
Mad Movies
(...) Babylon A.D. démontre les limites de Mathieu Kassovitz, qui signe certainement son plus mauvais film (...)
Positif
Décidemment, Hollywood ne réussit guère à Kassovitz....
Première
Kassovitz oppose une stylisation glacée et un discours mystico-fantastique d'assez mauvais goût.
TéléCinéObs
Le tournage de Babylon A.D. (...) fut laborieux; le film est à son image (...) Cette histoire politico-mystique (...) se dérobe sous le poids de son décorum, de ses trous scénaristiques et de ses scènes d'action illisibles.