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Le western a évolué au fil du temps, et même si quelques productions essaient de rester fidèles au mythe de l'ouest, le genre a été mis à la page avec un certain Sergio Léone, d'ailleurs en cette année 1968, on voir sur les écrans, Il était une fois dans l'ouest, ou Pendez-les hauts et court, deux exemples qui révolutionnent le genre à tout jamais.
Et ici, le réalisateur essaie de se frayer un chemin dans cette direction, cela se sent dès le générique, malheureusement, n'est pas Leone qui veut, et faire du copier coller, n'a que peut d'intérêt. Alors après quelques plans d'ouverture comme dans un western spaghetti, on revient vite au classicisme, avec peu d'innovation, peu d'imagination, peu de tension. Naturellement l'histoire de base fait penser à un certain chef d'oeuvre, vous l'aurez compris, on parle de La prisonnière du désert de John Ford. Mais, n'est pas Ford qui veut, et malgré toutes les péripéties que rencontre nos deux cow-boys, on a du mal à s'attacher à eux. Le dénouement est assez bâclé, et assez attendu, jamais on ne s'intéresse réellement aux captives, et tout semble bien superficiel, et tout cela manque cruellement de sentiments. Le film se laisse regarder avec un certain plaisir, car ce sont les grands espaces, l'ouest comme on l'aime, mais malheureusement Jerry Thorpe ne donne pas assez de relief à ces personnages pour nous convaincre.
Et ici, le réalisateur essaie de se frayer un chemin dans cette direction, cela se sent dès le générique, malheureusement, n'est pas Leone qui veut, et faire du copier coller, n'a que peut d'intérêt. Alors après quelques plans d'ouverture comme dans un western spaghetti, on revient vite au classicisme, avec peu d'innovation, peu d'imagination, peu de tension. Naturellement l'histoire de base fait penser à un certain chef d'oeuvre, vous l'aurez compris, on parle de La prisonnière du désert de John Ford. Mais, n'est pas Ford qui veut, et malgré toutes les péripéties que rencontre nos deux cow-boys, on a du mal à s'attacher à eux. Le dénouement est assez bâclé, et assez attendu, jamais on ne s'intéresse réellement aux captives, et tout semble bien superficiel, et tout cela manque cruellement de sentiments. Le film se laisse regarder avec un certain plaisir, car ce sont les grands espaces, l'ouest comme on l'aime, mais malheureusement Jerry Thorpe ne donne pas assez de relief à ces personnages pour nous convaincre.
AMCHI
Le début de ce western est assez laborieux et on se dit que Le Jour des Apaches est réalisé par un faiseur pas très doué avec des anciennes gloires au creux de la vague tournant un western peu inspirés, le montage est moyen avec des scènes qui sautent brusquement de l'une à l'autre.
Puis arrivé à la scène avec Dean Jagger Le Jour des Apaches commence à trouver ses marques et finalement on se dit que ce film serait peut-être pas si mal à regarder.
Et en effet ce sera le cas, l'histoire n'est pas mauvaise avec ses 2 hommes bien campés par Glenn Ford et Arthur Kennedy à la recherche de la même femme et de ses 2 filles enlevées par les Apaches, l'un est l'époux qui a dû les quitter l'autre et celui qui espère devenir le nouvel époux, ils n'en font jamais trop et restent crédibles même lorsqu'ils doivent se bagarrer.
Ils affrontent plusieurs péripéties qui offrent donc de multiples rebondissements à ce western sans temps mort, l'ensemble est très dynamique avec même des passages possédant du suspense spoiler: en particuliers lorsqu'ils arrivent dans le campement des Apaches ou encore la scènes avec les vautours.
Ca se veut sombre à l'exemple de la scène finale qui se termine sur beaucoup d'amertume ; c'est juste dommage que la réalisation ne soit pas toujours à la hauteur car dans les mains d'un Aldrich ou d'un Peckinpah on aurait pu tenir un très grand western.
Quoiqu'il en soit si vous aimez le genre, Le Jour des Apaches vaut le coup d’œil.
Puis arrivé à la scène avec Dean Jagger Le Jour des Apaches commence à trouver ses marques et finalement on se dit que ce film serait peut-être pas si mal à regarder.
Et en effet ce sera le cas, l'histoire n'est pas mauvaise avec ses 2 hommes bien campés par Glenn Ford et Arthur Kennedy à la recherche de la même femme et de ses 2 filles enlevées par les Apaches, l'un est l'époux qui a dû les quitter l'autre et celui qui espère devenir le nouvel époux, ils n'en font jamais trop et restent crédibles même lorsqu'ils doivent se bagarrer.
Ils affrontent plusieurs péripéties qui offrent donc de multiples rebondissements à ce western sans temps mort, l'ensemble est très dynamique avec même des passages possédant du suspense spoiler: en particuliers lorsqu'ils arrivent dans le campement des Apaches ou encore la scènes avec les vautours.
Ca se veut sombre à l'exemple de la scène finale qui se termine sur beaucoup d'amertume ; c'est juste dommage que la réalisation ne soit pas toujours à la hauteur car dans les mains d'un Aldrich ou d'un Peckinpah on aurait pu tenir un très grand western.
Quoiqu'il en soit si vous aimez le genre, Le Jour des Apaches vaut le coup d’œil.
TTNOUGAT
Ce western unique de Jerry Thorpe bien fait, bien structuré possède de solides qualités : ambiance de l’ouest réussie, deux grands acteurs, tension permanente, rôles secondaires bien tenus et Apaches très convaincants. Il y a plusieurs points d’intérêts outre le fait d’aller récupérer prisonnière en plein désert une femme à bout de forces et ses deux enfants. D’abord l’évolution intéressante entre deux hommes, un supposé méchant de plus en plus sage et un supposé gentil de plus en plus méchant. Ce n’est pas fréquent cette rencontre au cinéma. Ensuite, des séquences bien mises en scène, celle du supplice avant une mort certaine entouré de ‘’vautours’’ noirs, celle des attaques des indiens contre le camp des renégats et le scène finale de la libération des otages. Tout cela lorsqu’on à 15 ans est à applaudir et on sort heureux de la salle. Les réserves sont dans le scénario construit comme celui d’une BD sans s’occuper de la moindre faisabilité dans le réel et cela forcement gène les spectateurs adultes. Bien entendu, les grands westerns surfent sur des péripéties exceptionnelles et spectaculaires mais ne dépassent jamais les limites acceptables…Ce n’est pas le cas dans ‘’le jour des apaches’’, trop c’est trop. Et, c’est bien dommage car le ton y est. Néanmoins malgré mon ressenti douloureux, je ne peux constater que ce western fait partie
du lots des ''très réussis'' et que les deux acteurs principaux sont admirables
du lots des ''très réussis'' et que les deux acteurs principaux sont admirables
Glenn Ford reste l'un de mes acteurs préférés, notamment dans le genre western, mais là je n'accroche pas, mais il me faut une seconde pour comprendre que Jerry Thorpe, bien qu'il soit le fils de l'illustre Richard Thrope, n'est qu'un réalisateur TV de seconde zone. Il ne faut donc pas attendre des miracles de western de catégorie B. Basé sur un piètre scénario, ce récit ne donne même pas l'envie d'aller jusqu'au bout. Ennuyeux, poussif, ce film sans ambition est nettement décevant. Dommage car cette histoire méritait mieux. A 52 ans, Glenn Ford est au bout du rouleau et Arthur Kennedy n'apporte absolument rien au scénario. Il faut attendre une heure pour trouver un quelconque intérêt avec l'arrivée de nos deux compères dans un village occupé par des soldats déserteurs. Et encore assiste t'on à un match de pingpong, un coup je réussis à échapper aux soldats, un coup je me fais reprendre et ainsi, plusieurs fois de suite, des scènes rédhibitoires en quelque sorte. Bref, au final un épisode indécrottable.
Un Western de 1968 réalisé par le fils de Richard Thorpe ("Ivanhoé"), Jerry, avec une bonne histoire sur la rivalité de deux cowboys qui se cotoieront pour la liberté de la mème femme et des enfants détenues par les Apaches dont l'un en est le père partit trop longtemps dont la famille le croyer mort et l'autre qui vient juste de l'épouser. Un long chemin et de mise à l'épreuve les attendent rencontrant sur le chemin l'armée Américaine, des Mexicains, le choléra (sujet secondaire rarement traité dans les Westerns), le désert et d'autres péripéties jusqu'au but. "Le jour des Apaches" avait les moyens de faire un grand film, des batailles grandioses, un scénario qui tenait la route et deux bons comédiens que sont Glenn Ford et Arthur Kennedy mais le film traine de pas mal de longueurs et manque de rythme. Ca aurait pu ètre mieux mais Jerry Thorpe n'a pas le talent de John Ford et d'autres grands réalisateurs Américains de l'époque, d'ailleurs, sa carrière fut brève. Pas terrible.
Un western trop classique pour s'en souvenir longtemps...reste le charme immuable du cinémascope et la nonchalance sympathique de Glenn Ford !
selenie
Un western réalisé par le fils de Richard Thorpe (connu pour ces films de chevalier avec notamment Robert Taylor), qui fut assistant de Vincente Minnelli... On pourrait croire à un gage de qualité mais il reste avant tout un réalisateur sans génie, dans la moyenne. Ce western a pour originalité de placer le mari et l'amant de l'épouse main dans la main pour sauver cette dernière et les deux enfants qui sont prisonniers des apaches. A part ça le film reste classique et au final peu efficace surtout à cause de la mise en scène ; entre une poursuite des apaches après le duo râtée et un final aussi bâclé que facile le film ne réussit pas à créer un intérêt franc. Malgré de bons acteurs, dont Glenn Ford toujours impeccable, ce western qui date de 1968 à presque une génération de retard. Il se laisse regarder mais s'oublie bien vite.
Un wester au scénario pour une fois très original puisqu'il s'agit ici de rassembler dans la même quête le mari et l'amant de la femme enlevée par de méchants indiens. Pour le reste, rien de très original, surtout pas cette fin en trompe l'oeil qui ressemble plus à un couvercle qu'à un clap de fin... Avant, il faudra heureusement s'être réjoui de revoir l'inaltérable Gleen Ford, vraie figure du cow-boy américain.
Le jour des Apaches n'est certes pas un western qui rentrera dans les annales, mais son histoire est agréable et la mise en scène de Jerry Thorpe ( le fils du réalisateur Richard Thorpe ) possède des qualités non negligeables.
En tête d'affiche, nous retrouvons un Glenn Ford très à l'aise et qui reste, à mon sens, comme le véritable point fort de l'oeuvre en général. L'acteur est à la fois touchant, mystérieux et émouvant dans le rôle d'un homme qui est prêt a tout pour retrouver sa femme et ses enfants capturés par une tribu d'indiens.
Il s'agit donc d'un sympathique western des années 60 et qui est à découvrir pour tout les fans du genre.
En tête d'affiche, nous retrouvons un Glenn Ford très à l'aise et qui reste, à mon sens, comme le véritable point fort de l'oeuvre en général. L'acteur est à la fois touchant, mystérieux et émouvant dans le rôle d'un homme qui est prêt a tout pour retrouver sa femme et ses enfants capturés par une tribu d'indiens.
Il s'agit donc d'un sympathique western des années 60 et qui est à découvrir pour tout les fans du genre.
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