AlloCiné
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Votre avis sur Danny the Dog ?
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"Enchaîné par la violence, libéré par la musique", tel est le slogan de couverture du film. J'irai pas plus loin, c'est trop nul!
Très bon sans être génial mais on apprécie le spectacle et le très grand Morgan Freeman.
DANNY THE DOG ou comment Jet Li va vous demontré qu'il peut etre a la fois un artiste martial un tres bon acteur de films d'actions et un grand comedien!!!Tout est excellent dans ce film!Les acteurs Jet Li en tete bien sur dans son role d'homme chien ,Morgan Freeman en guide conducteur et pourtant c'est lui l'aveugle!Bob Hopskin en mafieu ecoeurant...Les combats sont d'une rare violences et pourtant le film degage une poesie et une sensibilité extreme dans les scenes ou Danny reapprend a vivre et decouvre la verité sur le meurtre de sa mere...L'ambiance urbaine du film est elle aussi tres bonne et change un peu de ces scenes tournées aux States.Le tout sur une musique de Massive Attack des plus sublime!!!Le film nous prend aux tripes de maniere viscerale et ne vous lache plus jusqu'a la derniere scene ou Danny pleure comme nous .....
Une performance plus qu'incroyable pour Jet Li dans ce Danny The Dog. Le scénario est certes basique, mais très osé et rprésente tout de même un peu d'intrigue. Morgan Freeman et Bob Hoskins sont eux aussi parfait dans leur rôle, offrant un contraste intéressant. Si certaines scènes sont émouvantes, voire poignantes, relevant de la comédie dramatique, les combats sont au contraire très violents et spectaculaires. Arriver à équilibrer ces deux thèmes en 1h30 est vraiment impressionnant. A voir!
Redzing
Danny a été élevé depuis l’enfance comme un chien… ce qui ne l’a pas empêché de devenir expert en arts martiaux (!). Docile et illettré, il se transforme en machine à tuer lorsque l’on ôte son collier. Il est exploité sans vergogne par son maître, un gangster abject, jusqu’à au jour où il s’échappe…
Une idée de départ pas mauvaise, mais mal exploitée. « Unleashed » souffre surtout d’un manichéisme total, alourdi par une surcouche de mièvrerie. Les gangsters sont très méchants, tandis que l’accordeur de piano aveugle qui va accueillir Danny est une crème. Et au milieu, Danny, joué par un Jet Li qui n’évite pas toujours le ridicule, est le quarantenaire avec une âme d’enfant qui va en quelques jours oublier ses décennies de tueries. Trop facile.
La mise en scène n’est pas non plus très subtile, proposant quelques effets m’as-tu-vu gratuits, et une photographie grisâtre quelconque.
Quelques qualités tout de même. Les scènes de combats sont assez réussies, grâce évidemment à Jet Li, mais aussi à Yuen Woo-ping, le célèbre chorégraphe de la trilogie Matrix. Et Morgan Freeman et Bob Hoskins, malgré des personnages ultra caricaturaux, apportent du charisme.
Par contre on n’en dira pas autant de Kerry Condon. Agée de 22 ans, l’actrice en fait 30, et est censée jouer une gamine de 18 ans ! Ses moments de tendresse avec Jet Li, âgé de 42 ans, sont quelques peu dérangeants…
Une idée de départ pas mauvaise, mais mal exploitée. « Unleashed » souffre surtout d’un manichéisme total, alourdi par une surcouche de mièvrerie. Les gangsters sont très méchants, tandis que l’accordeur de piano aveugle qui va accueillir Danny est une crème. Et au milieu, Danny, joué par un Jet Li qui n’évite pas toujours le ridicule, est le quarantenaire avec une âme d’enfant qui va en quelques jours oublier ses décennies de tueries. Trop facile.
La mise en scène n’est pas non plus très subtile, proposant quelques effets m’as-tu-vu gratuits, et une photographie grisâtre quelconque.
Quelques qualités tout de même. Les scènes de combats sont assez réussies, grâce évidemment à Jet Li, mais aussi à Yuen Woo-ping, le célèbre chorégraphe de la trilogie Matrix. Et Morgan Freeman et Bob Hoskins, malgré des personnages ultra caricaturaux, apportent du charisme.
Par contre on n’en dira pas autant de Kerry Condon. Agée de 22 ans, l’actrice en fait 30, et est censée jouer une gamine de 18 ans ! Ses moments de tendresse avec Jet Li, âgé de 42 ans, sont quelques peu dérangeants…
Nicothrash
Louis Leterrier comme tout bon réalisateur français qui se respecte est bien évidemment décrié sur ses terres. Pourtant il a des qualités indéniables et le prouve une fois encore avec "Danny the Dog". Ce film "d'action" est loin d'être basique et s'appuie d'une part sur un scénario touchant et d'autre part sur un casting plus que solide. Jet Li, fidèle à lui même, donne de sa personne et nous réserve des combats superbes aussi beaux que violents. L'atmosphère du métrage est très sombre et la sous intrigue sur les origines de Li est des plus intéressante. Mais s'il y a bien un point où "Danny" se distingue c'est concernant la bande son, une petite merveille au service d'une idéologie plaisante. Perso, j'adore ce film depuis la première fois que je l'ai vu et je n'ai pas peur de dire que Leterrier a fait un excellent travail ici, sur le fond comme sur la forme.
Un très bon film d'action, avec un Jet Li au sommet de son art, tant martial que cinématographique, bien accompagné par de très bons seconds rôles. Les scènes de combat sont vives et rythmées, accompagnées par une BO qui l'est tout autant. Louis Leterrier commence à faire son petit bonhomme de chemin outre atlantique et, avec Danny The Dog, prouve qu'il en a encore sous le capot. Certaines scènes font un poil trop dans le mélodrame, mais Jet Li parvient à toucher le spectateur grâce à un personnage poignant et attachant. Un bon divertissement en somme.
Shawn777
Je suis très agréablement surpris de ce film, réalisé par Louis Leterrier et écrit par Luc Besson et sorti en 2005, car je ne m'attendais pas à un scénario aussi profond. Enfin, profond, tout est relatif, mais au vu de l'affiche et de la bande annonce, ou même du synopsis, je m'attendais à un bon gros film d'action sans réel intérêt, enfin autre que du pur divertissement. C'est donc l'histoire de Danny qui a a été élevé comme un chien depuis son enfance pour servir les intérêt de son "oncle" qui le "lâche" sur les gens qui ne le payent pas. Mais un jour, croyant son oncle mort, il s'enfuit et trouve refuge chez un pianiste et sa fille adoptive qui lui apprendront à vivre normalement. Alors évidemment, tout est très manichéen. C'est-à-dire que nous avons un personnage tiraillé entre violence, qu'il a connu toute sa vie, et amour, qui est tout nouveau pour lui, représenté par ses deux familles adoptives. D'un côté, nous avons donc son "oncle" qui représente le cliché absolu du malfrat, salaud et puis, de l'autre, la gentille famille dont un des membres est même aveugle, et c'est une représentation également très exagérée. Genre, ils prennent sous leur toit du jour au lendemain un homme dont ils ne connaissent rien, un homme qui parait de plus très limité et qui porte constamment un collier de chien autour du coup. Je veux bien qu'il existe des gens charitables mais c'est tout de même que très peu crédible. Néanmoins, dans son écriture, Besson (oui, j'apprécie beaucoup le réalisateur/scénariste/producteur et je ne fais pas du tout partie de ses détracteurs) sait très bien allier cette violence très visuelle, que le réalisateur rendra d'ailleurs très picturale par moments, et puis ces moments de douceurs, qui sont très touchants, malgré un indéniable côté niais. Mais ce n'est malgré tout pas du mielleux insupportable, on s'attache très facilement au personnage principal et le film se montre parfois cruel, notamment au travers de ses flashbacks, équilibrant alors la balance. Concernant les acteurs, nous retrouvons un Jet Li, tantôt violent, tantôt touchant, Bob Hoskins qui semble beaucoup s'amuser avec son personnage très excentrique et puis Morgan Freeman, incarnant une nouvelle fois, l'éternel sage. "Danny the Dog" est donc plus intéressant qu'il n'y parait, donnant un résultat, dans l'ensemble, plutôt réussi.
Il faut reconnaitre qu'à mon gout ce sont les productions Europa Corp de Besson qui mettent le mieux en valeur Jet Li. Certes le scénario n'est pas mirobolant d'inventivité mais comme à l'accoutumée chez Besson (et sa team de réalisateurs) c'est hyper ryhtmé et efficace. Les chorégraphies de combats sont au top et si on garde un electro encephalogramme plat on passe toutefois un excellent moment. 4 / 5
Jet Li incroyable et touchant, Bob Hoskins immonde et dégoutant, Morgan Freeman tout en douceur et gentillesse. Un film qui prend aux tripes, d'une justesse indéniable, un film marquant et d'une profonde tendresse tout en étant d'une violence inouïe. Du grand art que nous a servi ici Louis Leterrier !
Un film américain écrit par Luc Besson et le scénariste de l'arme fatal ce qui en fait un film apprécier enfin par la presse qui redonner enfin qui fait de bon films c'est pas trop tôt . Jet Li joue le rôle d'un homme qui a recueilli enfant par un chef de la mafia écossaise ce dernier la éduquer comme un chien d'attaque avec uniquement la bagarre , la violence comme maître pour le guider en le faisant combattre lors de combat de flight club ou bien lorsqu'il s'agit d'allez récupéré de l'argent au près de client ou commerçant. Un jour Danny crois que c'est maître sont mort il se réfugie dans un magasin de piano car c'est ça passion il est donc héberger par un aveugle et sa belle fille . Un film action avec un jet li excellent, bonne scène de combat, cascade , le temps passe vite , il est convaincant dans le rôle de Danny qui ne ressent aucune émotion sa performance est juste incroyable de justesse dans ses émotion et son amour pour le piano si cela n'avais pas était un film d'action peut être il aurait peut avoir des prix ou être nommée. dialogue un peu a désirer a quelque reprise . chaque fan de Jet Li peut y trouver son bonheur ce film réussit néanmoins a donné des frissons aux spectateur, tant le mélange entre le lyrisme musical un peu appuyé et la violence urbaine et ses combats odieux, est réussi casting, très bien fourni, se sort avec les honneurs.
Benito G
JEt li nous livre ici, un rôle plutôt touchant... On est pris peu à peu d'empathie à son égard, son triste passé... Et son futur ; bien évidemment. Bien que la réalisation laisse parfois à désirer (certains moments font penser à une réalisation façon clip, mais peut être était ce le but. MAis perso, j'ai pas trop adhéré), l'ensemble du scénario ; même s'il se veut assez simpliste. Et assez bien maitrisé du début à la fin. LE jeu des acteurs est également tout à fait comme il devrait être et nous offre de belles scènes d'actions, parfois un peu bourrin ou trop rapide ; mais de bonne séquences que certaines resteront gravé en mémoire... Pas le film du siècle, certes. MAis pour les amateurs du genre, on en prend plein la gueule! Pourquoi pas.
Attention : production Besson étonnante! Et pour cause, Danny the Dog n'est pas un film entièrement tourné vers l'action. En effet, le long-métrage se veut touchant et naïf question sentiment. Et quand on voit le personnage que je joue Jet Li (un orphelin transformé en chien d'attaque pour les comptes d'un mafieux), on se prette au jeu. On va même jusqu'à dire qu'il y a quelque chose dans ce Danny the Dog, qui provoque un certain intérêt. Mais bon, production Besson oblige, il y a donc des séquences d'action façon jeu vidéo, des invraisemblances scénaristiques et un casting inégal. Néanmoins, cela reste l'un des "Besson" les plus abordables (Louis Leterrier a quelque chose à montrer!).
De belles scènes de combats mais l'histoire me semble étrange... Elever un gamin comme un chien pour qu'il devienne un puissant tueur... mwouai... Des longueurs trop nombreuses m'ont gâché le plaisir. Je ne le verrais pas deux fois. -------Décembre 2011-------
Objectivons
Un assez beau film anti-violence (même s'il y en a) ! Jet Li y est... émouvant... C'est une performance en soi !
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