Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cinéastes
par Hendy Bicaise
Divertissement sans faille, il puise sa force et repousse la somnolence par son jeu de greffe : apposant quelques éclairs exubérants d'action movie sur une couche de comédie dramatique, pas toujours nuancée mais très efficace. (...) Avec cet objet baroque et barré à l'émotion vive et au jeu habile sur la codification cinématographique, Besson et Leterrier accomplissent un singulier cross-over.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Première
par Mathieu Carratier
Servie par la mise en scène inspirée de Louis Leterrier et la remarquable musique de Massive Attack, cette version hardcore de Rain Man s'impose clairement comme ce que Luc Besson a produit de mieux depuis ses propres films.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Emmanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Comment jubiler devant un homme réduit à l'état de chien enragé ? En se concentrant sur les scènes de combats de Jet Li de cette production lucbessonienne médiocre, dont la chorégraphie, rythmée par les beats sourds de Massive Attack, vaut bien celle de Matrix ou de Kill Bill.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Guillaume Tion
La manière n'est pas révolutionnaire mais ambitieuse : mélanger action et drame intimiste, certes avec naïveté, mais dans le meilleur esprit série B. Les acteurs y sont pour beaucoup(...). Paradoxalement, le film déçoit lorsqu'il se lance dans les scènes de combat mais séduit dans ses moments creux, malgré les "scènes à faire" sur la découverte de l'amour et de la famille.
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
La première séquence du film (...) impressionne par la composition de son cadre (...) Si les autres éléments du film ne font pas preuve de la même virtuosité dans le traitement, en raison d'une écriture en dents de scie relativement simpliste, on ne peut que féliciter le réalisateur de ne pas être tombé dans les pièges typiquement "bessoniens". (...) Reste qu'à défaut d'être irritantes, les séquences "calmes" de Danny the Dog n'en sont pas pour autant intéressantes ou mémorables.
Ouest France
par La Rédaction
Luc Besson aime les canevas simples, les situations tranchées et les caractères trempés. Pour résumer, on dira qu'il cultive ici deux maximes selon lesquelles " l'homme est un loup (voire un chien, version sauvage) pour l'homme " mais que " la musique adoucit les moeurs ". Ces considérations primaires ne font pas la garantie d'un scénario bien vraisemblable, mais elle donne à Louis Leterrier matière à un film de baston et de sentiments efficace.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Score
par Miguelito
La réalisation propre, les combats nerveux et les acteurs impeccables ne font malheureusement pas oublier la mécanique "déjà vu" du récit.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Si le scénario (le meilleur écrit par Luc Besson à ce jour) est parfois dénaturé par le traitement techno-ludique de la violence, il n'en demeure pas moins que Danny the Dog brille, à l'arrivée, d'une petite flamme humaniste plutôt touchante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
Film d'action des plus honorables. (...) Seule surprise -mais de taille-, le film s'aventure du côté du mélo, permettant à Jet Li d'explorer un registre nettement plus psychologique qu'à l'accoutumée, et ce avec un certain talent.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Si Danny the dog n'est pas une référence dans le genre, il est loin d'être le film bâtard tant redouté et confirme une fois de plus, après le succès relatif de Banlieue 13, l'insatiable goût de Besson pour un cinéma populaire ambitieux.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Dans cette catharsis world (Asie, France, Ecosse, Amérique), la bêtise, le poujadisme et la misogynie s'effacent devant la pantomime très Replicant de Jet Li : regards de chien battu, animalité surjouée, rêve de renouer avec la sauvagerie du cinéma d'action.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
L'histoire est d'une bêtise affligeante. La réalisation de Louis Leterrier, très clipée, n'apporte rien au septième art. Jet Li n'est pas du tout crédible en jeune chien féroce qui se métamorphose en gamin angélique au contact de Morgan Freeman aveugle, accordeur de pianos et bon samaritain. Grr...
Le Monde
par Florence Colombani
On n'engage pas un prodige des arts martiaux pour jouer du piano. Cette hypocrisie, qui déguise un film ultraviolent en fable humaniste, était déjà celle du Léon de Luc Besson, ici simple scénariste. Elle prend cette fois un tour politique : Danny, Chinois réduit à l'esclavage par un Anglais, est une figure du colonisé fidèle à tous les clichés, une sorte de grand enfant qui ne parvient à l'émancipation qu'avec un appui extérieur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Que dire de gentil sur "Danny the dog" ? (...) Qu'il s'agisse de l'histoire ou des scènes d'action, rien n'est crédible. Heureusement que les combats sont bien filmés. Et qu'on ne vienne pas dire que cette ultraviolence complaisante ne tape pas sur les nerfs d'une jeunesse formatée pour ce genre de film.
Télérama
par Jacques Morice
Même les scènes (banales) de kung-fu n'arrivent pas compenser la faiblesse de cette histoire made in England.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinéastes
Divertissement sans faille, il puise sa force et repousse la somnolence par son jeu de greffe : apposant quelques éclairs exubérants d'action movie sur une couche de comédie dramatique, pas toujours nuancée mais très efficace. (...) Avec cet objet baroque et barré à l'émotion vive et au jeu habile sur la codification cinématographique, Besson et Leterrier accomplissent un singulier cross-over.
Première
Servie par la mise en scène inspirée de Louis Leterrier et la remarquable musique de Massive Attack, cette version hardcore de Rain Man s'impose clairement comme ce que Luc Besson a produit de mieux depuis ses propres films.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Comment jubiler devant un homme réduit à l'état de chien enragé ? En se concentrant sur les scènes de combats de Jet Li de cette production lucbessonienne médiocre, dont la chorégraphie, rythmée par les beats sourds de Massive Attack, vaut bien celle de Matrix ou de Kill Bill.
MCinéma.com
La manière n'est pas révolutionnaire mais ambitieuse : mélanger action et drame intimiste, certes avec naïveté, mais dans le meilleur esprit série B. Les acteurs y sont pour beaucoup(...). Paradoxalement, le film déçoit lorsqu'il se lance dans les scènes de combat mais séduit dans ses moments creux, malgré les "scènes à faire" sur la découverte de l'amour et de la famille.
Mad Movies
La première séquence du film (...) impressionne par la composition de son cadre (...) Si les autres éléments du film ne font pas preuve de la même virtuosité dans le traitement, en raison d'une écriture en dents de scie relativement simpliste, on ne peut que féliciter le réalisateur de ne pas être tombé dans les pièges typiquement "bessoniens". (...) Reste qu'à défaut d'être irritantes, les séquences "calmes" de Danny the Dog n'en sont pas pour autant intéressantes ou mémorables.
Ouest France
Luc Besson aime les canevas simples, les situations tranchées et les caractères trempés. Pour résumer, on dira qu'il cultive ici deux maximes selon lesquelles " l'homme est un loup (voire un chien, version sauvage) pour l'homme " mais que " la musique adoucit les moeurs ". Ces considérations primaires ne font pas la garantie d'un scénario bien vraisemblable, mais elle donne à Louis Leterrier matière à un film de baston et de sentiments efficace.
Score
La réalisation propre, les combats nerveux et les acteurs impeccables ne font malheureusement pas oublier la mécanique "déjà vu" du récit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Si le scénario (le meilleur écrit par Luc Besson à ce jour) est parfois dénaturé par le traitement techno-ludique de la violence, il n'en demeure pas moins que Danny the Dog brille, à l'arrivée, d'une petite flamme humaniste plutôt touchante.
Zurban
Film d'action des plus honorables. (...) Seule surprise -mais de taille-, le film s'aventure du côté du mélo, permettant à Jet Li d'explorer un registre nettement plus psychologique qu'à l'accoutumée, et ce avec un certain talent.
aVoir-aLire.com
Si Danny the dog n'est pas une référence dans le genre, il est loin d'être le film bâtard tant redouté et confirme une fois de plus, après le succès relatif de Banlieue 13, l'insatiable goût de Besson pour un cinéma populaire ambitieux.
Cahiers du Cinéma
Dans cette catharsis world (Asie, France, Ecosse, Amérique), la bêtise, le poujadisme et la misogynie s'effacent devant la pantomime très Replicant de Jet Li : regards de chien battu, animalité surjouée, rêve de renouer avec la sauvagerie du cinéma d'action.
Le Figaroscope
L'histoire est d'une bêtise affligeante. La réalisation de Louis Leterrier, très clipée, n'apporte rien au septième art. Jet Li n'est pas du tout crédible en jeune chien féroce qui se métamorphose en gamin angélique au contact de Morgan Freeman aveugle, accordeur de pianos et bon samaritain. Grr...
Le Monde
On n'engage pas un prodige des arts martiaux pour jouer du piano. Cette hypocrisie, qui déguise un film ultraviolent en fable humaniste, était déjà celle du Léon de Luc Besson, ici simple scénariste. Elle prend cette fois un tour politique : Danny, Chinois réduit à l'esclavage par un Anglais, est une figure du colonisé fidèle à tous les clichés, une sorte de grand enfant qui ne parvient à l'émancipation qu'avec un appui extérieur.
Paris Match
Que dire de gentil sur "Danny the dog" ? (...) Qu'il s'agisse de l'histoire ou des scènes d'action, rien n'est crédible. Heureusement que les combats sont bien filmés. Et qu'on ne vienne pas dire que cette ultraviolence complaisante ne tape pas sur les nerfs d'une jeunesse formatée pour ce genre de film.
Télérama
Même les scènes (banales) de kung-fu n'arrivent pas compenser la faiblesse de cette histoire made in England.