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    Cinema Paradiso
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    210 critiques spectateurs

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    Mephiless s.
    Mephiless s.

    63 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2015
    Giuseppe Tornatore signe une fresque sublime à partir d'une histoire magnifique et très touchante. En fait j'ai été comme avec La légende du pianiste sur l'océan, je ne voulais pas que le film s'arrête. J'aimais tout dedans, l'histoire, les personnages, la musique exceptionnelle de Morricone, une fois de plus... J'ai tout de même un reproche à faire, les acteurs surjouent parfois mais ça reste assez léger. Philippe Noiret a un rôle excellent et il l'incarne à la perfection. Il est à fois le père, le frère et l'ami de Salvatore. Cinema paradisio est un hommage sublime au cinéma où l'on voit l'évolution des pellicules et des caméras... J'ai suivi avec intérêt et passion l'histoire du héros et je ne voulais pas que le film s'arrête!
    -Gio-
    -Gio-

    42 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2008
    Un très beau film sur les salles de cinéma d'antan, avec un grand Philippe Noiret, et un Salvatore Cascio touchant. Très certainement un dès meilleurs films Italien.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2017
    Salvatore di Vita (Jacques PERRIN), qui vit à Rome, est prévenu par sa mère, qui vit en Sicile (où il n’est pas retourné depuis 30 ans), de la mort d’Alfredo (Philippe NOIRET), l’ancien projectionniste du cinéma Paradiso de son village. Un long flash-back montre sa jeunesse spoiler: (surnommé Toto, il partageait son temps entre l’église où il était enfant de chœur et la cabine de projection où Alfredo lui a appris le métier) et son adolescence (premier baiser le 31 décembre 1954 dans la cabine de projection et service militaire)
    . Très beau film sur l’amitié et la complicité entre un adulte (sans enfants) et un jeune ( spoiler: qui lui sauvera la vie
    ) dont le père est mort à la guerre et mal compris par sa mère, sur le temps qui passe (obsèques d’Alfredo très émouvantes) et les transformations qu’ont subies l’Italie et la Sicile (île natale du réalisateur) depuis la seconde guerre mondiale, sans oublier l’hommage au cinéma, notamment américain, français et italien. On y voit, notamment, des extraits des « Bas-fonds » (1936) de Jean Renoir avec Jean Gabin et Louis Jouvet, de « La chevauchée fantastique » (« Stagecoach ») (1939) de John Ford avec John Wayne et Claire Trevor, de « La terre tremble » (« La terra trema ») (1948) de Luchino Visconti, du « mensonge d’une mère » (« Catene ») (1949) de Rafaello Matarazzo, et d’ « Ulysse » (1954) de Mario Camerini avec Kirk Douglas dans le rôle-titre. .
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2007
    Un vibrant hommage au cinéma, mais au-delà, une histoire simp^le contée avec bonheur, justesse et émotion. Philippe Noiret est tout simplement formidable, guidé d'une main de maître par un Giuseppe Tornatore visiblement inspiré. Mais le moteur du film pèse sur les épaules du petit Toto qui donne là l'un des plus beaux exemples de rôle d'enfant. Un film émouvant, drôle et jamais larmoyant. Du bonheur !
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    49 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2006
    Véritable hommage au "Cinéma" et au temps qui passe. Philippe Noiret, montre encore une fois qu'il sera devant l'éternel, non seulement l'un des plus grands acteurs français, mais aussi l'un des plus grands acteurs de tous les temps.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2020
    Cinema Paradiso est un film profondément important car il traite d'émotions et de problèmes identifiables qui pourraient être considérés comme universels à bien des niveaux. L'histoire entière est une rétrospective similaire au style de Fellini ainsi qu'une histoire d'amour qui attire le spectateur sur le plan émotionnel. Le film tente également d'exposer une idée de la vie sicilienne, de la langue et de la manière dont l'histoire a pénétré et façonné la mentalité du peuple sicilien. Il montre également que les concepts traditionnels de ce qui est moral ou droit ne doivent pas être tenus pour acquis à cause du peuple et de son histoire particulière. Pour ceux qui n'aiment pas l'histoire ou la non-fiction, le film tente d'éduquer l'étranger qui n'est pas familier à l'histoire sicilienne en ce qui concerne l'ère de la Seconde Guerre mondiale. Je le regarde encore et encore et je vois de plus en plus de détails qui se rapportent à l'histoire. Je l'ai vu sur grand écran dans un cinéma en 1989 et c'était un succès auprès du public. Enfin, le film m'a fait pleurer car c'est après tout une histoire d'amour et il est clair à la fin que Toto (alias Salvatore) est toujours amoureux d'Elena et c'est pourquoi il ne s'est jamais marié ou s'est installé. La scène finale du générique le montre également en train de regarder Elena à nouveau et le regard sur son visage est révélateur. Ce film contient de nombreux petits indices qui servent à informer le spectateur et à donner un peu plus d'informations sur l'histoire. Vraiment c'est l'un des meilleurs films que j'ai jamais vu. Ces personnages prennent vie et nous avons l'impression de les connaître personnellement. Viva Giuseppe Tornatore pour son chef-d'œuvre...
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2012
    Un film rempli d'émotions en tous genres avec des acteurs merveilleux. La musique d'Ennio Morricone, moins imposante que dans les films de Leone, suffit tout de même à nous ouvrir les portes du Cinema Paradiso, un voyage d'une grande qualité.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 604 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2019
    C’est dans l’ouverture du cinéma de sa bourgade sicilienne natale, quelques années après la fin de la guerre, et dans sa rencontre avec Alfredo le projectionniste, que toute la vie de Salvatore Di Vita, devenu un grand réalisateur italien, trouve son origine et sa justification. Signe que ‘Cinema Paradiso’ est l’oeuvre d’un passionné qui veut faire oeuvre de pédagogie, on apprends pas mal de petites choses tout au long des deux heures trente de ce qui est à la fois une saga villageoise, un mélodrame poignant et une étude sur l’histoire du cinéma en Italie, qui approche le métier et les conditions de diffusion et de distribution des films à cette époque héroïque : la chaleur qui se dégageait des projecteurs, les bordereaux de prêt des bobines punaisés au mur, l’inflammabilité extrême de ces dernières, qui faisait du métier de projectionniste une profession à haut-risque,...mais on découvre surtout ce que représentait à cette époque le cinéma, loisir populaire par excellence capable de rassembler tout un village. Le spectacle se déroulait autant sur l’écran que dans la salle : on y chahutait, on y pleurait, on s’y indignait ensemble, on y répétait religieusement avec quelques secondes d’avance des dialogues connus sur le bout des doigts, les jeunes adultes y faisaient des rencontres et y flirtaient discrètement, tandis que les ados découvraient les choses de la vie avec Sophia Loren ou Brigitte Bardot. A l’ère du numérique et de la saturation des contenus, ponctué comme il l’est d’extraits de classiques italiens et internationaux, comédies slapstick, mélodrames muets et péplums Cinecitta, ‘Cinema Paradiso’ est une pure déclaration d’amour au 7ème Art, celui dont certaines images vous poursuivent une vie durant et parviennent à ce que vous puissiez, à des années d’écart, vous rappeler l’endroit, les personnes avec qui vous étiez et même ce que vous avez mangé le jour où vous avez découvert l’une des scènes immortelles en question. De manière plus littérale, l’ultime scène de ‘Cinéma Paradiso’, particulièrement émouvante, affirme haut et fort que sa plus grande force, son plus puissant marqueur d’immortalité, est justement sa capacité à survivre à ceux qui le rêvent, à ceux qui le façonnent et à ceux qui l’aiment. Si le cinéma, dans toutes ses dimensions, enserre le film de part en part, ce biais n’est pas exclusif puisque ‘Cinema Paradiso’ survole une enfance, puis une jeunesse italienne revisitées par le prisme d’un village méditerranéen typique, dont ses habitants les plus archétypaux font un personnage à part entière du récit : le curé qui veille à la moralité de ses ouailles en caviardant les scènes répréhensibles sur chaque pellicule, l’idiot du village qui erre sur la place en beuglant, le gagnant à la loterie qui s’improvise gérant de salle, Alfredo, le projectionniste bourru, qui incarne une figure paternelle pour le petit Salvatore, dont le père a disparu sur le front de l’est et, bien sûr, parce qu’on est tout de même dans un mélodrame (ou en tout cas dans quelque chose de très sentimental), il y a la femme, forcément inaccessible, parce qu’il est pauvre et qu’elle est riche, parce qu’on est en Italie dans les années 50 et parce que le destin s’en mêle, tout simplement. Ainsi ‘Cinema Paradiso’ parle de l’enfance, il parle de l’amour, il parle du cinéma et même du cas particulier du cinéma italien puisqu’à l’époque de la sortie de ‘Cinema Paradiso’, ce dernier, autrefois principal moteur de cinéma populaire européen, était à l’agonie, laminé par la concurrence de la télévision, un constat et un cri d’alarme implicite sur lequel Tornatore ne pouvait pas faire l’impasse. En fait, en contrepoint de l’immortalité présumée du 7ème art, le film parle de la Vie, de la manière dont elle s’accélère au moment même où on souhaiterait qu’elle ralentisse, alors qu’elle prenait tout son temps quand on brûlait de l’impatience des jeunes années. Lorsque Salvatore revient, à l’âge mûr, pour assister à l’enterrement d’Alfredo, dans ce village qu’il a fui 30 ans plus tôt, le film se mue en méditation sur le temps qui passe, le poids des souvenirs, les rêves qui se sont fanés, les choix existentiels dont, a posteriori, on n’est plus vraiment certain qu’ils étaient les bons, et ce retour aux sources se teinte d’une puissante mélancolie nostalgique. Peut-être que ces thèmes touchent une corde sensible chez moi mais alors que je n’avais absolument jamais entendu parler de ce film, pas plus que je ne l’avais classé dans ma catégorie mentale des choses que je devais voir absolument, ‘Cinema Paradiso’ fait partie de ces oeuvres dont on sait, instinctivement, qu’elles sont de véritables classiques du cinéma mondial.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 avril 2012
    Disons-le sans ambages : "Cinéma Paradiso" est un film magnifique sans pour autant être à 100% un film de Lover. C’est un film nostalgique sans être passéiste, émouvant sans être pleurnichard, touchant, sensible, bref un vrai film romantique comme toi, ami(e) Lover, tu les aimes sans doute aussi.
    Un célèbre réalisateur de cinéma, Salvatore (Jacques Perrin), apprend le décès du vieil Alfredo (joué par Philippe Noiret dans l’un de ses plus beaux rôles), l’ancien projectionniste du cinéma de son enfance, et il revoit sa vie dans ce petit village de la Sicile d’après guerre, quand on l’appelait Toto (Salvatore Cascio espiègle et d’un grand naturel), depuis la cabine de cinéma où il adorait passer des heures, jusqu’au moment où il quitte ce village, sur les conseils d’Alfredo, pour chercher ailleurs un avenir meilleur.
    Ce film est d’abord un vrai film d’amour, pour cet enfant qui découvre l’amour au cinéma, puis l’amour du cinéma et enfin, devenu grand, l’amour, mais qui ne dévie jamais de son rêve d’en faire son métier. Mais c'est aussi l’amour d’un vieil homme pour ce gamin qui grandit à ses côtés, qui lui sauve la vie, et à qui il apprendra tout de l’existence, y compris à voler de ses propres ailes. C’est enfin l’histoire d’amour entre Salvatore et Eléna, la jolie fille du banquier, où le réalisateur, en quelques scènes superbes, fait passer plus d’émotion que bien d’autres réalisateurs en un film entier.
    C’est du vrai cinéma comme on l’aime, un conte où l’on passe du rire aux larmes, d’une grande sensibilité. L’excellente musique d’Ennio Morricone escorte la vie de Toto à travers les années, accompagné de la tendresse et de la complicité qui l’unit ce vieil homme à travers leur passion commune. C’est aussi une vision nostalgique du cinéma d’autrefois, de ces salles de village d’avant la télévision, où tout le monde se retrouvait pour admirer un péplum ou un grand film hollywoodien.
    Un cinéma qui vivait, malgré la censure religieuse, où les gens applaudissaient, huaient, se passaient le mouchoir pour les scènes larmoyantes… Mais la scène de la destruction du cinéma, loin de vouloir nous signifier que « c’était mieux avant » est juste une référence au progrès qui passe et efface parfois ce que l’on a adoré.
    Il est difficile de passer sous silence la fin, poignante, de ce film. Petit Lovenaute, quand toi et l’élue de ton cœur verrez Salvatore (Jacques Perrin) découvrir le cadeau que le vieil Alfredo réservait à son élève, vous serez pris aux tripes et il ne te restera plus qu’à essuyer les larmes qui perleront sur son joli minois. Alors, elle te remerciera de lui avoir fait découvrir ce film de 1988, maintes fois récompensé, et qui n’a pas vieilli, et elle en redemandera.
    En somme, c’est vraiment un film idéal pour passer une bonne soirée en tête-à-tête, quand le chaud soleil de la Sicile nous attend. Certes, c’est avant tout une ode au cinéma et à l’amitié qu'une histoire de Lover. Mais c'est aussi un de ces films qui marquent des générations de spectateurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2011
    Une œuvre merveilleuse, pleine de poésie et d'humanité fleurant bon la nostalgie des cinémas d'antan. Un chef d'œuvre!
    Kiberen
    Kiberen

    23 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2021
    30 ans après sa sortie et en bénéficiant d'une restauration magnifique, "Cinema Paradiso" reste un chef d'oeuvre absolu, véritable étude pleine de vie de la salle de cinéma et de son public. Une plongée merveilleuse dans l'italie d'après guerre, déclaration d'amour aux petits cinémas populaires qui faisait la vie sociale des villages.

    L'envie de hurler de joie, de pleurer de sourire est constante, et les bons sentiments n'affectent jamais les qualités propres du film. Il est rare de voir une expression de ce qui fait notre humanité et notre amour du cinéma aussi généreuse, filmé avec tant de respect et d'amour. La nostalgie des premiers instants laissant place progressivement à un regard plus grave mais jamais sombre qui culmine avec merveille et recul dans son splendide troisième acte.

    Il est d'ailleurs intéressant de noter que cette version restaurée et approuvée par le réalisateur et son directeur de la photographie n'est pas la director's cut du réalisateur Guiseppe Tornatore mais bien la version cinéma plus courte de 25 minutes. Certains crieraient à l'hérésie sans peut être savoir que parmi les fans de "Cinéma Paradiso" dont je parti, le débat existe toujours sur quelle est la meilleure version, la director's cut n'étant pas si souvent que cela privilégié, la faute à de gros rajouts dans le troisième acte qui de l'avis de certains (dont moi) rendent le film bien trop long et amenuisent la portée émotionnelle de son final. A chacun de se faire son propre avis, mais pour cette version restaurée en tout cas ce sera la version cinéma de 2h.

    Foncez sur ce film si vous ne l'avez jamais vu, ne vous privez pas d'une formidable expérience de cinéma sur l'expérience du cinéma, sa beauté et ce qui l'a rend aussi unifiante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 août 2011
    Un film chargé d'émotions; avec un mélange d'amour, de tristesse et d'allégresse. L'histoire est touchante. On n'en fais plus des films comme ça de nos jours. Tout est raconté de façon exceptionnelle. Les images, la musique et les décors sont de grande beauté. La réalisation est très riche d'un point de vue artistique. On remarque que le réalisateur joue beaucoup la carte de la nostalgie. Et au final le spectateur se retrouve blasé. Et n'a qu'une seule envie, c'est de retourner à la bonne vieille époque.
    Fryzer
    Fryzer

    15 abonnés 371 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2024
    Je n’ai point les mots pour décrire cette œuvre, je viens de découvrir une perle rare qui a totalement impacté ma propre personne, une lettre d’amour à ce qu’on appelle le 7ème art, une réalisation sublimée par des acteurs incroyables, couplés par la BO de Morricone qui m’a fait frissonner tout le long et m’a donné une émotion comme j’ai rarement eu durant la séquence finale, un grand merci pour ce film Giuseppe Tornatore.
    Kestion
    Kestion

    17 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2010
    simple léger et lourd à la fois
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 décembre 2009
    Un très bon film ! Bravo !
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