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Acidus
726 abonnés
3 714 critiques
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3,5
Publiée le 1 septembre 2013
Bon film qui nous présente quelques aspects du kung-fu shaolin. Ces démonstrations et chorégraphies sont d'ailleurs ce que l'on doit retenir de ce long métrage à défaut d'un solide scénario. Cette initiation demeure toutefois passionnante et la durée du long métrage passe à une vitesse folle. Du bon boulot mais non exempt de défauts.
Un chef d'oeuvre ! La 36eme Chambre de Shaolin est un film magistral dans lequel les combats sont orchestrés à la perfection. Gordon Liu est l'incarnation idéale du héros assoiffé de vengeance et d'intégrité. Dirigé avec maestria par Liu Chia-Liang ( à la fois chorégraphe et réalisateur du film ), il crève littéralement l'écran. La 36eme Chambre est à la fois un grand film d'aventures, un sommet du kung-fu ainsi qu'une formidable leçon de vie : un film sur le dépassement de soi et sur la capacité de l'Homme à surmonter les difficultés. La mise en scène est diablement efficace, les combats sont de toute beauté, la musique est de facture traditionnelle mais magique. Toute la partie initiatique du personnage de Gordon Liu m'a bluffé : on voit effectivement que le film de Liu Chia-Liang ne se limite pas aux scènes d'actions. Même le scénario ( pourtant assez simple ) est bien ficelé ( et donc passionnant ). Un classique du genre ainsi qu'une référence pour de nombreux cinéphiles. A côté de ce petit bijou, Kill Bill n'est qu'un vulgaire faire-valoir. Jubilatoire !
L'archétype du film d'arts martiaux : un héros épris de vengeance, un parcours initiatique et un héros devenu combattant confirmé. Un grand classique du genre porté par le charisme de Gordon Liu.
La 36 ème chambre de Shaolin est un clasique du cinéma d'arts-martiaux. On y suit l'apprentissage de héros (intérprété de façon génial par Gordon Liu) ainsi que la sagesse qui va peu à peu l'envahir. Les scènes de kung-fu sont de plus parfaitement chorégraphiées et le résultat est un pur bonheur.
Film culte de kung fu, surement le plus symbolique, avec un excellent Gordon Liu, des cascades et des combats spectaculaires, un parcours passionant dans les chambres du kung fu. Un des meilleurs films de la firme Shaw Brothers.
Super film d’art martial racontant les prémices des moines du temple de Shaolin ayant combattus les mandchous Qing et restés loyaux au Ming bien après leur effondrement, les derniers bastions furent organisés, l’histoire se déroulant vers la moitié du 17ème, débutant dans la vengeance puis la remise en question, la philosophie est magnifique, l’enseignement se fait avec le temps, étape par étape que représente les 36 chambres d’entraînement, avec persévérance, patience, courage, abnégation et humilité.
Quand on voit ce film, les scènes de kung-fu actuelles paraissent bien fades (sauf quelques exceptions). Les chorégraphies sont somptueuses. Le travail derrière tout ça a dû être faramineux. L'histoire est ultra classique, mais réuni tout ce qu'il y a de plus excitant pour ce genre de film: un gentil qui veut se venger, un grand mechant et ses sbires, le gentil qui se prend une raclée, l'entraînement, et les affontements, où l'ont voit le fruit du travail de notre héros. Un authentique film de kung-fu d'une telle qualité, ça fait plaisir à voir.
Excellent film; vous voulez de l'action ? vous en aurez du début du film jusqu'à sa fin. On passe un très bon moment en regardant ce film même excellent moment. A voir Absolument si vous aimez bien les arts martiaux car dans ce film, ça rigole pas :P
Malgré le fait qu'il puisse sembler avoir un peu vieilli et la simplicité de son synopsis, ce film d'arts martiaux est incontestablement la plus belle production de la Shaw Brother. C'est grâce aux chorégraphies superbement exécutés par Gordon Liu et à l'incroyable parcours initiatique du jeune moine San Te qu’il interprète que le film a trouvé son ampleur. En tant que grand disciple des arts martiaux, Liu Chi-Lang a réussi à retransmettre à travers son récit la philosophie propre au célèbre monastère bouddhiste ainsi qu’une reconstitution historique passionnante (le moine San Te a réellement existé et est un personnage célèbre dans la mythologie chinoise, bien que, contrairement à ce que raconte le film, se ne soit pas lui qui ait ouvert le temple aux athées).
Pas grand chose à dire. La 36e chambre de Shaolin est un film de Kung Fu brillant, porté par les performances athlétiques de Gordon Liu il est passionnant à suivre pendant toute la période d’entraînement dans le monastère qui occupe les trois quarts du film. Même s’il a par moment un côté kitsch c’est dans l’ensemble une réussite et un bon moyen pour un néophyte comme moi de découvrir le monde du Kung-fu.
En prenant le film pour ce qu'il est, c'est à dire un film Chinois de 1977, j'arrive à comprendre pourquoi il est devenu un classique pour tous les fans d'arts martiaux. Il y a une naïveté très attachante et un réel intérêt quand à l'accomplissement des différentes chambres. Gordon Liu est très impliqué, certes, mais le film aurait mérité une bonne heure de plus afin d'en saisir tous les préceptes. C'est étrange que personne ne se soit lancé dans un remake, car le sujet possède un énorme potentiel...
Depuis que je me suis lancé dans une exploration du cinéma de Hong-Kong, j'ai souvent eu droit à des films de vengeance, et La 36ème Chambre de Shaolin ne déroge pas à cette règle. Néanmoins, c'est ici sous une forme plus spirituelle, où il est question d'un jeune homme se faisant moine pour mieux apprendre les divers enseignements du Kung-Fu.
L'oeuvre est franchement passionnante, on y suit un voyage initiatique assez simple mais vraiment bien et efficacement construit, d'ailleurs adapté de la vie du moine San Te. Liu Chia Liang démontre une vraie maîtrise du rythme et de la gestion des rebondissements, sachant en plus rendre le protagoniste intéressant voire même passionnant tant il rend sa quête vivante et prenante, tout en y incluant une dimension philosophique jamais lourde.
On y suit l'apprentissage du Kung-Fu mais surtout de la patiente et d'une certaine idéologie, alors que les épreuves sont aussi passionnantes qu'émotionnellement prenantes. La structure assez classique est sublimée, avec trois actes distincts où la violence entoure le long apprentissage. D'ailleurs, Liu Chia Liang n'hésite pas à remarquablement nous prendre à la gorge avec une série de combats épiques, à l'image de la première partie de l'oeuvre, et cette alternance est totalement maîtrisée.
La 36ème Chambre de Shaolin comporte tout un lot de séquences mémorables, à commencer par les entraînements où parfois un simple geste ou expression en dit bien plus que n'importe quel mot, notamment lorsqu'il arrive enfin à bout de certaines épreuves, alors qu'il arrive à créer une certaine empathie pour ce personnage. la reconstitution est assez efficace et bien mise en valeur, tandis qu'on ne peut qu'apprécier la prestation Gordon Liu, frère par adoption du réalisateur, et faisant preuve ici d'autant de force que d'émotion.
Alliant philosophie et art martial, La 36ème Chambre de Shaolin surprend malgré une trame plutôt classique, et Liu Chia Liang arrive à en faire ressortir une vraie force, ainsi qu'une de l'émotion, de la tension ou encore de la spiritualité.
Un des plus fameux films de kung-fu produit par la Shaw Brothers. Si sur le plan scénaristique le film n’est pas d’une originalité ébouriffante (le héros se fait tabasser par des méchants pas beaux, part au sommet de la montagne apprendre le Kung-fu auprès d’un vieux sage et revient foutre une raclée à ses ennemis), son influence sur le genre reste majeure. Le metteur en scène prend en revanche beaucoup de temps pour décrire l’entrainement a proprement parlé, ce qui démarque assez la 36e chambre d’autres films du même genre. Mais surtout Liu Chia-liang sait filmer avec brio ses séquences de combats. Il sait quand saisir en plans larges les performances physiques de ses acteurs et quand user de gros plans, d’inserts ou de ralentis pour mettre en lumière leur vitesse et leur précision.
Sans doute le film de kung fu le plus connu de la shaw brothers, de la planète et vénéré par Quentin Tarantino, "La 36ème chambre de shaolin" n'usurpe pas à sa réputation. Ce ne sont pas les combats superbement choégraphiés et découpé qui font sa principale force mais son scénario, assez classique dans sa forme, on suit la quête de vengeance d'un étudiant lambda face à l'oppression mandchou. C'est donc une quête initiatique, mais une quête dans la plus pure tradition philosophique du kung fu, ( parfaite maitrise du corps et de l'esprit ) c'est une autre culture pour nous petits occidentaux, mais il apporte une certaine fraîcheur, un renouveau. Ne vous arrêtez pas à ses décors kitsch, ses acteurs qui surjouent naivement, aux doublage français catastrophiquement honteux et comique ou à ses bruitages incroyables parfois digne d'une super nintendo, tous les vieux films de kung fu sont comme ça, faut faire l'effort d'aller plus loin. Son scénario est en béton armé, sa mise en scène originale ( il y a pas beaucoup de travelling mais le zoom est beaucoup utilisé ). En bref un must du genre.
La 36ème Chambre De Shaolin est un des plus célèbres films de kung-fu produit par les Shaw Brothers, célèbre studio hongkongais des années 60 et 70 qui popularisa les arts martiaux à travers le monde. Il met en scène l'acteur Gordon Liu qui incarne un fils de poissonnier (sans doute du XVIIe ou XVIIIe siècle) qui cherche à apprendre le kung-fu dans le temple bouddhiste de Shaolin afin de venger sa famille massacrée par les Mandchous. La phase d'entraînement du jeune apprenti est décrite avec précision à travers les 35 chambres du temple ce qui en fait l'intérêt principal du film. Les scènes de combat sont également un des points forts de Shaolin Master Killer. Le début du film est assez anecdotique. À ne pas manquer si vous êtes fan d'arts martiaux ou de culture asiatique.