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On pouvait craindre le pire (...). On a finalement le meilleur. Un Crime dans la tête est incontestablement un joyau d'une maîtrise admirable, véritable bombe à fragmentation sur l'administration Bush et grand cri de douleur post-11-Septembre d'une société hantée par un flot d'images cachées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Jonathan Demme (...) ne peut (et n'a même pas l'air de vouloir) révolutionner l'exercice. Il se contente,(...), d'y apporter avec son savoir-faire, tension et efficacité. (...) Aux Etats-Unis, le film de Jonathan Demme est sorti (...), quelques temps après l'occupation irakienne. Ces ambiguïtés, (...) apportent une dimension supplémentaire et tout à fait troublante au film...
Derrière les soubresauts d'une histoire qui flirte parfois avec le fantastique, Demme décrypte un monde, le nôtre, où la manipulation et le mensonge, érigés au rang de beaux-arts, dynamitent toutes les valeurs. En ce sens, ce thriller étrange et résolument non naïf impose sa puissance de feu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Surfant sur des thèmes actuels vraiment flippants (le délire sécuritaire, la collusion Big-Business-politique et la toute puissance des mass medias) le cinéaste réussit son meilleur film depuis Le Silence des Agneaux.
La critique complète est disponible sur le site Score
Surprise, Un Crime dans la tête transpose intelligemment l'original de John Frankenheimer, le faisant passer de la guerre froide à celle du Golfe pour raconter une glaçante histoire de manipulation mentale (...). Actuel, solide et électrisé par une Meryl Streep littéralement monstrueuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Mine de rien, le film va assez loin dans la mise en lumière d'un pouvoir d'autant plus inquiétant qu'il semble ne plus obéir qu'à des intérêts particuliers. (...) Impossible aussi de ne pas songer à Bush Jr, à sa relation avec son père, à ses faits de guerre dérisoires. Le visage et les attitudes de Liev Schreiber, (...), vaut presque autant qu'une pétition.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Jonathan Demme a-t-il réalisé le film de guerre qu'attend le cinéma américain depuis une paie? Détrompons-nous. Très vite, Un crime dans la tête quitte le théâtre des opérations pour la comédie du pouvoir. (...) Là où ça marche, c'est quand s'inventent le quotidien de la maladie et sa résistance...
Au menu : manipulation psychique orchestrée par un puissant groupe financier. Et grosses ficelles pour ce film de politique fiction, bien mené malgré tout par un Denzel Washington toujours impeccable.
En intégrant des éléments improbables, l'histoire devient abracadabrante. C'est d'autant plus irritant que la mise en scène est stylée et les acteurs impressionnants.
Un crime dans la tête n'est pas bon. Ni nul. C'est un long (2 h 10) remake du Manchurian Candidate, qui se suffisait. Denzel Washington, qu'on voit un peu trop (Man on Fire la semaine dernière), a beau ne pas être mal non plus, il ne peut valoir Sinatra, ni le Golfe, la Corée.
Commençant comme un bon polar parano qui dose parfaitement ses thèmes (...), Un Crime dans la tête bifurque ensuite vers des rebondissements de plus en plus invraisemblables qui décrédibilisent la première partie réaliste du film.
L'intention est honorable, le résultat affligeant. Peut-être est-ce une nouvelle stratégie : attaquer l'idéologie dominante à coups de nanars politiquement corrects. C'est peu efficace mais rigolo.
Paresseusement filmé, ratant systématiquement les effets recherchés, plombé par une interprétation grimaçante et caricaturale, Un crime dans la tête ne manquera pas de confirmer que, décidément, depuis l'excellent Silence des agneaux, le cinéaste semble avoir perdu toute inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un crime dans la tête finit par étouffer le spectateur, atteint par les symptômes d'un cinéma moderne qui en fait des tonnes, visuellement et scénaristiquement.
Chronic'art.com
On pouvait craindre le pire (...). On a finalement le meilleur. Un Crime dans la tête est incontestablement un joyau d'une maîtrise admirable, véritable bombe à fragmentation sur l'administration Bush et grand cri de douleur post-11-Septembre d'une société hantée par un flot d'images cachées.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Jonathan Demme (...) ne peut (et n'a même pas l'air de vouloir) révolutionner l'exercice. Il se contente,(...), d'y apporter avec son savoir-faire, tension et efficacité. (...) Aux Etats-Unis, le film de Jonathan Demme est sorti (...), quelques temps après l'occupation irakienne. Ces ambiguïtés, (...) apportent une dimension supplémentaire et tout à fait troublante au film...
Première
Derrière les soubresauts d'une histoire qui flirte parfois avec le fantastique, Demme décrypte un monde, le nôtre, où la manipulation et le mensonge, érigés au rang de beaux-arts, dynamitent toutes les valeurs. En ce sens, ce thriller étrange et résolument non naïf impose sa puissance de feu.
Score
Surfant sur des thèmes actuels vraiment flippants (le délire sécuritaire, la collusion Big-Business-politique et la toute puissance des mass medias) le cinéaste réussit son meilleur film depuis Le Silence des Agneaux.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Surprise, Un Crime dans la tête transpose intelligemment l'original de John Frankenheimer, le faisant passer de la guerre froide à celle du Golfe pour raconter une glaçante histoire de manipulation mentale (...). Actuel, solide et électrisé par une Meryl Streep littéralement monstrueuse.
Télérama
Mine de rien, le film va assez loin dans la mise en lumière d'un pouvoir d'autant plus inquiétant qu'il semble ne plus obéir qu'à des intérêts particuliers. (...) Impossible aussi de ne pas songer à Bush Jr, à sa relation avec son père, à ses faits de guerre dérisoires. Le visage et les attitudes de Liev Schreiber, (...), vaut presque autant qu'une pétition.
Cahiers du Cinéma
Jonathan Demme a-t-il réalisé le film de guerre qu'attend le cinéma américain depuis une paie? Détrompons-nous. Très vite, Un crime dans la tête quitte le théâtre des opérations pour la comédie du pouvoir. (...) Là où ça marche, c'est quand s'inventent le quotidien de la maladie et sa résistance...
L'Humanité
Un thriller efficace, mais qui manque un peu de lustre et/ou de folie. Jonathan Demme n'a toujours pas retrouvé l'acuité de son Silence des agneaux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Au menu : manipulation psychique orchestrée par un puissant groupe financier. Et grosses ficelles pour ce film de politique fiction, bien mené malgré tout par un Denzel Washington toujours impeccable.
Les Inrockuptibles
En intégrant des éléments improbables, l'histoire devient abracadabrante. C'est d'autant plus irritant que la mise en scène est stylée et les acteurs impressionnants.
Libération
Un crime dans la tête n'est pas bon. Ni nul. C'est un long (2 h 10) remake du Manchurian Candidate, qui se suffisait. Denzel Washington, qu'on voit un peu trop (Man on Fire la semaine dernière), a beau ne pas être mal non plus, il ne peut valoir Sinatra, ni le Golfe, la Corée.
Rock & Folk
Commençant comme un bon polar parano qui dose parfaitement ses thèmes (...), Un Crime dans la tête bifurque ensuite vers des rebondissements de plus en plus invraisemblables qui décrédibilisent la première partie réaliste du film.
Rolling Stone
Remake d'un film des années 60 (...), ce thriller de Jonathan Demme ne décevra pas les amateurs de complots bien alambiqués.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
L'intention est honorable, le résultat affligeant. Peut-être est-ce une nouvelle stratégie : attaquer l'idéologie dominante à coups de nanars politiquement corrects. C'est peu efficace mais rigolo.
Le Monde
Paresseusement filmé, ratant systématiquement les effets recherchés, plombé par une interprétation grimaçante et caricaturale, Un crime dans la tête ne manquera pas de confirmer que, décidément, depuis l'excellent Silence des agneaux, le cinéaste semble avoir perdu toute inspiration.
aVoir-aLire.com
Un crime dans la tête finit par étouffer le spectateur, atteint par les symptômes d'un cinéma moderne qui en fait des tonnes, visuellement et scénaristiquement.