Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) tous les éléments du film s'articulent en un récit impressionniste mais fortement symbolique : une allégorie grave et oppressante, sur le Portugal à la veille de la révolution des Oeillets.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
Le manège est beau, captivant, mais une fois que l'on en descend, l'étourdissement s'estompe rapidement.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Adapté d'un classique de la littérature portugaise, la fin d'une famille et d'une époque. Entre désir et frustration, putréfaction et raffinement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Le spectateur cherchera alors à dénouer les fils d'une intrigue et d'un drame passionnel, tout en étant le témoin de la lente déliquescence d'un couple.
Première
par Sophie Grassin
Le film puise parmi les thèmes chers à Manuel De Oliveira (...). Et envoûte par sa violence feutrée et sa torpeur mortifère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Du roman de José Cardoso Pires, très célèbre au Portugal, Fernando Lopes a tiré un film sur la décomposition par le vide. Quelques cinéphiles purs et durs se souviennent du climat oppressant qu'il avait su tirer, il y a trente ans, d'un autre roman, Une abeille sous la pluie. On retrouve ici son goût pour la lenteur, l'austérité. Et aussi son talent pour rendre sensible une ambiguïté mas- quée qui affleure, cependant, à chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Un univers rigide et moribond auquel le réalisateur parvient à donner réellement corps, en privilégiant une esthétique à la sobriété élégante, tout en se gardant de l'émotion.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré quelques scènes fulgurantes, les acteurs sont entravés par le hiératisme du cadre et des mouvements de caméra. Cette retenue glacée empêche de s'attacher fortement à une oeuvre qui reste, de toute façon, un passionnant exercice de mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Aden
(...) tous les éléments du film s'articulent en un récit impressionniste mais fortement symbolique : une allégorie grave et oppressante, sur le Portugal à la veille de la révolution des Oeillets.
Cahiers du Cinéma
Le manège est beau, captivant, mais une fois que l'on en descend, l'étourdissement s'estompe rapidement.
Les Inrockuptibles
Adapté d'un classique de la littérature portugaise, la fin d'une famille et d'une époque. Entre désir et frustration, putréfaction et raffinement.
MCinéma.com
Le spectateur cherchera alors à dénouer les fils d'une intrigue et d'un drame passionnel, tout en étant le témoin de la lente déliquescence d'un couple.
Première
Le film puise parmi les thèmes chers à Manuel De Oliveira (...). Et envoûte par sa violence feutrée et sa torpeur mortifère.
Télérama
Du roman de José Cardoso Pires, très célèbre au Portugal, Fernando Lopes a tiré un film sur la décomposition par le vide. Quelques cinéphiles purs et durs se souviennent du climat oppressant qu'il avait su tirer, il y a trente ans, d'un autre roman, Une abeille sous la pluie. On retrouve ici son goût pour la lenteur, l'austérité. Et aussi son talent pour rendre sensible une ambiguïté mas- quée qui affleure, cependant, à chaque instant.
Zurban
Un univers rigide et moribond auquel le réalisateur parvient à donner réellement corps, en privilégiant une esthétique à la sobriété élégante, tout en se gardant de l'émotion.
Le Monde
Malgré quelques scènes fulgurantes, les acteurs sont entravés par le hiératisme du cadre et des mouvements de caméra. Cette retenue glacée empêche de s'attacher fortement à une oeuvre qui reste, de toute façon, un passionnant exercice de mémoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr