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Le titre est vague, mais le film est très précis. il ne veut montrer que l'ébauche d'une situation, ou son accomplissement. (...) De courtes scènes, elliptiques, dont la pudeur pousse sans cesse le spectateur à refuser à refuser toute interprétation hâtive.
Les Convoyeurs attendent était une comédie sociale et sombre. Ce second long métrage, sobre et poignant, est un drame de la coupure et de la cicatrice.
La stylisation adoptée côtoie (...) un naturalisme plus cru. Comme si c'était dans l'hétérogénéité des styles que résidait la meilleure manière d'approcher au plus juste, au plus près, la question de l'altérité. Benoît Mariage a réussi, dans la manière dont ces apparentes variations stylistiques ont été réutilisées, ce qu'il avait partiellement raté dans son premier long métrage, Les convoyeurs attendent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le titre est laconique. Benoît Mariage n'est pas à proprement parler un cinéaste démonstratif. Ce qui tombe plutôt bien, attendu qu'avec un tel sujet (...), il pouvait à chaque instant faire basculer son film dans le pathos. Au lieu de quoi, à mesure qu'il se drape dans lapudeur et la retenue, son psychodrame se nourrit de silence et d'équivoque.
Là où Hollywood aurait truffé l'oeuvre d'effets mélodramatiques, Benoît Mariage opte pour des dialogues simples et courts, une mise en scène discrète et une direction d'acteurs sobre à souhait. (...) Résultat : un film poignant et dérangeant, qu'on a du mal à chasser de son esprit.
Ce type de sujet requiert une grâce qui scellerait le triomphe de la transcendance sur la morne réalité. N'est pas Kieslowski qui veut, mais la tentative suscite l'estime.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est écoeurant de nullité, hilarant de laideur, et malheureusement très sérieux : pas une once de réalisme là-dedans, juste une immonde et racoleuse volonté de vérisme qui ferait passer le moindre épisode de Strip-tease pour un sommet de réalisme social.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
Le titre est vague, mais le film est très précis. il ne veut montrer que l'ébauche d'une situation, ou son accomplissement. (...) De courtes scènes, elliptiques, dont la pudeur pousse sans cesse le spectateur à refuser à refuser toute interprétation hâtive.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Les Convoyeurs attendent était une comédie sociale et sombre. Ce second long métrage, sobre et poignant, est un drame de la coupure et de la cicatrice.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La stylisation adoptée côtoie (...) un naturalisme plus cru. Comme si c'était dans l'hétérogénéité des styles que résidait la meilleure manière d'approcher au plus juste, au plus près, la question de l'altérité. Benoît Mariage a réussi, dans la manière dont ces apparentes variations stylistiques ont été réutilisées, ce qu'il avait partiellement raté dans son premier long métrage, Les convoyeurs attendent.
Libération
Le titre est laconique. Benoît Mariage n'est pas à proprement parler un cinéaste démonstratif. Ce qui tombe plutôt bien, attendu qu'avec un tel sujet (...), il pouvait à chaque instant faire basculer son film dans le pathos. Au lieu de quoi, à mesure qu'il se drape dans lapudeur et la retenue, son psychodrame se nourrit de silence et d'équivoque.
MCinéma.com
Là où Hollywood aurait truffé l'oeuvre d'effets mélodramatiques, Benoît Mariage opte pour des dialogues simples et courts, une mise en scène discrète et une direction d'acteurs sobre à souhait. (...) Résultat : un film poignant et dérangeant, qu'on a du mal à chasser de son esprit.
Première
L'étrange poésie de Benoît Mariage déclinée autour de l'idée du double s'insinue en nous pour longtemps.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Simple, fort, et audacieux.
Les Inrockuptibles
une fable intimiste et pudique, presque trop lisse.
Télérama
Ce type de sujet requiert une grâce qui scellerait le triomphe de la transcendance sur la morne réalité. N'est pas Kieslowski qui veut, mais la tentative suscite l'estime.
Chronic'art.com
C'est écoeurant de nullité, hilarant de laideur, et malheureusement très sérieux : pas une once de réalisme là-dedans, juste une immonde et racoleuse volonté de vérisme qui ferait passer le moindre épisode de Strip-tease pour un sommet de réalisme social.