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vadorbane93
22 abonnés
557 critiques
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5,0
Publiée le 9 septembre 2008
magnifique , ce film ,vu très jeune,m'avait bouleverser comme rarement. Costner , au fait de sa gloire y est fabuleux de même que liotta.La partie de base ball au milieux d'un champ , avec pour héros les vieilles gloires de ce sport est extraordinaire et pleine d'émotion.
Ils devraient mettre un avertissement au début: "ceci est une fiction, si vous aussi entendez des voix, ne faites pas tout ce qu'elles vous dise!.." Intéressant d'avoir vu celui-ci de 1989, juste après avoir maté le tout dernier Eastwood (2013, "trouble with the curve"): espacés de plus de vingt ans mais les deux ont pour point central le baseball, et autour de cela bien entendu le "rêve américain". Jusqu'au bout du rêve (américain...) est cool pour le côté merveilleux de l'histoire, ça vaut le détour. Mais alors après, tous les ingrédients d' un sentimentalisme et d'une culture américaine inséparable du religieux y sont présents... Du côté disney, en passant par la femme de Cosner qui fait peur à se soumettre (dévouer?..) à son bon mari (et reste bien au chaud avec les enfants... elle est gentille) pour une histoire de fou (elle a foi en son mari qui lui a foi en les voix qu'il entend) elle en devient comme "touchée par le feu de Dieu" (choquant comme elle passe son temps a rire bêtement ca vaut le détour), le gentil black dans le second rôle, spoiler: qui disparait bien sûr , bref vise un public plus enfant (ou famille de moutons?? ) avec sa morale propagandesque de la foi par dessus tout, qui concerne les "méritants", ceux qui savent voir (ce qu'ils croient et pas ce qu'ils voient...), de tout leur coeur et explicitement sans leur esprit, un peu comme W.Bush junior dans sa rédemption de l'alcool lol il suffit de vouloir, c'est facile avec le "free-will"... bref , la femme de Cosner donne le bon exemple de ce si pûr dévouement. Et vraiment, on s' émerveille face à cet éden cinématographique et on entre dans la secte heu...dans l'histoire! Peut-être aussi culte qu'énervant de niaiserie 3/5.
A la fois comédie dramatique et film fantastique, "Jusqu'au bout du rêve" est une oeuvre qui possède une bonne dose d'émotions au niveau de son histoire et de sa mise en scène. Mais ce film mérite d'être visionner aussi pour la superbe performance de Kevin Costner dans le rôle principal et pour la présence de Burt Lancaster.
J'ai eu beaucoup de mal à adhérer au concept, aux idées de ce film, certes on a voulu faire passer un message d'espoir, avec ce mec qui entend des voix et qui veut suivre son instinct de bâtir un terrain de baseball dans son champ. Vraiment rien n'a de sens de A à Z. C'était la mode les films de fantômes dans les années 80. Là ça a vraiment mal vieilli et la sauce ne prend plus... aucune émotion alors que j'ai la larme facile en général.
Une fable attachante et pleine de bons sentiments, mais beaucoup trop naïve, mielleuse et peu emballante, en dépit d’un casting prometteur, avec notamment Burt Lancaster dans son dernier rôle.
Entre enquête fantastique et quête émotionnelle cette fable sur les rêves brisés et les espoirs déçus bénéficie d'un plaisant casting et d'une tonalité douce, sans lourd didactisme ni mièvrerie exacerbée. Plutôt neutre dans sa mise en scène et assez classique dans sa structure et même dans son propos ce feel-good movie se fait souriant entre naïveté heureuse et onirisme spirituel. Baigné de tendresse.
Pffff c'est la désillusion... je me faisais une joie de voir ce film sur le baseball avec Kevin Costner, un de mes héros d'enfance mais je n'ai pas aimé ça du tout !! C'est kitsch, ça a mal vieilli, l'histoire est mauvaise, tirée par les cheveux et même pas émouvante ! C'est truffé d'humour pas drole, la femme du fermier est insupportable en prime... non pour moi ca n'a pas pris.. tant pis !
Dans Duo à trois, Susan Sarandon jouait une fanatique de baseball, discipline qu'elle élevait au rang de religion. Je n'avais pas trouvé ça très convaincant, et encore moins maintenant que j'ai vu Field of Dreams. Ce film construit des relations humaines impossibles comme si de rien n'était (et il finira d'ailleurs par aller trop loin), mais il est poétique dans sa manière de mettre en scène le surnaturel si l'on est pas hermétique aux valeurs américaines du sport et de la famille. Sa naïveté est bien dissimulée par un couple qui marche, et il faudra attendre le générique de fin pour que le charme se rompe et qu’on réalise qu'ils semblaient sortir d'une publicité pour du yaourt.
Attention donc : entre paranormal et gnangnan, l’accompagnement du scénario est lourd et l’on en sort facilement nauséeux si les États-Unis ne nous attirent pas, mais ça reste une porte d’entrée sur le patrimoine du pays. L'espace d'un instant, j'ai cru comprendre ce que ça fait d'avoir le baseball au cœur de sa culture.
Cette histoire a des allures de fables de disney, aux scénarios illogiques et à la tendresse des reves fous. Cette fable sportive nous fait voyager dans une Amérique passionnée de base ball, à la rencontre de personnes atypiques. Le film n'a rien d'extraordinaire mais juste ce coté attendrissant et naif de ne pas s'étouffer à expliquer ce qui ne peut l'être ( les hallucinations ). Les perso principal voit des hallucinations, mais "pas grave", on ne perd pas de temps dans l'explication mais dans la signification. Comme si le réalisateur voulait conserver cette part de rêve inexpliqué, ce charme des contes sportifs dans cette société très terre à terre. Un film qui décidément porte bien son nom.
Magnifique ! Un mélange de conte de fées sentimental pour adulte mais qui ne force pas la chose pour nous tirer des larmes. Kevin costner comme a son habitude parfait entouré de seconds couteaux tels que James Earl Jones et une petite apparition du grand Burt Lancaster (dont sa dernière scène dans le film et comme un adieu a sa carrière) . Ce film nous fait dire qu'il est bon de rêver, rempli des bonnes valeurs américaines (l'audace, générosité, famille...). Accroché par l'histoire, celle ci nous tiendra en haleine jusqu'a la dernière scène, forte en émotion.
Bon, c'est vrai qu'il a quelques côtés sympas, ce « Jusqu'au bout du rêve » : un casting séduisant et charismatique (Kevin Costner, Ray Liotta, James Earl Jones, Burt Lancaster et d'autres : tout de même!), un côté « rêve de gosse » plutôt plaisant et une mise en scène à peu près potable. Mais bon, reste que tout ceci est quand même un peu niais. Au-delà de cette dimension très « familiale » aussi bien dans le déroulement de l'intrigue que dans ses valeurs, le film se contente toujours de jouer la carte de la facilité à toute épreuve, d'autant que si vous n'avez pas la passion du baseball (comme j'imagine c'est le cas de beaucoup de personnes en France), le résultat final vous paraîtra bien oubliable et d'un intérêt assez mineur. Pas déplaisant donc, mais passable.
Jusqu'au bout du rêve est un beau conte, porté par le génial Kevin Costner. Les seconds rôles sont tout aussi bons et le scénario nous porte vers une histoire attachante et émouvante (notamment à la fin). De belles images et musiques (composées par James Horner) amènent le tout à un haut niveau, qui satisfera petits et grands.
Jolie film porté par Kevin Costner alors qu'il commençait à percer à Hollywood. Une drôle d'étrangeté, sorte de film fantastique hallucinatoire. Une interprétation dans les règles pour Costner et une fin émouvante. Une chose est sure, ce film O.V.N.I. ne peut pas plaire à tout le monde !
Malgré son aspect surréaliste, cette comédie du réalisateur américain Phil Alden Robinson, sortie en 1989, possède un caractère attendrissant. Un agriculteur de l’Iowa (l’excellent Kevin Costner) entend des voix qui lui indiquent de construire un terrain de base-ball sur son exploitation. Tout cela dans le but de faire revivre d’anciennes gloires de ce sport, disparues depuis de nombreuses années. Le scénario demeure totalement farfelu, mais le développement de l’histoire permet des rencontres inattendues (les personnages de Ray Liotta et Burt Lancaster notamment). Bref, ce retour dans le passé pour cicatriser une blessure sentimentale enfouie au plus profond nous maintient en éveil jusqu’au final très émouvant.