Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Fluctuat.net
par Gilles Lyon-Caen
Extatique, Turning gate : un mirage de cinéma. Et désormais, un point de non-retour. (...) Une grâce inégalable.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Turning gate nous laisse l'âme en paix, tout juste un peu déchiré, comme un ciel après l'orage.
Télérama
par Louis Guichard
(...) son (Hong Sang-soo) cinéma est tout à la fois bizarre et familier, comique et poignant, aussi pétri de chair que de pensée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Voilà la consécration d'un très grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La profonde surprise que le film distille de bout en bout (...), se livre telle quelle, nue, frontale, sans souci d'ébahir un spectateur de toutes façons assez grand pour repérer ce que le film possède de charme insistant et de silence occulte.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Le réalisateur le plus novateur du jeune cinéma sud-coréen revient avec un film apaisé qui tranche avec sa trilogie passée.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Tableaux filmés frontalement, portraits dessinés au trait, émouvants ou drôles peu importe, c'est prenant et on ne sait pas toujours pourquoi (...)
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dans son quatrième long métrage, le Coréen Hong Sang-soo se livre à des variations drôles et cruelles sur le dépit amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier PERON
Avec Turning Gate, évocation pointilliste du marasme amoureux, le Coréen Hong Sang-soo conforte sa stature de nouveau maître.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Léger et poétique, TURNING GATE est un vrai ravissement. Vivement le cinquième film du cinéaste !
Positif
par Adrien Gombeaud
Turning gate est sans doute l'oeuvre la plus drôle du cinéaste, et son plus grand succès en Corée à ce jour. Il est vrai qu'on se sent bien dans ces couleurs chaudes, en compagnie de deux actrices irrésistibles (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Délicate sarabande ivre sur la mécanique foutraque du hasard et la nécessité vitale du désir, Turning gate confirme qu'Hong est grand.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Maathieu Orléan
Ce film ne nous montre pas un cas d'Alzheimer, mais l'impossibilité de compartimenter le temps en tranches : la vie est un torrent s'amour dans lequel le passé et le présent sont de pure convention. Un film en boucle, comme le serpent.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Turning gate distille discrètement un charme qui opère longtemps après avoir quitté la salle obscur.
aVoir-aLire.com
par Gaëlle Lennon
Avec Turning gate, Hong Sang-soo filme avec talent et justesse les rapports amoureux. Une valse étrange faite de désir et de refus, dans laquelle les personnages, jouets de la fatalité et de la légende ne se croisent jamais dans leurs amours à sens unique.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Fabrique d'un radical (...), ou précis de radicalité, Turning Gate le devient alors par une mise en scène qui replie sur l'action en cours un extérieur fugitivement escamoté.
Fluctuat.net
Extatique, Turning gate : un mirage de cinéma. Et désormais, un point de non-retour. (...) Une grâce inégalable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Turning gate nous laisse l'âme en paix, tout juste un peu déchiré, comme un ciel après l'orage.
Télérama
(...) son (Hong Sang-soo) cinéma est tout à la fois bizarre et familier, comique et poignant, aussi pétri de chair que de pensée.
Aden
Voilà la consécration d'un très grand cinéaste.
Chronic'art.com
La profonde surprise que le film distille de bout en bout (...), se livre telle quelle, nue, frontale, sans souci d'ébahir un spectateur de toutes façons assez grand pour repérer ce que le film possède de charme insistant et de silence occulte.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le réalisateur le plus novateur du jeune cinéma sud-coréen revient avec un film apaisé qui tranche avec sa trilogie passée.
L'Obs
Tableaux filmés frontalement, portraits dessinés au trait, émouvants ou drôles peu importe, c'est prenant et on ne sait pas toujours pourquoi (...)
Le Monde
Dans son quatrième long métrage, le Coréen Hong Sang-soo se livre à des variations drôles et cruelles sur le dépit amoureux.
Libération
Avec Turning Gate, évocation pointilliste du marasme amoureux, le Coréen Hong Sang-soo conforte sa stature de nouveau maître.
MCinéma.com
Léger et poétique, TURNING GATE est un vrai ravissement. Vivement le cinquième film du cinéaste !
Positif
Turning gate est sans doute l'oeuvre la plus drôle du cinéaste, et son plus grand succès en Corée à ce jour. Il est vrai qu'on se sent bien dans ces couleurs chaudes, en compagnie de deux actrices irrésistibles (...)
Première
Délicate sarabande ivre sur la mécanique foutraque du hasard et la nécessité vitale du désir, Turning gate confirme qu'Hong est grand.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Ce film ne nous montre pas un cas d'Alzheimer, mais l'impossibilité de compartimenter le temps en tranches : la vie est un torrent s'amour dans lequel le passé et le présent sont de pure convention. Un film en boucle, comme le serpent.
TéléCinéObs
Turning gate distille discrètement un charme qui opère longtemps après avoir quitté la salle obscur.
aVoir-aLire.com
Avec Turning gate, Hong Sang-soo filme avec talent et justesse les rapports amoureux. Une valse étrange faite de désir et de refus, dans laquelle les personnages, jouets de la fatalité et de la légende ne se croisent jamais dans leurs amours à sens unique.
Cahiers du Cinéma
Fabrique d'un radical (...), ou précis de radicalité, Turning Gate le devient alors par une mise en scène qui replie sur l'action en cours un extérieur fugitivement escamoté.