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Nicolas B
113 abonnés
327 critiques
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2,0
Publiée le 12 décembre 2011
Bof bof, cette suite aussi inutile qu'innoffensive s'avère decevante pour son manque d'angoisse, de frissons et qui ne se prend pas au serieux: pour commencer, on retrouve Andy dans un camp militaire...rien qu'à voir les décors et l'ambiance du film vaut mieux vite oublier les frissons avant de continuer le visionnage (dans un hopital psychiatrique aurait été preferable je pense avec ce qu'a vecu Andy et son "meilleur ami" Chucky). Le jeux d'acteur est très très bas au point de nous faire perdre toute credibilité. S'en ai de meme pour l'histoire qui est carrement ecrite à l'arrache et à la va-vite. Le but de cette suite ? Aucun à part nous faire voir encore une serie de meurtre de chucky à l'arme blanche (mais pas toujours). Pour respecter le premier opus de Tom Holland, je pense qu'il aurait été preferable de ne pas réalisé cette suite ainsi que les pétard mouillé trampés de leur domaine du nanar "La fiancé de Chucky" et "Le Fils De Chucky" qui sont de plus en plus ridicule et guignolesque. Heureusement avant ce désastre, ce 3eme opus nous offre une derniere serie de meurtre pratiquement serieuse, sans vulgarité osée, sans débilité mais qui reste toutefois discutable sur la façon dont le réalisateur est allé chercher ses idées (pourquoi Chucky peut maintenant transmettre son âme dans le corps d'une personne differente que Andy alors qu'à la base c'était à la personne auquel il avait révélé son secret ? Juste parce qu'il est revenu à la vie donc les regles ont changé ? c'est très tiré par le cheveux tous ca, ou bien ou se fout de nous ?). En tout cas tous cet ensemble reste desesperement bas mais qui nous averti surement le désastre que vont causer les 4eme et 5eme opus. 2/5 Restez sur les deux premier et n'allez pas plus loin sinon vous découvrirez que Chucky = Nanar après avoir vu les 3 derniers volet de la saga plongé dans la stupidité au fur et à mesure que le nombre de volet augmente.
Andy à grandit et il se retrouve dans une caserne militaire. Une heure entrainante pour que ce troisième volet se termine bien plus faiblard que son précédent. puis alors dans le genre pas de pot, Chucky n'arrive pas à reprendre un corps humain, et justement j'énonce un petit truc qui me froisse, il lui faut une plombe pour qu'il termine son incantation, vous me direz cela fait parti du jeu. Chucky 3 reste mon second volet préféré.
Je pensais retrouver en Chucky un Freddy de susbstitution. En effet, la saga du croquemitaine des rêves m'avait passionné et remplissait un critère cher à mes préférences cinématographique, la mise en scène des rêves.
Ici Chucky remplissait un autre critère : la teneur badass du tueur. Et il faut reconnaître que le "Die, bitch, die" du premier opus m'avait déjà conquis. Le deuxième opus n'était pas excellent, mais il restait quand même assez sympathique et c'était un bon film, objectivement. Ce troisième opus n'est PAS un bon film. C'est un nanar horrifique, dans la plus pure tradition du slasher. Alors ce qui compte, bien évidemment, c'est le tueur. Et le tueur est fatigué, du moins Brad Dourif n'a pas l'air en forme.
Mais les acteurs comme Justin Whalin ou Perrey Reeves ont un capital sympathie aujourd'hui, gagné grâce à leurs séries respectives, qui ont bercé ma génération (Lois & Clark pour le premier quand j'étais minot et Entourage pour la seconde maintenant) qui rend le film moins mauvais qu'il ne l'est et le tout est quand même drôle par moment. Une déception, bien évidemment, mais pas si grosse que ça.
Rien de spécial à ajouter pour la suite des vilaines aventures de la célèbre poupée Good Guy. Humour noir, meurtres, jeunes gens vulnérables, les secrets de la saga ressortent encore une fois à l’écran dans « Chucky 3». Malgré quelques bonnes idées qui viennent pimenter le scénario, la banalité de ce dernier ainsi que la redondance de scènes déjà imaginées des années auparavant inspirent une lassitude quasi omniprésente. Les répliques cultes telles que « Ca va mal se passer » ou « Fait pas chier » permettent de sauver ce qui reste de notre petite poupée rousse. Quant à eux, les acteurs sont pour ainsi dire, à leur place au milieu de ce nanar. Sans talent et sans charisme, il est difficile d’imaginer plus grand accomplissement pour eux que de figurer au générique d’une saga mondialement connue. A bout de souffle, à court d’idées et d’acteurs potables, la saga démarre une décente aux enfers d’où elle ne reviendra pas, à la manière de bon nombre de séries horrifiques à rallonge.
Un ratage total ! le scénariste Don Mancini se défend en expliquant qu'il n'a pas eu assez de temps pour travailler sur ce film. Vrai ou pas, notre seule garantie est que le scénario est mauvais. Tout d'abord, la résurrection de Chucky est incompréhensible ! Et pourtant, savoir comment la poupée maléfique peut revivre me paraît un minimum important pour spéculer sur sa survie... Pour le reste, rien de bien spécial... une ou deux bonnes trouvailles mais qui ne suffisent pas à tenir tout un film. Chucky, si imaginatif pour commettre ses meurtres, souffre de la même tare quand dans les précédents opus : il devient soudainement très bête et incapable de discernement dès qu'il essaie de tuer un personnage clé. La bande son qui s'était améliorée au 2ème opus ici retombe complètement... Et la scène finale est vraiment pathétique ! Non, on a eu fait mieux à tous les niveaux.
Un bon 3ème volet, certes inférieur au 2 premiers volets mais qui regorge de bonnes scènes avec un Chucky plus présent en action et des morts violentes !!
L’idée de laisser s’écouler quelques années entre l’intrigue du 2 et du 3 et de placer l’action dans un centre de redressement militaire aurait pu apporter pas mal au film si cela avait été convenablement exploité. Au lieu de ça, on assiste à du « sous-Full Metal Jacket » sans aucun intérêt. Le scenario est absurde et les rares bonnes idées sont systématiquement sous-exploitées. Le début de la fin?
Ce "Chucky 3" n'est pas détestable, mais il n'y a pas grand chose à savourer dans ce film... Il ne fait pas vraiment peur et les morts ne sont pas très imaginatives, tout cela manque un peu de gore et de tension pour vraiment pouvoir se prétendre film d'horreur. Une petite dose d'humour noir supplémentaire aurait sans doute aidé à faire paraître le produit moins fade... La scène dans le train fantôme offre quand même un final plutôt sympathique, mais de loin pas inoubliable.
3eme et dernier volet avec pour theme : Andy vs Chucky - Inutile, quasiment ennuyeux - Vu en une seule fois car fan, mais si une personne n'a vu que ce volet là (et pas sur que se soit en entier), il aura une image fausse de la saga et n'aura jamais envie de voir les autres - Mort de Chucky bien trouvée - La cible de Chucky n'est plus Andy à proprement parler.
Ce 3ème opus possède de certaines bonnes idées... Mais aussi de beaucoup de défauts à commencer par l'inexpliquable raison de la reconstruction du corps de la poupée possédée ou le fait que cela ne fasse pas vraiment peur. Bref, Jack Bender, réalisateur principal de la série "Lost" des années plus tard, se casse un peu les dents à réitérer une recette déjà beaucoup exploitée sur les 2 premiers films.
On sent qu'après l'originalité du premier opus et la réalisation intelligente du deuxième, les idées commencent à manquer et on recycle des situations déjà vues, en partant de la base : personnages seuls dans une pièce qui commencent à s'inquiéter tandis que la camera change de position de façon à perdre le spectateur. Mais c'est très paradoxal, étant donné que nombre d'indices sont donnés sur la façon dont Chucky va faire joujou avec ses victimes, et l'effet de surprise -par conséquent, de peur- n'a du coup pas lieu. Certaines scènes sont décevantes malgré un certain potentiel ; on pensera notamment aux cartouches remplacées lors de la simulation, qui auraient pu déboucher sur un moment de gloire funeste pour Chucky, mais finalement, c'est assez pauvre. A côté de ça, ça fait du bien de ne plus suivre l'enfant de 8 ans qu'était Andy, même si son remplaçant n'est pas fabuleux et n'a -déjà- plus rien à apporter à la saga à la fin de ce troisième opus. Ca a un point positif : on se marre véritablement devant les répliques assassines (c'est le cas de le dire) et cultes de Chucky, encore une fois au top de sa forme. Il aurait été triste que la saga s'achève sur cet épisode -même si c'était apparemment le cas-, donc on oublie et on passe à la Fiancée.
Dernier volet de la saga à être estampillé du nom Child's Play et à se centrer sur le personnage d'Andy Barclay. Et si l'on ne devait retenir qu'une chose de ce volet de cette "trilogie" est bien qu'il s'agit de l'épisode le moins abouti, car alors que Child's Play 2 n'était pas encore sorti en salles, Universal fit pression sur le scénariste Don Mancini pour qu'il s'attèle à une suite, qui sortit neuf mois après la première.
Mais pourquoi un lieu tel que l'école militaire? Tout d'abord, le film a été réalisé en 91, en pleine période de la guerre du golfe, ce n'est donc pas étonnant que l'on retrouve des militaires mêlés à cette histoire. Mais c'est aussi un moyen scénaristique fort car peut-être plus stricte que l'hôpital psychiatrique traditionnel. Ici les jeunes recrues ont la vie dure, les supérieurs ont une poigne d'acier et s'il y a bien un mot d'ordre, c'est celui de rationnalité. Et le film ne se prive pas encore de références comme Full Metal Jacket de Kubrick.
Chucky passe un peu au second plan dans cet épisode, on se soucie plus de la vie des élèves militaires que de la poupée. Pourtant Chucky a encore évolué, ses méthodes sont plus sanguinaires et son caractère encore plus machiavélique mais il n'est plus autant menaçant. La poupée est superbement animée une fois de plus sans qu'aucun trucage ne soit visible même si elle ne semble pas aussi en forme que dans les précédents. On aurait pu s'attendre à une fin beaucoup plus sanglante. Hélas, il n'en est rien et le scénario faiblit considérablement au moment crucial, délaissant complètement les apprentis soldats pour se terminer dans une foire. La surprise est de voir que, malgré les années passées, le caractère d'Andy, désormais adolescent, n'a que très peu changé et il se conduit toujours comme un enfant durant une bonne heure de film. Ses décision sont totalement en désaccord avec les connaissances qu'il a de la présence de Chucky, les passages plus difficile à négocier sont purement et simplement éclipsés, les personnages sont hyper caricaturés et on a droit tous les clichés.
Child's Play 3 fait pourtant quelques entorses, car même le vaudou ne peut expliquer pourquoi le sang de Charles Lee Ray ne se retrouve que dans une seule poupée et lui permet de ressuciter dans la scène d'introduction (introduction recyclé de ce qu'aurait dût être la fin de Child's Play 2), ni comment le tueur a pu s'envoyer lui-même par colis.
Malgrè ses défauts le film reste un bon divertissement!