Mon compte
    Chucky 3
    Note moyenne
    2,1
    1311 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Chucky 3 ?

    119 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    13 critiques
    3
    28 critiques
    2
    44 critiques
    1
    22 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Anthony C.
    Anthony C.

    17 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2021
    Fondée une saga entière ( 8 films quand meme !) sur une poupée qui parle , et qui assassine des gens , impossible vous dites ? Pourtant Chucky c ' est au fil de la saga , imposé comme un boogeyman incontournable du paysage du fantastique.
    Et après un second volet ou Chucky prenait enfin toute l ' ampleur qui était du à son personnage , il revient commettre ses méfaits dans cette suite directe et cette fois ci il sévit dans une école militaire.
    Bon l ' histoire c est pas là ou le film vas gagner des points , forcément on reprend grossièrement l ' idée déja présente dans les précédents opus ( la poupée est ressuscitée par un concours de circonstances abracadabrantesques , et la première chose qui lui vient à l ' esprit c est retrouvé Andy Barclay aujourd' hui agé de 16 ans qui est envoyé dans une école militaire. )
    Si on prend l ' histoire en elle même on a pas grand chose de nouveau à ce mettre sous la dent , on est ici en terrain connu. Tout juste transpose t ' on l ' histoire dans une école militaire pour apporter un peu de nouveauté . Pire , le scénario enchaine les facilités scénaristiques les plus vulgaires ( Chucky retrouve Andy avec une telle facilité) et ce n est pas le jeu parfois limite de certains personnages qui vont sauver le film de la médiocrité ( le jeune qui interprété le petit Tyler est d ' ailleurs particulièrement agaçant , mais je pense que ça doit être aussi du a la VF°)
    Dans ce troisième opus de la saga , la transition du ton est aussi de plus en plus défini. Oubliez le suspense et la tension constante du premier opus , on part ici sur quelque chose de plus léger , déja amorcé dés le second volet.
    Ici Chucky est le personnage central , il use de grossièreté et l ' humour noir du film est d ' autant plus appuyé.
    On est ici dans du pur cinéma d ' exploitation , qui ne se prend pas au sérieux. La poupée Brave Gars est devenue un personnage rigolard et second degré , oubliant au passage tout sentiment de peur ou une once de suspense ( ou presque).
    La s
    Redzing
    Redzing

    1 121 abonnés 4 473 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2021
    Un troisième volet qui reprend peu ou prou le pitch du deuxième : détruit dans le précédent opus, Chucky est néanmoins reconstruit par l'entreprise qui fabrique sa poupée, et se met en quête de retrouver Andy, son précédent propriétaire. Seules différences : 8 ans ont passés, Andy est donc désormais adolescent, et inscrit dans une école militaire. Pas grand chose à se mettre sous la dent ici. Un scénario poussif qui regorge d'invraisemblances. Une mise en scène minimaliste. Des acteurs assez moyens et des personnages très caricaturaux (dont l'officier infecte qui emprunte sans finesse à "Full Metal Jacket"). Peut-être l'objectif était-il de faire de l'humour noir, à l'instar du premier volet, sauf que c'est ici raté et peu inspiré. Certes, il reste quelques (rares) tueries amusantes, et la voix de Brad Dourif en tueur vulgaire et cruel dans un corps de poupée, mais cela est bien maigre pour faire un bon film ! C'est d'autant plus décevant que le contexte militaire aurait pu donner lieu à quelques meurtres réjouissants, mais il est totalement sous-exploité. Heureusement, le quatrième volet, tournée 8 ans plus tard mais ce déroulant 1 mois après celui-ci (!), sera meilleur.
    Estonius
    Estonius

    3 369 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2021
    Une suite bien décevante, c'est mou, l'humour noir n'est jamais là et les scènes de crimes sont pour la plupart bien timides sinon ratés. Pourtant il y avait du potentiel (je pense spoiler: à l'échange de balles pendant la manœuvre,
    ben non on va de déconvenue en déception. On notera un petit effort à la fin avec le passage assez surréaliste dans la fête foraine ainsi que et le jolie minois de Perrey Reeves, mais ça ne fait pas le compte !.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    360 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2021
    Le rythme de sortie s'accélère et cette fois seulement un an se sera écoulé depuis le second opus. Cela se ressent sur la qualité car on continue à baisser. On voit que la franchise s'essouffle déjà par la frénésie des sorties. La production n'a pas appris de ses erreurs, car de nouveau on va être privé une bonne partie du film de Chucky. Ce qui est fou c'est de faire ce choix artistique alors que son absence plombe à chaque fois la réalisation. Quand il apparaît, on sent une dynamique et un entrain. Ses meurtres sont ce qui vaut le détour. D'autant plus qu'on s'habitude à sa voix et ses répliques folles. Brad Dourif fait un travail remarquable. Le scénario dirigeant vers l'armée me faisait espérait un peu de recherche mais finalement c'est mal utilisé. Dommage car il y avait de quoi faire des dégâts.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2021
    étant fan de chucky..et malgré les très mauvaises critiques du volet n3 de la saga..je me suis mis a le revoir en détail.
    on critique le scénario! mais est il vraiment moins mauvais que chucky le retour ou même le fils de chucky qui est plutôt drôle et fantasque que flippant!
    malgré le manque de moyen .. chucky fait le job de l'horreur.. les acteurs sont plutôt bon et c'est déjà pas mal.
    alors avis aux fans et classement spoiler:
    ?
    chucky 1 . chucky 6 .. la fiancée de chucky.
    chucky 2 .. chucky 3 ..le fils de chucky et le retour de chucky!
    JustinSvn
    JustinSvn

    7 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    La terrifiante poupée revient dans un troisième volet. Vicieux et maléfique, Chucky fait encore preuve d'ingéniosité et de perfidie pour élaborer ses meurtres. Un vrai serial killer !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2020
    En se présentant d’entrée de jeu comme un produit industriel destiné à relancer un article à succès, Chucky 3 explicite son statut de suite et, par cet aveu de sincérité, s’affranchit de l’ombre de Tom Holland pour proposer une déclinaison originale quoique faiblement incarnée, la faute à une écriture des personnages insuffisante. Le générique de début veille ainsi à recomposer la poupée à partir de matière plastique et de sang ; voici une danse macabre de fluides devant laquelle le spectateur reste circonspect, à la fois fasciné et dégoûté. De même, la manière dont le film exploite le décor du train-fantôme, notamment cette montagne de crânes, semble déplacer l’intrigue depuis un cadre défini par la rigueur militaire vers une zone intermédiaire apte à donner vie aux fantasmes les plus morbides, à incarner les terreurs enfantines qui continuent d’habiter l’adolescent. Quand le jeu devient réalité, quand les balles font jaillir non pas la couleur de poches de peinture mais le sang de ceux qu’elles perforent, ce ne sont plus des soldats que nous voyons, non ce sont des gosses apeurés qui détalent dans tous les sens. Aussi le long métrage de Jack Bender s’amuse-t-il à convoquer des clichés sur pattes pour mieux les fragiliser, les fissurer, les faire voler en éclats. Ses sous-thèmes se subordonnent à un hyperthème : l’automatisation de l’humain dans une société obsédée par l’ordre et l’exploitation. Tantôt à gauche – dénoncer la société de consommation tout en se présentant comme objet élaboré pour y appartenir –, tantôt à droite – l’initiation amoureuse d’Andy se double d’une initiation aux armes –, Chucky 3 reste une ébauche imparfaite qui échoue à effrayer ; néanmoins, sa mise en scène propose une succession de plans bien composés et élégamment montés : ça divertit, c’est un honnête travail d’artisan. Et à l’heure du tout-numérique, il s’agit là d’une bonne nouvelle.
    kylesauvages
    kylesauvages

    45 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2019
    J'avais des craintes, et bien j'avais tort ! le fait de ne pas retrouver le même Andy, de faire revenir une fois encore Chucky alors qu'il est censé avoir disparu....Et bien même si les scénaristes peinent à sortir de leur idée initial et nous propose un film à l'intrigue très proche des deux premiers, il y a quand même quelques évolutions notables. Le cadre différents et l'age d'Andy adolescent permettent aussi de suivre l'histoire sous un autre angle. De plus ce film est drôle et même si on pourrait lui reprocher une réalisation parfois trop proche de celle d'un télé-film, forcé de reconnaître qu'on le regarde sans le lâcher. Finalement, ces trois premiers film se valent et aucun n'a à rougir de l'autre. Ce n'est pas de pure chef d'oeuvre car on aurait aimé que cette folle idée aille encore plus loin mais qu'importe. Trois films à voir !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Née de l'imagination du scénariste Don Mancini qui passera lui-même derrière la caméra à partir du cinquième épisode, la saga "Chucky" s'étale désormais sur trente ans depuis que Tom Holland a réalisé en 1988 "Jeu d'enfant". Basée sur un plaisant dosage entre humour, horreur puis érotisme à partir de l'entrée dans la danse de la très "caliente" Jennifer Tilly à partir de "la fiancée de Chucky" en 1998, la franchise sans guère de prétention, s'inscrit dans la lignée d'autres sagas plus renommées notamment celle des "Freddy" chère à feu Wes Craven . La grande prudence de Don Mancini qui a écrit l'ensemble des sept scénarios est de n'avoir jamais cherché à sortir du chemin tracé dans l'épisode séminal. Les fans de la première heure n'ont ainsi jamais pu être déçus, peut-être seulement un peu lassés comme l'indique la baisse lente mais continue du box-office malgré une légère remontée quand Jennifer Tilly a pimenté la vie un peu routinière de la poupée tueuse. Ce troisième épisode réalisé par Jack Bender est réputé le plus faible. On l'a dit, l'effet de surprise passé, Don Mancini ne fait pas beaucoup d'efforts pour sortir des sentiers battus. Malgré tout, on peut se laisser séduire par ces nouvelles aventures qui entrainent Chucky dans un camp militaire où Andy Barclay (Justin Whalin) devenu adolescent tente de surmonter le traumatisme de sa rencontre avec la poupée "Brave gars" qui ne pouvant plus se passer de lui, finit pas le dénicher au plus profond de la campagne yankee. Commence alors un jeu du chat et de la souris dans les couloirs de l'Institut où règne la discipline d'un jeune lieutenant colonel bas du front (Travis Fine) qui offre à Jack Bender l'occasion trop belle de rendre un hommage appuyé et plutôt réussi au "Full Metal Jacket" de Stanley Kubrick sorti quatre ans plus tôt. Cet épisode très bien mis en image par John R. Leonetti n'a donc rien d'infamant et se laisse gentiment regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 décembre 2018
    Je l'ai moins apprécié que les deux premiers mais il est pas mal à regarder.
    Bien meilleur que les derniers !
    Plonger dans univers des années 80/ 90 c'est toujours sympa .
    On retrouve le personnage de Andy adolescent, dans le milieu militaire.
    Chucky est encore plus vilain 😂.
    Après ça reste un film pour les fan de chucky.
    RealPrime
    RealPrime

    85 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Une très grande évolution du personnage de Barclay mais moins pour Chucky. Un retour qui nous offre un générique à la James Bond avec une très bonne musique et une très bonne animation de la reconstitution de notre poupée préféré. Le lieu de la caserne militaire fut très bien penser car comme pour "Full métal jacket", on y découvre comme sont traiter les recrues, sauf que là il s'agit plus de jeunes qui dictent leur lois plutôt qu'un seul homme. Puis on découvre le très jeune Tyler qui, à mon goût est trop sage et n'à pas suffisamment le caractère rebel pour mettre un peu de piment. Mais il est de suite considéré comme la proie idéale. Puis notre héros s'attire les cœurs de la séduisante Kristin qui est la seule femme à avoir l’audace de jurer face à son jeune supérieur. La scène est d'ailleurs géniale. Puis visuellement, rien n'à changer, toujours aussi génial. Le premier meurtre du dirigeant de la fabrique des poupées est parfaitement bien orchestrée. La scène de sa réunion est juste très révélatrice sur comment un industriel considère ses très petits clients. Une mise à mort final très bien huilée dans un fabuleux décors de train fantôme. En espérant que notre tout jeune couple, pas encore officialiser, continue ses petites aventures horrifiques.
    Alexis D.
    Alexis D.

    106 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Après un deuxième épisode perfectible mais sacrément encourageant, on ne pouvait attendre de ce troisième opus que plus de sang et encore moins de sérieux. Une poursuite de la dynamique du précédent opus en somme. Monumentale erreur, car Jack Bender, réalisateur habituellement confiné au monde télévisuel ("Lost", "Alias"), nous livre ici le parfait exemple de ce qu’il convenait de ne pas faire. Croyant encore que la poupée rousse pouvait faire peur, Jack Bender nous livre les sempiternelles scènes d’angoisse, musique à l’appui et tout le tremblement. Sauf que lesdites séquences sont menées avec moins de brio que celles du sieur Holland et que la mise en scène fébrile du réalisateur flanque d’emblée toute possible angoisse à plat. Le film est donc emballé dans le plus grand sérieux et respect de ses pairs. On retrouve Andy, toujours aussi insupportable, joué par le jeune premier Justin Whalin (rappelez-vous "Donjons et Dragons"), devenu adolescent et placé dans une école militaire. Bien entendu la méchante poupée, vraie star du film, même si Jack Bender a souvent tendance à l’oublier, revient comme par miracle par le truchement d’un nouveau tour de passe-passe scénaristique drôle à défaut d’être cohérent. Si le cadre du film pouvait se révéler original (une école militaire, avec des jeunes soldats et des chefs acariâtres), celui-ci est sous-exploité au profit d’une trame simpliste et codifiée. "Chucky 3" n’est qu’un archétype du slasher comprenant son jeune héros innocent, son benêt de service, sa jolie demoiselle et son méchant très vilain qui finira par se faire tuer. Mais Jack Bender va plus loin, prouvant du même coup son incompréhension du ton de la saga. En plus du personnage d’Andy, il nous rajoute un nouvel enfant naïf, reprenant ainsi le refrain usé du premier épisode pour tomber dans un sentimentalisme précaire (ou dans un indigeste contournement des clichés, c’est selon). Le scénario est donc complètement raté, les rares apparitions de Chucky sont très loin de l’aura du personnage. Pas de meurtres sanguinolents, pas de blagues à deux balles, et juste quelques rires diaboliques pour contenter quelques fans. Le comble du ridicule revient à une scène de "meurtre", où la victime meurt d’une crise cardiaque en voyant Chucky, incarnation séquentielle de la culture de l’à-peu-près du réalisateur (on a rarement fait mieux dans l’horreur). Même les fans les plus virulents de la poupée vont se retrouver désemparés devant ce bis qui accumule les défauts de la saga et en détruit le mythe sans jamais retrouver son souffle. N’exploitant jamais son sujet, ni même le mythe de Chucky, Jack Bender nous livre un slasher lambda, sans âme ni conviction, et ainsi un film d'horreur vraiment pas terrible et totalement dispensable. Dommage
    cylon86
    cylon86

    2 519 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2018
    Le deuxième opus de la saga Chucky ayant marché au box-office, Don Mancini se voit très vite confier l'écriture d'une suite. En panne d'idées, il décide de faire un bond dans le temps de huit ans dans la narration afin de pouvoir trouver plus d'inspiration. Andy Barclay, cette fois sous les traits de Justin Whalin, est donc adolescent et dans une école militaire. Alors que la fabrication des poupées Good Guys a repris (ce qui donne lieu à un générique de début particulièrement marquant), Chucky se met en tête de retrouver Andy mais jette son dévolu sur un autre garçon pour lui confier son âme... Avec ce troisième opus, la saga Chucky montre ses limites et se repose sur quelques facilités notamment celle d'un scénario un brin paresseux, reprenant des idées des deux premiers films et n'offrant guère de satisfaction en termes de meurtres et d'effroi. En dépit d'une ambiance inquiétante instaurée par le réalisateur Jack Bender (solide réalisateur qui s'illustra ensuite sur des séries comme "La Caravane de l'étrange" ou "Lost"), ce troisième opus peine à instaurer du souffle à son récit et se contente d'aligner les séquences avec un savoir-faire appliqué mais sans vraiment de génie. On retiendra tout de même le goût de Mancini pour les personnages tordus (avec ce coiffeur un brin sadique) et surtout un climax inventif venant rehausser le tout, en forme de train-fantôme cruel.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 juillet 2018
    Quel bonheur de retrouver Chucky et Andy, cette fois-ci dans une caserne où Andy fait ses classes. Un bon scénario qui rattrape le second film, qui ne reste pas cantonné à une maison ou un appartement... Un régal!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 novembre 2017
    Chucky revient à la charge dans ce troisième opus pour notre plus grand plaisir. Toujours décidé à retrouver Andy qui ici a bien grandit :-). On retrouve les phrases hilarantes de notre Chucky préféré et comme toujours des meurtres bien sanglants retours réussis pour la poupée de sang :-D.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top