Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
Bien produit (...), bien interprété et bien raconté, Le convoyeur occupe nos mirettes durant une heure et trente cinq minutes, ce qui n'est déjà pas si mal. Mais on ne peut s'empêcher de penser que Boukhrief est passé à côté du film de l'année. C'est dommage. Le cinéaste et le convoyeur ont ceci en commun qu'ils doivent savoir viser le coeur. Malheur à qui rate sa cible.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une mise en scène costaude, un suspense bien entretenu, un univers efficacement enveloppé dans sa bulle d'atmosphère : ce " Convoyeur " remplit sa mission avec l'efficacité requise et la qualité de son trio vedette, Dupontel/Dujardin/Berléand.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Un polar social peu conforme à la réalité mais efficace.
MCinéma.com
par Camille Brun
LE CONVOYEUR n'est peut-être pas le grand film à la croisée des genres que son réalisateur voulait faire. Mais il n'y rien ici dont il doive rougir.
Première
par Nicolas Schaller
Western urbain, thriller paranoïaque et drame social, "Le Convoyeur" surprend par sa capacité à synthétiser des genres épars pour devenir un objet unique et bigrement salutaire au sein du cinéma national.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Virginie Apiou
Le Convoyeur pourrait être un film de genre. Le Convoyeur pourrait être un film d'auteur. Il est les deux à la fois. Le Convoyeur est surtout un bon scénario, réalisé par un cinéaste enfin accompli. Bref, c'est un film formidable, porté par une équipe de personnages tous différents, hanté par un héros, un acteur, Albert Dupontel, absolument unique.
Télérama
par Jacques Morice
Nicolas Boukhrief, ex-rédac chef de Starfix et cinéaste inégal (un premier film pas mal, Va mourire), démontre qu'il est encore possible de faire un genre de série B qui tienne la route sans trop se la jouer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
C'est bien simple, depuis le magistral "Nid de guêpes" on n'avait pas ressenti un tel bonheur devant un vrai film de genre à la française. Un réalisme saisissant de docudrame qui alimente une tension grandissante et on reste scotché à son siège ne sachant jamais ce qui va se passer.
Ciné Live
par Véronique Le Bris
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Une heure durant, ce thriller parvient à intriguer, grâce à l'aspect documentaire du décor social (...), et l'étude de caractère de ces virils seconds rôles (...). Malheureusement, cet hommage assumé à Taxi Driver s'avère davantage fasciné par le massacre final du film de Martin Scorcese que par sa thématique rédemptrice et dégénère dans un long carnage final où la violence apocalyptique semble plaider pour une justice expéditive.
Libération
par Gilles Renault
Une heure trente sépare la première scène, d'une efficacité rectiligne, de la conclusion, artificielle et hystérique. Entre-temps, Boukhrief a égaré les clés du camion blindé. Dommage, car son ambiance singulière fait qu'on ne s'y était pas déplu.
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Un thriller malin et sombre, plein de tiroirs et de doubles fonds, bravement surjoué par un casting en pleine forme.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Esbrouffe. On nous vend le film sur le mode social : réhabilitation d'une profession exploitée, prolétarisée, les convoyeurs de fonds. Mais Boukrief n'est pas Loach ; ses soutiers du numéraire sont des caricatures à la Audiard.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cinéastes
Bien produit (...), bien interprété et bien raconté, Le convoyeur occupe nos mirettes durant une heure et trente cinq minutes, ce qui n'est déjà pas si mal. Mais on ne peut s'empêcher de penser que Boukhrief est passé à côté du film de l'année. C'est dommage. Le cinéaste et le convoyeur ont ceci en commun qu'ils doivent savoir viser le coeur. Malheur à qui rate sa cible.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Une mise en scène costaude, un suspense bien entretenu, un univers efficacement enveloppé dans sa bulle d'atmosphère : ce " Convoyeur " remplit sa mission avec l'efficacité requise et la qualité de son trio vedette, Dupontel/Dujardin/Berléand.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un polar social peu conforme à la réalité mais efficace.
MCinéma.com
LE CONVOYEUR n'est peut-être pas le grand film à la croisée des genres que son réalisateur voulait faire. Mais il n'y rien ici dont il doive rougir.
Première
Western urbain, thriller paranoïaque et drame social, "Le Convoyeur" surprend par sa capacité à synthétiser des genres épars pour devenir un objet unique et bigrement salutaire au sein du cinéma national.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Le Convoyeur pourrait être un film de genre. Le Convoyeur pourrait être un film d'auteur. Il est les deux à la fois. Le Convoyeur est surtout un bon scénario, réalisé par un cinéaste enfin accompli. Bref, c'est un film formidable, porté par une équipe de personnages tous différents, hanté par un héros, un acteur, Albert Dupontel, absolument unique.
Télérama
Nicolas Boukhrief, ex-rédac chef de Starfix et cinéaste inégal (un premier film pas mal, Va mourire), démontre qu'il est encore possible de faire un genre de série B qui tienne la route sans trop se la jouer.
aVoir-aLire.com
C'est bien simple, depuis le magistral "Nid de guêpes" on n'avait pas ressenti un tel bonheur devant un vrai film de genre à la française. Un réalisme saisissant de docudrame qui alimente une tension grandissante et on reste scotché à son siège ne sachant jamais ce qui va se passer.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Une heure durant, ce thriller parvient à intriguer, grâce à l'aspect documentaire du décor social (...), et l'étude de caractère de ces virils seconds rôles (...). Malheureusement, cet hommage assumé à Taxi Driver s'avère davantage fasciné par le massacre final du film de Martin Scorcese que par sa thématique rédemptrice et dégénère dans un long carnage final où la violence apocalyptique semble plaider pour une justice expéditive.
Libération
Une heure trente sépare la première scène, d'une efficacité rectiligne, de la conclusion, artificielle et hystérique. Entre-temps, Boukhrief a égaré les clés du camion blindé. Dommage, car son ambiance singulière fait qu'on ne s'y était pas déplu.
TéléCinéObs
Un thriller malin et sombre, plein de tiroirs et de doubles fonds, bravement surjoué par un casting en pleine forme.
L'Humanité
Esbrouffe. On nous vend le film sur le mode social : réhabilitation d'une profession exploitée, prolétarisée, les convoyeurs de fonds. Mais Boukrief n'est pas Loach ; ses soutiers du numéraire sont des caricatures à la Audiard.