Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Zurban
par Charlotte Lipinska
Une tangente passionnante, qui plus est rarement traitée au cinéma. Si la liberté formelle de cet authentique film du Dogme peut dérouter, elle se révèle en parfaite adéquation avec la violence du propos, loin du pathos mélodramatique. Dans le sillon des remords et de l'impuissance face à la fatalité, une histoire d'amour voit le jour. Inattendue et bouleversante.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Imparfait, délicat, touchant et surprenant comme la vie, Open Hearts prouve encore si besoin était, le dynamisme d'un mouvement qui huit ans après sa création a atteint l'âge de la maturité et réussit encore à produire des ouvres de qualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Susan Bier filme simplement le comportement de différents coeurs brisés. Grâce à l'une des règles (la caméra portée à l'épaule), elle colle au plus près des faits et gestes de ses personnages et de leurs émotions, sans pour autant plonger le spectateur dans le voyeurisme.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Open hearts est un beau film, cru et cruel (...).
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Olivier De Bruyn
Réussite notable dans un genre où la complaisance et les clichés font si souvent des ravages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
(...) une pure tragédie dépourvue de concessions qui ne triche jamais avec les sentiments.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
Open Hearts est ainsi un film qui évite de tricher, dans le fond comme dans sa forme. Utilisant au mieux, par exemple, sa contrainte - dogmatique - de la lumière naturelle, elle recrée une beauté sans apprêt qui a tout son sens.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
(...) il faut reconnaître que le vérisme psychologique rend les personnages attachants.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Florence Colombani
De cette tension entre le respect scrupuleux des conventions et la peinture sincère des sentiments naît un film qui irrite plus souvent qu'il n'émeut, mais frappe, par moments, la note juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Malgré un scénario prévisible, le charme opère, grâce à des comédiens impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine De Baecque
L'interprétation sauve "Open Hearts", chargé en clichés sociologiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Open Hearts ne bouleverse pas les règles du jeu : même si le handicap d'un participant apporte une pointe de cruauté à la compétition, les situations restent classiques. Mais les interprètes ont du punch, du coeur aussi, et ils nous mettent sur la piste d'une grande question : comment savoir, quand on est deux, si l'on est partenaires, adversaires, ou s'il s'agit de se battre contre soi-même ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
Une tangente passionnante, qui plus est rarement traitée au cinéma. Si la liberté formelle de cet authentique film du Dogme peut dérouter, elle se révèle en parfaite adéquation avec la violence du propos, loin du pathos mélodramatique. Dans le sillon des remords et de l'impuissance face à la fatalité, une histoire d'amour voit le jour. Inattendue et bouleversante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Imparfait, délicat, touchant et surprenant comme la vie, Open Hearts prouve encore si besoin était, le dynamisme d'un mouvement qui huit ans après sa création a atteint l'âge de la maturité et réussit encore à produire des ouvres de qualité.
MCinéma.com
Susan Bier filme simplement le comportement de différents coeurs brisés. Grâce à l'une des règles (la caméra portée à l'épaule), elle colle au plus près des faits et gestes de ses personnages et de leurs émotions, sans pour autant plonger le spectateur dans le voyeurisme.
Novaplanet.com
Open hearts est un beau film, cru et cruel (...).
Première
Réussite notable dans un genre où la complaisance et les clichés font si souvent des ravages.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) une pure tragédie dépourvue de concessions qui ne triche jamais avec les sentiments.
Aden
Open Hearts est ainsi un film qui évite de tricher, dans le fond comme dans sa forme. Utilisant au mieux, par exemple, sa contrainte - dogmatique - de la lumière naturelle, elle recrée une beauté sans apprêt qui a tout son sens.
Cahiers du Cinéma
(...) il faut reconnaître que le vérisme psychologique rend les personnages attachants.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
De cette tension entre le respect scrupuleux des conventions et la peinture sincère des sentiments naît un film qui irrite plus souvent qu'il n'émeut, mais frappe, par moments, la note juste.
Les Inrockuptibles
Malgré un scénario prévisible, le charme opère, grâce à des comédiens impeccables.
Libération
L'interprétation sauve "Open Hearts", chargé en clichés sociologiques.
Télérama
Open Hearts ne bouleverse pas les règles du jeu : même si le handicap d'un participant apporte une pointe de cruauté à la compétition, les situations restent classiques. Mais les interprètes ont du punch, du coeur aussi, et ils nous mettent sur la piste d'une grande question : comment savoir, quand on est deux, si l'on est partenaires, adversaires, ou s'il s'agit de se battre contre soi-même ?