Mon compte
    Les Parapluies de Cherbourg
    Note moyenne
    3,5
    5721 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Parapluies de Cherbourg ?

    158 critiques spectateurs

    5
    48 critiques
    4
    38 critiques
    3
    28 critiques
    2
    21 critiques
    1
    15 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juin 2013
    le plus beau film du monde! indémodable!! d'une originalité inégalée!!! FONCEZ!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 mai 2013
    Ca a très mal vieilli, c'est kitsch et agaçant, cinématographiquement parlant ça ne présente aucun intérêt, mais ça reste sympathique à voir pour un Cherbourgeois puisque la ville n'a que très peu changée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 774 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Un mélodrame émouvant et lyrique où l'ensemble des dialogues est chanté d'un bout à l'autre sur des mélodies de Michel Legrand. Un peu mièvre mais beau et touchant.
    Palme d’or à Cannes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juin 2013
    Chef-d'œuvre absolu... Mais si l'on veut se persuader que l'on vit une époque de merde, il suffit de lire les mauvaises critiques publiées ici... Voir ce film pour certains est ce que l'on appelle communément "donner du lard aux cochons"... Film sublime, sidérant de beauté et d'émotion qui raconte une histoire d'amour éternelle... Certainement l'un des plus beaux films du monde...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2013
    Les parapluies de Cherbourg est un grand film lyrique. Porté par les mélodies inoubliables de Michel Legrand, le film atteint des sommets d' émotion. Splendide film d' amour, le film traite aussi des rapports mère-fille comme ils pouvaient être dans les années 60, de la guerre et du difficile retour à la vie civile. J' apprécie le partis pris choisi par Demy du film entièrement chanté, y compris pour les scènes les plus quotidiennes voire triviales. La scène inaugurale du garage est à cet égard symptomatique et particulièrement réjouissante . La mise en scène et le soin apporté aux décors sont aussi remarquables. Même si Demy ira encore plus loin avec les magnifiques décors des Demoiselles de Rochefort. On ne peut pas ne pas parler du sublime couple formé par Catherine Deneuve et Nino Castelnuovo. Deneuve allie à merveille l' innocence et la profondeur, et la voix de Danielle Licari colle parfaitement à son personnage. Castelnuovo est lui aussi remarquable, son personnage assez immature subit les événements plus qu' il ne les provoque, un peu comme Geneviève d'ailleurs qui ne semble pas avoir la force pour infléchir son destin. Deneuve a parlé du tournage des Parapluies comme d' un "état de grâce" et c'est bien ce que l' on ressent au visionnage de ce film absolument unique dans le cinéma mondial.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2013
    Toute la magie du premier grand succès musical de Jacques Demy, histoire de prolonger le bonheur de l'expo que la Cinémathèque française consacre au cinéaste. C'est coloré, c'est triste, c'est beau, c'est mythique, c'est à voir et à revoir;
    Sylwish
    Sylwish

    6 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2013
    J'imagine qu'à l'époque, le film sortait des rangs et marquait un réel tournant dans le cinéma... J'ai acheté le DVD les yeux fermés ("Oh! Palme d'Or!", me suis-je dit... Tssssss...) et bam : regarder ce film en 2013, c'est comme écouter un vieux disque rayé. Le synopsis, banal au possible, se décline en une suite de scènes niaises et "franchouillardes" au possible. Commençons par le début. Premier choc : c'est mal chanté. Bon, dirons les plus gentils, ce sont des comédiens, pas des chanteurs. Mouais. Ce n'est même pas la voix de Catherine que l'on entend... On se demande alors franchement pourquoi Me Deneuve s'est fait doubler par une voix si haut perchée : la plupart de ses envolées lyriques font (sou)rire et n'émeuvent jamais le spectateur. Deuxième choc : la musique ultra-répétitive. Les mêmes sonorités, les mêmes notes, les mêmes mélodies... En bref, aucune surprise. Troisième choc : l'écriture, absolument dégueulasse. Je ne demande pas à Demy d'être un génie poétique à la Rimbaud, mais là, on frôle l'indigestion. Aucune rime, aucun jeu de mots, parfois même des mots qui ressortent grossièrement ("Merde")... Quatrième choc : des plans d'aucune utilité (la scène où Roland Cassard se souvient de sa première femme, où la caméra tourne en mode rectangle pour nous offrir une vue sur... des magasins). Cinquième choc : la Guerre d'Algérie. Je lis partout que ce film "dénonce" la guerre en question et en parle ouvertement. Archi-faux. Trois scènes seulement sont en rapport avec la guerre et elles n'apprennent rien, n'excusent rien et ne font réfléchir à rien. Sixième choc (le seul positif) : Nino Castelnuovo, d'une beauté physique sans pareille :)
    Akamaru
    Akamaru

    2 833 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 avril 2013
    "Les Parapluies de Cherbourg"(1964) reste d'un point de vue entièrement cinématographique,forcément une date dans le cinéma français. A l'apogée des comédies musicales hollywoodiennes,Jacques Demy prenait le pari et le risque de tourner son mélodrame flamboyant entièrement avec des dialogues chantés! Imaginez une seconde ce que cela peut donner. A l'écran,c'est assez déstabilisant avant que l'on finisse par s'y faire. Dans des tons pastels,avec des costumes très marqués et dans des décors de studio qui sentent bon le vernis et la peinture fraîche,Demy dépeint le hasard et la fatalité en amour. La blonde Geneviève (Catherine Deneuve et ses yeux de biche,qui découvrait le 7ème art)aime passionnément le pompiste de la commune,mais celui-ci est appelé à faire la Guerre d'Algérie,la laissant enceinte et avec un riche bijoutier à son bras... 5 ans après,ils se retrouvent... Une histoire intemporelle,pour un film qui le reste malgré quelques effets stylistiques qui n'ont pas passés l'épreuve du temps. Pour catégoriser,la musique de Michel Legrand est fabuleuse,ample,lyrique,émotive ; alors que les dialogues sonnent très creux par leur trivialité et que les voix suraiguës exaspèrent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mars 2013
    Jacques Demy signe ici un de ses plus beaux films. Beaucoup d'émotions et d'amour et surtout une réflexion sur la guerre d'Algérie.
    Acidus
    Acidus

    634 abonnés 3 661 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 octobre 2012
    Film aux dialogues intégralement chantés, "Les parapluies de Cherbourg" cache sous ce concept assez original une pauvreté sans égale. Avant tout, une pauvreté dans le scénario qui fait penser à un mauvaise romance prévisible et creuse, suivant un schéma archi téléphoné. Déjà que l'omniprésence du chant me rebutait un peu mais l'absence de rimes et de recherche musicale m'a achevé. J'ai beau cherché, je ne vois pas ce que je pourrai dire de positif sur ce long métrage. Bref, "Les parapluies de Cherbourg" est un film ridicule (nanar?), ringard et sans charme.
    JeffPage
    JeffPage

    34 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juillet 2012
    Palme d'or 1964, ce film à prix un sacré coup de vieux !
    En tant que Cherbourgeois, je trouve un charme particulier au film dans le sens ou je reconnais les décors (bien qu'aillant changer depuis).
    Niveau histoire, on à affaire à une histoire d'amour basique et assez cucul la praline, sentiment renforcé par le fait que le film soit entièrement chanté.
    Les couleurs sont criardes, donnant un style pop au film mais kitch aujourd'hui.
    Au final, le film reste assez décevant mais reste un classique pour Cherbourg.
    Jipis
    Jipis

    34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2012
    Ils sont bien émouvants ces parapluies de Cherbourg répartissant leurs décibels mélodieux dans des intérieurs aux couleurs courageuses par leurs différentes associations dont la complémentarité s’avère parfois douteuse.

    Il en a brisé des histoires d’amour ce maudit service militaire élaborant en temps une longue et laborieuse peau de chagrin non perceptible encore dans ces deux années qu’un arbrisseau en pleine émoi amoureux doit offrir loin de ses terres à une nation procédurière.

    Ce film concept dispose dans ces mélopées quelquefois un peu statiques tout les atouts d’une alliance passionnée naturelle détruite par les contraintes citoyennes brisant un branchement inconditionnel entre deux êtres à la base fait l’un pour l’autre.

    Le fait de rebondir à l’aide d’autres connexions tout en redéployant un mécanisme éternel de sentiments n’efface nullement une voie royale avortée.

    La magnifique scène finale des retrouvailles ou l’on a pratiquement plus rien à se dire est l’exemple parfait de la pire et de la plus merveilleuse des conclusions.

    On se construit avec d’autres personnes certes mais les visages sont devenus fades, impersonnels dilués dans de la fourrure et du patrimoine.

    Deux anciens adeptes d’un amour pur et éternel se séparent sans un regard en gratifiant orgueilleusement les bontés de solutions de rechanges incapables de gommer une aventure d’origine somptueuse uniquement managée par les sens.

    Un traitement réaliste sur un temps dénonçant en parallèle une domination matriarcale étouffante ainsi qu’une époque ou la nation impose sacrifice et contribution individuelle sans battre un cil sur toutes ces idylles anéanties par le devoir.

    Une vision pessimiste de la vie autant que ces meubles et ces papiers peints dont l’essence colorée n’est qu’une fausse protection empêchant l’envol de toute liberté individuelle.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    131 abonnés 676 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2019
    Débutant par un magnifique plan-séquence, «Les Parapluies de Cherbourg» ne parvient malheureusement pas à faire durer l'enchantement plus longtemps que l'inoubliable générique (à peu de choses près). Rapidement on comprend que Demy, en voulant rendre hommage au genre de la comédie musicale américaine (au hasard «Chantons Sous la Pluie»), s'est peu à peu perdu pour ne livrer en définitive qu'une relative caricature des USA, exagérément superficielle et aseptisée (malgré la guerre d'Algérie en toile de fond - ça aurait pu d'ailleurs être une autre guerre tant le sujet est esquivé, quoiqu'on en dise). Le problème c'est que sur le papier le film « en chanté » semblait prometteur et osé, alors que la réalité est toute autre. Tout mettre en musique, des paroles les plus triviales aux déclarations d'amour tend à uniformiser complètement le propos et l'intensité dramatique. Surtout qu'un autre point noir, de taille, renforce cet effet : la bouillie sonore signée Michel Legrand. Mais bon sang que lui est-il arrivé?? En quelques minutes il m'avait bouleversé dans «Cléo de 5 à 7», là les 1h30 se sont révélées être un calvaire, comble du comble... Moi qui l'admirais tant je dois peut-être réviser mon jugement, est-il si talentueux que cela? Heureusement il se ressaisira quelque peu avec «Les Demoiselles de Rochefort», finalement pas si daté que cela au regard des «Parapluies»... C'est dire! Pourtant le film de Demy ne manque pas de charme (le charme des 60's, aussi cliché soit-il) mais il est loin d'atteindre les cimes du 7e art. Il reste bridé par ses hautes influences (qu'il peine à réellement égaler), tout comme l'interprétation grève ses ambitions, la cruche, pardon la blonde Catherine Deneuve en tête. Restent une admirable direction artistique, une excellente mise en scène, et quelques passages touchants. Mais je préfère l'original de Kelly et Donen à la copie tant qu'à faire, aussi honorable soit-elle. La duplication servile ne mène jamais bien loin en art... [1/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    Guillaume836076
    Guillaume836076

    66 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 août 2013
    Très heureux d'avoir vu la version restauré de ce premier chef d’œuvre enchanté de Jacques Demy, auquel je suis fier d'avoir modestement contribué!
    Film vu lors de mon adolescence, où je "mangeais" littéralement du film; il eut sur moi une forte résonance émotionnelle, tant au niveau cinématographique, esthétique que muscial. Je découvrais vraiment l'univers coloré et romantique de Jacques Demy dans son côté plus dramatique, mon enfance ayant été bercé au cake d'amour de Peau d’âne...
    C'était aussi l'époque où j'érigeais Catherine Deneuve en icône, (toujours) au panthéon de mes actrices préférés, avec Romy Schneider, entre autre. D'où mes moult visionnages du film pendant quelques années, toujours avec la même intensité...
    Avec les années, le regard se fait plus mature, moins romantique. On voit peut-être plus le film pour ce qu'il est véritablement.
    Alors, oui, on peut lui reprocher un scénario facile, genre bluette pour adolescentes, mais il ose aborder des sujets, qui pour l'époque était totalement tabous. Jacques Demy ose tout de même parler du conflit algérien dont il n'était pas bon ton d'aborder au cinéma dans les années 60 (la guerre ayant pris fin en 1962) et du statut des filles mères que l'on "obligeait" à se marier avec le parti le plus respectable pour ne pas être sujet aux critiques et aux scandales. Question de respectabilité. Mai 68 n'était pas encore passé par là, malgré une sensible ouverture des mœurs...
    Plus qu'une comédie musicale, il s'agit d'une véritable tragédie musicale s'achevant sur un happy end digne d'une tragédie grecque, capable de faire pleurer tout le monde dans les chaumières. Et des moments intenses, il y en a plusieurs, dont la fameuse scène de la gare de Cherbourg, où Geneviève (Catherine Deneuve) et Guy (Nino Castelnuovo) se jure un amour "éternel", alors que se dernier prend le train pour s'embarquer vers les combats algériens. Ce moment musical du film, est un pure joyaux au niveau de la composition et reste pour moi un des sommets de Michel Legrand et de la musique de film tout court. Sublime.
    La mise en scène de Jacques Demy est très ample et millimétré au cordeau, malgré des décors parfois réduit en taille, mais habilement construits et agencés en studio pour nous donner des cadrages et des effets dignes des plus grandes comédies musicales américaines (on passe du plan très rapproché au panoramique, en passant par le travelling, avec une sensation étonnante de fluidité). Une leçon de mise en scène à l'époque du lycée. C'est toujours le cas!
    Il y a aussi l'univers esthétique, qui avec la musique, fait la réputation des films chantés de Demy (y compris "La Baie des anges" qui était en noir et blanc et pas musical). La restauration de la pellicule permet de retrouver l'éclat des couleurs d'origines. L'utilisation des couleurs contrastent fortement avec le sujet dramatique, surtout dans la boutique de parapluie et l'appartement de Madame Emery (parfaite, Anne Vernon), qui est décoré dans des tons de roses, de verts et de bleus très criards et très joyeux. Certainement une volonté de Demy pour mieux faire comprendre que Geneviève, élevée dans un tel univers, ne pouvait qu'être une romantique en quête d'amour absolu...
    Mais le tour de force le plus remarquable, et qui n' a été que peu réitéré, c'est la bande son totalement chanté (aucun dialogues parlés) par les actrices et acteurs. Bien sûr au début, cela désarçonne beaucoup, mais la musique de Michel Legrand emporte tout les suffrages et les principaux acteurs s'en sorte merveilleusement bien puisque Catherine Deneuve et Nino Castelnuovo réussissent à faire passer les émotions voulus par Demy. Grâce à ce tour de force, ce couple d'amoureux contrariés restera longtemps encore dans la mémoire des cinéphiles. A cet égard, le jeu délicat de deux acteurs éclate de sa pleine puissance dans la dernière séquence, déchirante... Je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi derrière ce film la carrière de Nino Castelnuovo (pourtant beau comme un Dieu) n'a pas décollée, alors que celle de Catherine Deneuve a décollée, avec le succès qu'on connait...
    Fort de ses audaces, Jacques Demy et son film ont été couverts de prix et récompenses dont le Palme d'or à Cannes en 1964. Amplement mérité, tant l'entreprise est casse-gueule et le serait toujours autant aujourd'hui.
    Trois ans plus tard, il livrera son autre chef d'oeuvre en-chanté, cette fois-ci parlé et chanté, lui aussi une réussite dont je parlerais dans une autre critique, toujours avec Catherine Deneuve, devenue muse de Demy...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 mai 2012
    Autant les Demoiselles de Rochefort, avec son casting exceptionnel et sa bonne humeur, sont plaisantes, autant les Parapluies de Cherbourg sont pénibles. Pénibles parce que Catherine "glaçon" Deneuve qui ferait passer Grace Kelly et Kristin Scott-Thomas pour des bombes latinas délurées. Pénibles parce qu'un mélo raté, c'est très très raté. Pénibles enfin à cause de la bouillie, pardon, à cause de la non-musique de Legrand, dont décidément je suis loin d'être fan (mais c'est très subjectif, j'en conviens).
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top