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C'est donc un témoignage, un pan d'histoire personnelle qui s'inscrit dans l'histoire - celle de la guerre et de l'après-guerre. Son Odette aux lunettes noires se sert un verre et se souvient, pour cet homme qui lui demande, devant la caméra, de lui parler " comme l'autre jour ". Le chaînon manquant dans la filmographie d'un réalisateur d'importance.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Devant la caméra, le roman de la vie d'Odette Robert vient de s'achever sur un épilogue ouvert : Eustache existe enfin, comme cinéaste et comme adulte. Elle se tourne alors vers l'opérateur, Philippe Théaudière, et demande : "J'ai été bien, monsieur Théo ?" Juste géniale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En plus d'être captivant et souvent drôle, c'est donc un document précieux qui, mystère, n'a jusqu'ici été montré qu'une fois, à la télé, dans une version réduite de moitié, en 1980...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Deuils, maladies, accidents, trahisons, haines, sans oublier deux guerres mondiales: un siècle d'existence rurale défile ici, pulvérisant le mythe nostalgique d'un monde campagnard bien paisible. Plus que le dispositif du film, c'est la force magnifique de cette femme qui impressionne aujourd'hui.
Aden
C'est donc un témoignage, un pan d'histoire personnelle qui s'inscrit dans l'histoire - celle de la guerre et de l'après-guerre. Son Odette aux lunettes noires se sert un verre et se souvient, pour cet homme qui lui demande, devant la caméra, de lui parler " comme l'autre jour ". Le chaînon manquant dans la filmographie d'un réalisateur d'importance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Devant la caméra, le roman de la vie d'Odette Robert vient de s'achever sur un épilogue ouvert : Eustache existe enfin, comme cinéaste et comme adulte. Elle se tourne alors vers l'opérateur, Philippe Théaudière, et demande : "J'ai été bien, monsieur Théo ?" Juste géniale.
TéléCinéObs
Un témoignage familial, un autoportrait poignant du réalisateur (...). Et une formidable réflexion sur le cinéma.
Télérama
En plus d'être captivant et souvent drôle, c'est donc un document précieux qui, mystère, n'a jusqu'ici été montré qu'une fois, à la télé, dans une version réduite de moitié, en 1980...
Zurban
Deuils, maladies, accidents, trahisons, haines, sans oublier deux guerres mondiales: un siècle d'existence rurale défile ici, pulvérisant le mythe nostalgique d'un monde campagnard bien paisible. Plus que le dispositif du film, c'est la force magnifique de cette femme qui impressionne aujourd'hui.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr