Derniers Avis : Permis de tuer - Page 6

C'est durant ses vacances que l'agent Bond assiste au mariage d'un de ses amis agents de la CIA. C'est alors qu'un imprévu intervient avec l'arrivée de Sanchez, un puissant trafiquant de stupéfiants... et à partir de là, plus rien ne sera comme avant pour l'agent 007.

Placée sous le signe de la vengeance, "Permis de tuer" est une franche réussite, l'une des plus belles de la saga parmi celles que j'ai pu voir. Exit les multiples gadgets, l'humour parfois potache ou le ton léger , John Glenn fait ce cet opus un vrai thriller où l'on suit un agent démissionnaire partir en croisade pour satisfaire sa vendetta.

John Glenn fait de Bond un personnage plus mature, hanté, violent et agissant non dans le cadre d'une mission mais pour satisfaire un motif personnel. Mais si le personnage de James Bond est l'une des grandes réussites de cet opus, c'est aussi grâce à ceux gravitant autour de lui. Face à lui, le méchant est aussi cruel que sans pitié et machiavélique et accompagné d'hommes de main tout aussi fort. Les rôles féminins sont ici importants et bien exploités, notamment la belle et classe agent Pam Bouvier ou la petite amie de Sanchez. Tout en restant braquer sur Bond, il sait donner de l'importance aux autres personnages sans les sacrifier.

Le scénario est très bien écrit, nous emmenant dans divers chemins parfois imprévisibles, les relations entre les personnages sont aussi bien travaillées et John Glenn nous offre quelques séquences d'anthologies. Nous emmenant dans divers lieux plus ou moins exotiques, les scènes d'action sont superbement réalisées, à l'image de celle sur le bateau, d'autres au casino ou le final explosif. Si Bond est plus mature, il est aussi plus violent et ça se ressent dans le scénario et la réalisation de Glenn.

Très bien rythmé, "Permis de tuer" bénéficie de la bonne mise en scène de John Glenn. Efficace, ce dernier met en place de la tension et de l'intensité lorsqu'il le faut et rend son récit haletant et passionnant. Dans le costume de l'agent Britannique, Timothy Dalton est toujours à son aise et c'est bien dommage qu'il ne l'ait porté que deux fois... A ses côtés, la (très) belle Carey Lowell donne ses charmes et son assurance à Pam Bouvier tandis que Robert Davi campe un méchant inoubliable, tout comme son bras droit Benicio Del Toro.

D'une redoutable efficacité et aussi haletant que passionnant, "Permis de Tuer" nous fait suivre un Bond blessé qui part en croisade pour faire sa vendetta et qui, sous la caméra de John Barry, nous emmène dans divers lieux plus ou moins exotiques tout en mettant en scène divers personnages passionnants.

Seizième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, 007. Pour cette seizième mission James Bond est confronté à un puissant trafiquant de drogue, Franz Sanchez, qui a fait assassiner la femme de Félix Leiter et sauvagement meurtrie le meilleur ami de 007. Bond est bien décidé à se venger et à désobéir à M pour accomplir sa vengeance personnelle. Ce seizième film de James Bond marque la deuxième apparition de Timothy Dalton dans le rôle de 007 et sa dernière. Ce film est une aventure différente des autres car cette fois James Bond part en guerre contre l’avis de M, il veut se venger. Le film explore une facette plus violente de l’agent britannique jamais montrée auparavant dans la série, avec ce désir de vengeance l’agent 007 est implacable dans Permis de Tuer. Le scénario du film est très bon et surtout beaucoup plus sombre que d’habitude, un peu comme Skyfall qui montre également une vengeance et un Bond plus sombre, cette histoire de vengeance est dans le fond assez classique mais ajouté un trafique de drogue et du Bond on obtient un film d’action explosif. Le film possède des séquences d’action spectaculaires comme la petite course poursuite pré-générique, la séquence sur le bateau où Bond réussi à s’échapper en faisant du ski nautique et rattrape un avion, il y a quelques bagarres, la séquence de la maison avec les agents chinois qui se font attaquer et enfin la séquence finale avec l’explosion de la base du méchant et la course poursuite démentielle et explosive avec les camions citernes sur des routes désertique. Les acteurs sont très bons, Timothy Dalton livre une facette plus sombre, plus violente et plus réaliste de James Bond et reste très bon, le méchant Franz Sanchez est joué par le très bon Robert Davi, pas le meilleur bad guy de la série mais ça va et enfin les James Bond Girl, Carey Lowell joue Pam Bouvier et Talisa Soto joue Lupa Lamora, elles sont toutes les deux très bien dans leur rôles. Ce James Bond est beaucoup plus violent que les autres, la scène où Leiter se fait « charcuter » par le requin est du jamais vu dans un Bond, le meurtre horrible d‘un homme de Sanchez où sa tête explose et le 007 plus violent livrer par un très bon Timothy Dalton. Le film possède pour moi une des moins bonne chanson de la série comme le précédent. Ce James Bond marque la dernière apparition de Dalton dans le rôle de l’espion 007 et le film est très bon avec de l’action, une bonne histoire et des acteurs aussi très bons. Merci monsieur Dalton pour ces deux très bons films.

Cette 18eme mission de notre agent 007 est une réussite. Les acteurs sont bons et le scénario aussi. Les scènes d'actions sont excellentes.On passe un agréable moment sans s'ennuyer une seule seconde.A voir absolument surtout pour les fans.

Seizième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Pour cette seizième mission, James Bond est confronté à un puissant trafiquant de drogue, Franz Sanchez, qui a fait assassiner la femme de Félix Leiter et sauvagement meurtrie le meilleur ami de 007. Bond est bien décidé à se venger et à désobéir à M pour accomplir sa vengeance personnelle. Ce seizième film de James Bond marque la deuxième apparition de Timothy Dalton dans le rôle de 007 et sa dernière. Ce film est une aventure différente des autres, car cette fois, James Bond part en guerre contre l’avis de M, il veut se venger. Le film explore une facette plus violente de l’agent britannique jamais montrée auparavant dans la série, avec ce désir de vengeance l’agent 007 est implacable dans Permis de Tuer. Le scénario du film est très bon et surtout beaucoup plus sombre que d’habitude, un peu comme Skyfall qui montre également une vengeance et un Bond plus sombre, cette histoire de vengeance est dans le fond assez classique mais ajouté un trafique de drogue et du Bond on obtient un film d’action explosif. Le film possède des séquences d’action spectaculaires comme la séquence sur le bateau où Bond réussi à s’échapper en faisant du ski nautique et rattrape un avion, il y a quelques bagarres, la séquence de la maison avec les agents chinois qui se font attaquer, et enfin, la séquence finale avec l’explosion de la base du méchant, et la course poursuite démentielle et explosive avec les camions citernes sur des routes désertique. Les acteurs sont très bons, Timothy Dalton livre une facette plus sombre, plus violente et plus réaliste de James Bond et très bon. Le méchant Franz Sanchez est joué par le très bon Robert Davis, pas le meilleur méchant de la série, mais ça va et enfin les James Bond Girl, Carey Lowell joue Pam Bouvier et Talisa Soto joue Lupa Lamora, elles sont toutes les deux très bien dans leur rôles. Ce James Bond est beaucoup plus violent que les autres, la scène où Leiter se fait « charcuter » par le requin est du jamais vu dans un Bond, le meurtre horrible d‘un homme de Sanchez où sa tête explose et le 007 plus violent livrer par un très bon Timothy Dalton. Le film possède pour moi une des moins bonne chanson de la série comme le précédent. Ce James Bond marque la dernière apparition de Dalton dans le rôle de l’espion 007 et le film est très bon avec de l’action, une bonne histoire et des acteurs aussi très bons. Merci monsieur Dalton pour ces deux très bons films.

Timothy Dalton enfile le smoking de James Bond pour la deuxième (et malheureusement dernière) fois pour une mission à titre personnel. En effet, le jour de son mariage, Félix Leiter se fait capturer par Sanchez, impitoyable trafiquant de drogue qui tue sa femme et qui le plonge dans un bassin de requins. Bond, décidé à venger son ami mutilé, démissionne des services secrets et part en vendetta contre Sanchez avec seulement deux alliés, en la personne d'une séduisante collaboratrice de Leiter et de Q. Bien avant le "Casino Royale" avec Daniel Craig, les producteurs de la saga décidaient de montrer l'agent 007 sous un jour plus humain et surtout plus sombre comme ils l'avaient abordé avec "Tuer n'est pas jouer". Le résultat, en plus d'être convaincant et solidement réalisé, est très bon puisque les péripéties et les personnages sont crédibles. Timothy Dalton, qui serait resté dans les mémoires en tant que Bond si on lui avait donné sa chance pour encore un ou deux films, est excellent et sa manière d'aborder le personnage se rapproche des romans de Fleming. Face à lui, Robert Davi est impeccable en méchant et Carey Lowell campe une James Bond Girl pas nunuche du tout et très attirante. Un film trop peu reconnu qui marque également les adieux de John Glen à la saga, réalisateur depuis "Rien que pour vos yeux"

Le succès de Tuer n'est pas jouer permet à Timothy Dalton d'aller encore plus loin dans sa volonté de moderniser le personnage de l'agent 007 en le rendant plus sombre, plus brutal. Dans Permis de tuer, il ajoute plusieurs cordes à son arc. James Bond souhaite venger son ami Felix Leiter dont la femme a été tuée et sa jambe dévorée par un requin appartenant à un trafiquant de drogue. Et il n'ira pas par quatre chemins. Lorsqu'il mettra la main sur le flic corrompu, il l'enverra lui aussi se faire dévorer. Bond est seul, il le dit lui-même, ses rares soutiens se font tuer (Sharkey) ou grièvement blesser (Leiter). J'ai même cru à un moment que Q, pour une fois dans le feu de l'action, allait y passer. Même ses supérieurs lui tournent le dos en lui ordonnant de leur remettre son permis de tuer. Sombre, brutal, violent, solitaire, calculateur, obsédé par la vengeance et pourvu d'un humour cynique, à froid, bien loin des calembours de Roger Moore. Rien que son visage le montre : regard perçant, mâchoires serrées, répliques minimalistes, il n'est pas là pour rigoler. A ses côtés, des James Bond girls magnifiques. J'avais déjà cité Maryam d'Abo dans Tuer n'est pas jouer. Dans Permis de tuer, il faut rajouter Carey Lowell, ex-madame Richard Gere et la mannequin Talisa Soto. Quant aux méchants, c'est un festival de gueules : Robert Davi bien sûr en baron de la drogue, Benicio del Toro qui faisait ses débuts, Everett McGill en flic pourri et première victime de la vendetta de James Bond, Anthony Zerbe...Les scènes d'action vont même encore plus loin. On voit l'agent 007 sous l'eau, sur l'eau, se battant à mains nues et clou du spectacle la fameuse course-poursuite finale avec les camions citernes qui a monopolisé à elle-seule six semaines de tournage. Quant aux mises à mort, elles sont très violentes : Killifer sera jeté par James Bond dans la fosse aux crocos, Krest verra sa tête gonfler jusqu'à exploser, Dario sera broyé et Sanchez brûlé vif. Le film sera classé PG-13. Une première. Mais malgré toutes ces qualités, le public ne suivra pas. Alors qu'aujourd'hui, on loue les héros dépressifs (Batman, James Bond avec Craig), à l'époque, Roger Moore est encore trop présent dans les mémoires. L'intelligence de Dalton le rendait trop en avance sur son temps et le public n'était pas prêt. Pour moi, il est bien plus qu'un simple James Bond de transition utilisé à la fin des années 80 pour annoncer Pierce Brosnan. Il est le meilleur des James Bond que la saga ait pu connaître et le seul à avoir su comprendre le personnage. J'ai deux regrets. Un, qu'il n'ait pas pu continuer un peu plus longtemps dans la franchise car clairement il pouvait encore faire plusieurs films. Deux, qu'incarner ce personnage aussi marquant que James Bond ne lui ai pas profité dans sa carrière. Car si je regarde ce qu'il a pu faire après, je vois quoi ? La Putain du roi juste après Permis de tuer aux côtés de Valeria Golino, Jules César dans le téléfilm Cléopâtre, une brève auto-parodie dans Les Looney Tunes passent à l'action de Joe Dante et c'est quasiment tout à part quelques apparitions ici où là à la télé...Frustrant, très frustrant.

Seizième mission du célèbre espion britannique 007. Le scénario est bien construit mais je trouve pas aussi terrible que tous les précédents missions car il s'agit de régler un compte personnel au lieu d'arrêter un terroriste ou de sauver le monde d'un terrible mal. Timothy Dalton ne se montre pas aussi convaincant que le précédent et franchement, je trouve qu'il ne colle pas la peau de James Bond, un méchant pas très charismatiques. Cependant les James Bond girls sont très jolies. Des scènes de combat pas aussi spectaculaires que les précédents mais avec quelques cascades bien exécutées. La face à face entre James Bond et le méchant ne se montre pas divertissant. Des costumes et des décors normaux. Un James Bond que je vous déconseille.

Permis de tuer n'est pas comme les autres James Bond, c'est le plus violent . La poursuite en camion citerne est géniale ! Franchement, il ne méritait pas que ce soit le seul qui a fait le moins de recettes au box-office. L'histoire tiens la route et c'est le dernier épisode où le compositeur-interprète des James Bond (John Barry) y travaille. Des méchants impitoyables.

Un volet de bonne facture, plus proche du film d'action que du film d'espionnage. Rien d'exceptionnel, une mise en scène particulièrement classique de la fin des années 80 mais du rythme, des scènes d'action bien chorégraphiées et Timothy Dalton s'avère assez convaincant dans le rôle de James Bond.

C’est presque un sentiment de frustration que nous inspire le souvenir de cet épisode remarquable de la saga 007 puisque l’on se dit que l’on ne reverra plus jamais Timothy Dalton endosser le costume de James Bond alors qu’il avait, en à peine deux films, deux des meilleurs de la franchise, su apporter au personnage une dimension à la fois posée et épique que l'ère Roger Moore avait pallié par une tendance un peu grotesque à la surenchère. Cette excellente seizième aventure de l’agent britannique, la sixième réalisée par John Glen, est la seule à ne pas être inspiré d’un roman d’Ian Flemming et sans conteste la plus violente. Son héros se retrouve coupé de l’appui de sa hiérarchie pour se lancer dans une vendetta sans pitié contre un trafiquant de drogue incarné par le toujours impressionnant Robert Davi, faisant ainsi du film un thriller musclé plein de scènes d’action spectaculaires s’éloignant du schéma habituel du film d’espionnage aux enjeux surréalistes.

Permis de tuer, James Bond d'une grande qualité, clôt l'ère John Glen d'une très belle manière. L'intrigue, en forme de vendetta, donne à sa dernière réalisation sous l'égide d'Albert R. Broccoli un souffle bien supérieur aux standards de la saga. Un seul regret, ne pas voir Timothy Dalton poursuivre l'aventure. Même si Pierce Brosnan arrive, prêt à reprendre le flambeau avec un brio incontestable. Très bien.

Un très bon 007 :)

Avec "Permis de Tuer", Bond amorce un virage qui sera malheureusement fatal à Timothy Dalton.
L'acteur souhaitant mettre en avant les démons de l'espion britannique, Bond se montre plus brutal que jamais dans une histoire de vendetta qui n'est pas sans rappeler "Quantum of Solace".

Timothy Dalton semble bien plus à l'aise dans le rôle, il s'approprie définitivement le personnage et dépeint un portrait tantôt humain, tantôt bestial de 007...une vraie réussite.

Mais que serait Bond sans un parfait némésis ?
Il a trouvé en Sanchez un méchant à sa hauteur, en quelque sorte son reflet. L'homme possédant la plus belle fille, "séduisant", cultivé, raffiné...Robert Davi est certainement l'un des meilleurs interprètes du panthéon des acteurs ayant campé le rôle du Bad Guy.
On notera également la présence de Benicio Del Toro dans le rôle d'un très bon second couteau.
C'est un plaisir de retrouver l'acteur ayant campé Félix Leiter dans "Vivre et laisser mourir" et de revoir Q sur le terrain aux côtés de Bond.
Côté Girl on est confronté à des femmes aussi belles que fortes, n'hésitant pas à tenir tête à Bond et l'aider dans sa périlleuse entreprise. Changement de ton radical quand on voit que la Bond Girl Pam Bouvier a carrément un plus gros calibre que Bond dans la scène du bar et est celle qui "sauve la peau de 007".

Le problème de "Permis de Tuer" c'est sans doute le côté américanisé de l'histoire et le fait que, à la manière de Quantum of Solace, le plan du méchant est complètement dévoré par la fureur de Bond.
C'est assez déroutant de voir que le personnage assez soft, lisse qu'on a eu jusqu'à présent est aussi sombre, brutal dans ce film.

Le film ne déroge pas à la tradition et possède des cascades mémorables comme la scène où Bond fait du ski nautique tiré par un avion et bien sûr la séquence culte du camion évitant un tir de roquette.

Au final, la grosse déception vient de la musique, sans doute l'une des pires BO de la franchise.

Malheureusement pour "Permis de Tuer", le changement de nom, la promotion désastreuse, les énormes films sortant en même tant que lui et l'incroyable brutalité du film auront empêcher Bond de devenir moins tout public...puisqu'on reviendra à un ton plus "léger" dés le second Bond de Pierce Brosnan.
(Goldeneye ayant toujours un arrière-goût de Dalton au niveau de l'écriture, le film ayant à l'origine été écrit pour lui)

Loin d'être à la hauteur de épisodes précédents, ce James Bond se laisse regarder sans grande attention. Les cascades, le machisme de l'agent, le luxe sont présents comme d'habitude. On notera tout de même la cascade de la fin qui montre le savoir-faire des cascadeurs.

Voilà ! Voilà un James Bond tel qu'on l'imagine vis à vis du personnage et du scénario ! Et même s'il dépend du temps ancien des James Bond (sans injure aux précédents, notamment des plus vieux, tels avec Sean Connery), il préfigure ceux de l'époque nouvelle, avec Brosnan !
La musique ne fait pas tout, mais elle est bien caractéristique des James Bond, et le rythme de l'action, soutenu, ainsi qu'un bon scénario et du suspens à l'appui, avec un James au four et au moulin concernant les belles (donc coureur; fait terriblement macho, certes), tout cela correspond aux critères d'un "vrai" film de 007 ! Certes, Timothy Dalton ne restera pas le plus connu des acteurs qui ont incarné le célèbre agent secret, mais il faut reconnaitre qu'il ne dépareille pas dans l'ensemble.
J'ai été très agréablement surpris de retrouvé Robert Davi, alias Kolya de Stargate Atlantis, dans un rôle d'un tel film.