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Anonyme M
62 abonnés
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0,5
Publiée le 30 décembre 2020
en 2 minutes tout pète comme une guerre civile HOO !!! agent SECRET. pire acteur pour jouer James bond et le générique MON DIEU c'est quoi ça ??? ont dirait un générique d'un film érotique plutôt qu'un James bond c'est pas possible ils était défoncé comment ont peux rater un truc a ce point ?? au bout de 20 minutes de n'importe quoi j'ai du arrêté d'exposer mon cerveau a ce désastre.
Permis de tuer ou Licence to Kill en anglais est un des James Bond les plus controversés dans la communauté de fans de James. Après le mariage de son amie Felix, James découvre qu'il c'est fait a moitié tué par un trafiquant de drogue riche et puissant il décide alors contre toute raison et contre l'avis de M, de poursuivre ce baron et de le tuer. Ce James Bond est assez original ce qui amène un vent de fraîcheur. En effet on découvre cette fois ci une face plus sombre de James qui n'hésite pas a tuer pour venger son ami. Le film est d'ailleurs plus violent que d'habitude, violence avant décriée mais qui est maintenant devenu un standard dans les James Bond avec Daniel Craig, même si le sang est moins présent. Malheureusement, cette idée a aussi ses défauts, James Bond est moins charmeur et séducteur et Thimoty Dalton n'a d'ailleurs pas une tête très engageante. Le scénario est plutôt réussi même si il manque d'originalité. En effet, le film ressemble assez a un Arme Fatale par son sujet et sa violence. Mais certaines idées sont intéressante et bien exploités. Les personnages sont bien écrits et plutôt développés. On apprécie d'ailleurs le fait que Q a une grande place dans ce film. Thimoty Dalton est plutôt bon en tueur froid mais n'a pas vraiment une tête de James Bond. Davi est vraiment bon en Sanchez, Carey Lowell réussi en James Bond Girl femme forte et Benicio del Toro remarquable pour un premier rôle. Les dialogues sont cette fois ci assez réussi mais on regrettera le peu d'action dans le film ce limitant au début et à la fin. L'action d'ailleurs est toujours aussi réussie et époustouflante. La musique est moyenne pour le thème chanté comme musical. Le fait de sa violence et de son éloignement de la saga avait au départ dégoûté le public, mais maintenant le film réussi dans ce qu'il essaie de faire, est original et unique en son genre !
Pour sa dernière mission dans le costume de l'agent 007, Timothy Dalton joue la carte de la vengeance dans un scénario qui voit James Bond ayant perdu son célèbre permis de tuer. La violence monte d'un cran et John Glen n'hésite pas a faire de gros plan sur les mutilations de certains personnages. L'univers de l'espion anglais n'a jamais paru aussi crédible.
« Tuer n’est pas jouer » avait montré les limites du jeu de Timothy Dalton, lui interdisant d’épouser pleinement toute la dimension du rôle de l’agent 007. Les scénaristes Richard Maibaum et Michael G.Wilson avaient sérieusement travaillé pour pallier au manque de charisme patent de l’acteur gallois. Le premier épisode de la courte ère Dalton malgré une intrigue plutôt bien charpentée, avait laissé les fans de la saga sur leur faim. On pouvait espérer que les manques expressifs constatés allaient en partie pouvoir se corriger avec la prise d’assurance d’un Timothy Dalton rassénéré par le bon score au box-office de « Tuer n’est pas jouer ». Il n’en n’a malheureusement rien été, Dalton sans aucun doute conscient de la distance qui le sépare de l’esprit du rôle semble encore une fois gravement inhibé. Heureusement, Robert Davi dans le rôle du méchant trafiquant de drogue, secondé par un Benicio Del Toro débutant dont on sent bien qu’il ne lui faudra pas longtemps pour percer, comble de toute sa rouerie la transparence d’un 007 comme anesthésié. Maigre consolation, la paralysie évidente de Timothy Dalton sert de carburant aux scénaristes pour trouver des idées donnant le change comme celle excellente de développer la participation de Q qui pour l’une des dernières participations de Desmond Llewelyn à l’écran, s’immisce en protecteur malicieux de Bond tout au long du film. Malgré ces quelques artifices, l’affaire semble entendue. Timothy Dalton ne pourra endosser plus longtemps un costume trop grand pour lui, malgré son contrat initial pour trois films. Le box-office américain n’étant pas au rendez-vous, la transition se fera automatiquement. Pierce Brosnan pourra donc entrer en scène au prochain épisode. La critique peut sembler un peu courte mais sans l’incarnation crédible du héros né de l’imagination de Ian Fleming et façonné par les interprétations pourtant opposées de Sean Connery et Roger Moore, rien n’a vraiment d’intérêt.
Je ne vais pas jouer l'hypocrisie, Dalton est mon James Bond favoris. Bien que j'ai préféré l'opus précédent (Tuer n'est pas jouer), je trouve que ce film ce démarque vraiment des autres Bond réalisés plus tôt. Nous avons le droit à une vendetta personnelle où Bond n'hésite pas à quitter le MI6 pour arriver à son but.
Son ami, espion à la CIA, attrape le malfrat qu'il pourchassait depuis 5 ans, le jour de son mariage. Mais bien évidement, rien ne se passe comme il faut. Le mafieux est évadé et il décide de se venger sur l'homme qui l'a épinglé. Il en résulte que la mariée se fasse horriblement tuée, et le mari estropié tout en sachant la sentence de celle-ci.
James Bond apprends les nouvelles et décide de s'en mêler personnellement (un peu trop). Le MI6 l'éloigne de cette affaire avec une autre mission, mais il refuse. Il veut être affecté à la mission concernant son ami Felix Leiter, afin de le venger.
Se mêlant de trop prêt de cette mission officieuse, il reçoit un gros avertissement sur son poste. Toujours dans un esprit de vengeance, il n'hésite pas à démissionner des services secrets britannique, juste pour faire justice.
C'est une action à la "Dirty Harry", mais cela montre aussi l'humanisme de James Bond.
Il s'en va en suite enquêter sur Sanchez. Mafieux auquel il jouera le rôle d'homme de terrain, mais auquel il aura du mal à taire sa haine.
Benicio del Toro joue l'un de ses premier rôles. Il est dans la vague de l'antagoniste. On voit qu'il est "méchant", mais on voit aussi qu'il peut être sadique quand il le faut. C'est une belle performance pour un jeune acteur.
Scénaristiquement parlant, c'est intéressant de voir James Bond s'attaquer à autre chose qu'une association de membres pour conquérir le monde.
Là, il s'attaque (et quasiment tout seul) à un cartel de drogue, chose qui existe vraiment, et nous fait face à un fléau qui existe encore.
Pour le coup, James Bond affronte des personnes qui pourraient exister.
Pour finir, le scénario est très intéressant et différent des autres Bond. La réalisation est meilleure à mon goût que le précèdent. Les James Bond girls ne sont pas mauvaises. On a là deux femmes fortes, mais l"une d'elle est emprisonnée.
Pour moi c'est un James bond différent, mais bon dans le sens où il va chercher ailleurs.
A la sortie de "Permis de Tuer", les critiques furent nombreuses quant au changement de personnalité de James Bond, désormais incarné par le gallois Timothy Dalton. Et pourtant force est de reconnaitre, près de 35 ans plus tard, que cette évolution était nécessaire afin de contrecarrer un JB qui tournait un peu trop en rond sous l'ère Roger Moore. "The Living Daylights" avait annoncé la couleur. La courte ère Dalton sera plus réaliste et plus humaine, mais non dénuée de classe. Le JB de Dalton est clairement précurseur de celui que Craig Daniel incarnera 15 ans plus tard. Dans "Licence to Kill", ce qui saute aux yeux, c'est la violence et l'action omniprésentes. Par ailleurs, les scènes d'action sont remarquablement tournées. Si tous les seconds rôles ne sont pas forcément très développés, notons quand même le méchant Sanchez (Robert Davi), charismatique et antipathique à la fois. Enfin un méchant crédible! A ses côtés, Dario, alias Beniccio Del Toro qui débutait sa prolifique carrière. Miss Bouvier (la craquante Carey Lowell) est une JB girl qui sert enfin à quelque chose d'autre que de finir au lit au bout de 30 secondes. Par contre, la présence 'sur le terrain' de Q et sa facilité à avoir retrouvé JB est beaucoup trop décalée. Le réalisateur, John Glen, était déjà à la manoeuvre dans les derniers Bond. Mais ce "Licence to Kill" possède une atmosphère intéressante, parfois captivante, que les autres n'avaient pas. La bande-son est une réussite, même si John Barry n'en est exceptionnellement pas l'auteur. Tout est loin d'être parfait, il y a toujours quelques belles incohérences/facilités et des clichés à la pelle. Mais ça fait partie de l'univers Bond depuis ses débuts. Ce volet reste au-dessus de la moyenne. Un bon Bond curieusement méprisé par une partie des fans.
Unique James bond à avoir subi une restriction d'age, Permis de tuer est probablement le film de la saga d le plus controversé, car detesté par certains ( notamment a l'époque de sa sortie ou il a connu un certain échec, pour finir comme un des pires scores de james bond au box office ) et adoré par d'autres ( il bénéficie aujourd'hui d'une excellente réevalution par le public et les fans de bond ). Pour ma part mon james bond préféré avec peut etre Tuer n'est pas jouer. Oubliez ici le james bond précédent technopop et avec de bonnes touches d'humour de roger moore ( ce contraste brutal sera d'ailleurs la raison principale de l'échec du film ), Ici james bond est sombre, très sombre,et non plus en charge d'une mission a remplir, mais en quete de vengeance. Le film est nettement plus violent que tous ses précédents ( en témoigne les nombreuses morts atroces: broyé par une machine, dévoré par un requin, subi a une depressurisation jusqu'a explosion du visage, embroché...) Ce james bond et son interprétation par timothy dalton, est bien plus fidèle au personnage des romans de Ian Fleming, mais très des adaptions précédentes. Ceux qui souhaitaient/ s'attendaient à un james bond classique seront forcément très supris ou très décus si c'est ce qu'ils souhaitaient voir, mais ce film reste selon moi le meilleur opus de cette saga ( avec comme cité précédemment tuer n'est pas jouer )dont je suis un très grand fan.
Un seizième volet efficace dans lequel Timothy Dalton endosse, de manière convaincante, pour la seconde et dernière fois, le costume de James Bond dans un épisode qui fait une large place à l'action. 3,25
Divertissant et dynamique, Permis de Tuer est selon moi un bon James Bond, sans être transcendant. On passe un bon moment grâce aux scènes d'action, aux gadgets de 007, aux jolies filles, aux décors, à la musique.
Ce Bond marque un changement dans la mythologie. Felix Leiter procède à l'arrestation de Sanchez qui est un dangereux trafiquant de drogue. Ce dernier est libéré le soir même avec l'aide d'un complice et se venge de Leiter. Sanchez le donne au requin et assassine sa femme. Bond découvre alors son ami et décide se venger malgré l'interdiction de ses supérieurs. Il se voit alors retirer le permis de tuer et se retrouve seul dans sa lutte. Cet épisode est beaucoup plus froid et sombre, de part l'histoire de vengeance. Bond est obsédé par la vengeance. L'humour est beaucoup moins présent que les autres James Bond de part le sérieux que le film prend. Toutefois l'action est fort présent et on retiendra la course poursuite en camion légendaire. Michael Kamen est ici à la composition et on le reconnaît. Un Bond qui peut diviser de part le changement et la tournure personnelle que le film prend. On passe un bon moment.
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3,0
Publiée le 24 février 2020
Cette seizième aventure de James Bond exige un permis! Un permis distinctif puisqu'il s'agit de tuer où Timothy Dalton affronte un mèchant absolu avec une perversion alimentèe par le pouvoir qu'il tire de la drogue et de l'argent! C'est Robert Davi, l'agent spècial du FBI Johnson du premier "Die Hard", qui campe ce baron de la drogue basè en Amèrique Centrale! Et ma foi, il s'en sort plutôt bien! Ce n'est pas aussi rèussi que "The Living Daylights" mais Dalton assure dans un Bond où les requins voraces, les femmes sexys (Carey Lowell, l'ex du tombeur de ces dames, Richard Gere), les morts violentes et l'humour noir ne manquent pas au programme! Avec au menu quelques cascades spectaculaires (la course poursuite des camions-citernes) signèes par le grand Rèmy Julienne! On notera la prèsence de Benicio del Toro qui joue l'un des bras droits de Sanchez...
Le Bond que j'ai préféré quand j'étais ado fin des années 90 Certainement car il était d'époque et que c'était un très bon film d'action. Avec du recul : il est très violent car c'était l'époque + un choix du realisateur, mais aussi car cela se passe dans les cartels de drogues où l'ultra violence est de mise, donc c'est plutot coherent avec la situation, même si c'est moins cohérent avec l'esprit de la saga... On perd le charme, le scénario aussi (une simple vengeance où Bond execute un par un les grands méchants) mais on y voit un bon Timothy Dalton, une scène de fin d'anthologie (le camion citerne qui roule sur le côté pour éviter le missile est LA scène) et une autre scène d'action avec l'avion qui est également dantesque ! Bref ce film serait top, s'il n'était pas un Bond en fait... :) Donc je révise mon jugement d'il y a 20 ans et lui retire une étoile.
James Bond délaisse sa fonction gouvernementale pour une mission personnelle et vengeresse contre un caïd de la drogue. S’éloignant de sa routine et malgré une présence étoffée de Q à l’écran (Desmond Llewelyn, toujours aussi sympa), d’actrices charmantes (Carey Lowell et Talisa Soto), d’un apport d’effets étonnamment gores pour la saga ainsi qu’un final explosif en camions citernes, la mayonnaise ne prend pas complètement. Et pourtant, « Permis de Tuer » - le cinquième volet réalisé à la suite par John Glen - n’est pas si mauvais que ça. Il est même meilleur que le précédent mais son scénario ne s’envole pas vraiment, à l’image même de son pré-générique. Suite à l’insuccès de ce chapitre et du rejet injustifié du public pour Timothy Dalton, la franchise sera stoppée durant 6 ans.
Après Roger Moore, la franchise James Bond prenait un virage bien plus violent et noir à la fin des années 1980 avec ce "Licence to kill". Timothy Dalton offre une facette bien différente du personnage, intéressante, reprise par Daniel Craig dernièrement, qui rappelle aussi un peu Jack Bauer, la fin justifiant les moyens. Il est plus froid, distant, menant ici une vengeance personnelle avant tout. Si cela a clairement pu surprendre et décevoir à l'époque, avec le recul, le film est plutôt bon, apportant une véritable modernité, voire un réalisme, à la franchise. Ce n'est pas forcément le James Bond que j'aime le plus, mais il n'est pas à jeter pour autant.