AlloCiné
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Votre avis sur Permis de tuer ?
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89 critiques
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mais fuck le film mérite tellement plus de succès ce film de guerre contre la drogue ma beaucoup marquée un film où james bond va faire le rebelle pour venger son amis foncer voir ce film il est incroyable .
Second et dernier James Bond interprété par le comédien Shakespearien Timothy Dalton et dirigé par le réalisateur britannique médiocre John Glenn ( dont le titre de gloire est d'avoir mis en scène cinq opus de la série dans les années 80 et d'avoir été assistant sur deux autres dans les années 70), on ne peut pas dire qu'on sorte ébouriffé de la salle après la projection.
On sait que cette série s'adresse avant tout au grand public, mais il arrive que certains opus de la série valent le détour même pour le spectateur plus exigeant ( je pense à " casino royal", selon moi, le chef d'oeuvre de toutes les réalisations).
Si les qualités d'interprétation de T.Dalton ne sont pas questionnables, il ne me semble pas être le meilleur interprète du personnage.
Manque de charisme, tête en forme de ballon de rugby, il me paraît surclassé par Sean Connery ( dont il est le plus proche) et surtout par Daniel Craig ( à mes yeux le meilleur interprète- il est vrai servi par des cinéastes d'une autre trempe que celle de john Glenn).
On ne parle pas du directeur de la photo, dont le travail est d'une totale platitude et ne contribue pas à rehausser le travail du realisateur britannique.
Par contre, il faut relever le casting féminin particulièrement réussi entre Casey Lowell ( elle fût l'épouse à la ville de Richard Gere pendant presque deux décennies) et Tamila Soto, américaine d'origine portoricaine, toutes deux dotées d'un physique exceptionnel que john Glenn eut la bonne idée de garder toutes deux à l'écran pendant la plus grande partie du film.
Sur ce point, il me semble même que c'est un des " james Bond" parmi les plus reussis de la série.
On pourra relever aussi la tenue des cascades, nombreuses et impressionnantes. Pour le reste le scénario est particulièrement mal amené, pratiquant ellipses, incohérences qui laissent le spectateur le plus attentif au bord du chemin.
On notera aussi, la présence de Benicio Del Toro à ses débuts et le célèbre acteur ( il eut son heure de gloire grace à des films mexicains de haute tenue pendant les années 50) Pedro Almendariz, ici sur la fin de sa carrière et dont il ne reste absolument plus rien de son charme légendaire ( il interprète le petit rôle du président de l'État latino américain imaginaire dans lequel se déroule une partie de l'action).
Les inconditionnels de la série ne le manqueront tandis que les spectateurs plus distants à son égard, préféreront jeter un œil sur les opus incarnés par Daniel Craig - même si le casting féminin n'y est pas toujours à la hauteur - je pense principalement à Lea Seydoux - voire ceux interprétés par Sean Connery)
On sait que cette série s'adresse avant tout au grand public, mais il arrive que certains opus de la série valent le détour même pour le spectateur plus exigeant ( je pense à " casino royal", selon moi, le chef d'oeuvre de toutes les réalisations).
Si les qualités d'interprétation de T.Dalton ne sont pas questionnables, il ne me semble pas être le meilleur interprète du personnage.
Manque de charisme, tête en forme de ballon de rugby, il me paraît surclassé par Sean Connery ( dont il est le plus proche) et surtout par Daniel Craig ( à mes yeux le meilleur interprète- il est vrai servi par des cinéastes d'une autre trempe que celle de john Glenn).
On ne parle pas du directeur de la photo, dont le travail est d'une totale platitude et ne contribue pas à rehausser le travail du realisateur britannique.
Par contre, il faut relever le casting féminin particulièrement réussi entre Casey Lowell ( elle fût l'épouse à la ville de Richard Gere pendant presque deux décennies) et Tamila Soto, américaine d'origine portoricaine, toutes deux dotées d'un physique exceptionnel que john Glenn eut la bonne idée de garder toutes deux à l'écran pendant la plus grande partie du film.
Sur ce point, il me semble même que c'est un des " james Bond" parmi les plus reussis de la série.
On pourra relever aussi la tenue des cascades, nombreuses et impressionnantes. Pour le reste le scénario est particulièrement mal amené, pratiquant ellipses, incohérences qui laissent le spectateur le plus attentif au bord du chemin.
On notera aussi, la présence de Benicio Del Toro à ses débuts et le célèbre acteur ( il eut son heure de gloire grace à des films mexicains de haute tenue pendant les années 50) Pedro Almendariz, ici sur la fin de sa carrière et dont il ne reste absolument plus rien de son charme légendaire ( il interprète le petit rôle du président de l'État latino américain imaginaire dans lequel se déroule une partie de l'action).
Les inconditionnels de la série ne le manqueront tandis que les spectateurs plus distants à son égard, préféreront jeter un œil sur les opus incarnés par Daniel Craig - même si le casting féminin n'y est pas toujours à la hauteur - je pense principalement à Lea Seydoux - voire ceux interprétés par Sean Connery)
Ce Film mérite une meilleure considération aujourd'hui selon moi même si il commence à être reconnu comme un Épisode Bondien Culte à travers la saga. C'est vrai qu'il il reste un excellent film d'action (l'évasion en avion et la poursuite finale avec les camions sont des scènes jouissifs) mais c'est avant tout centré sur le émotions et le combat de James Bond incarné avec brio par Timothy Dalton. Il est en colère, assoiffé de vengeance et est je trouve celui qui a symbolisé le Permis de Tuer pas par les nombreux massacres qu'il a pu faire mais par la raison de tuer chaque personne. Par ailleurs les morts ou même la violence est montée d'un cran dans cet opus ou le monde américain de la drogue est approfondi dans sa profondeur et Sanchez, le superbe méchant principal joue le chef d'orchestre de cette machine bien huilée. Sa confrontation avec Bond que ce soit au Poing ou au Dialogue est le point fort du film. Ressemblance sur la Form, Opposés sur le fond. Concernant, les bond Girls sont réussis en plus d'êtres magnifiques. Ravissante et Indépendante voici Pam l'alter ego de Bond puis captive mais sensible, la douce et sublime Lupe. Enfin la musique bien que répétitive accompagne correctement en plus du gunbarrel les temps forts et calmes du film. Par contre concernant les défauts. Je pense que le personnage de Dario méritait plus de temps a l'écran car il est assez sombre et dangereux, l'affiche principale est vraiment immonde, la coupe de Bond laisse perplexe et le personnage de Félix Leiter et sa scène finale maladroite. Mais au final, Permis de Tuer est une petite perle dans la Saga James Bond comme l'a été le cher Timothy.
ManoCornuta
Pour une deuxième aventure dans le costume de 007, Timothy Dalton renforce encore sa version d'un Bond brutal et sans états d'âme dans cette histoire de vengeance sur fond de narco-trafic. Avec un casting solide et en dépit de certains éléments d'intrigue qui viennent allonger un peu inutilement la sauce, le résultat est un bon cru pour son atmosphère globale et une dernière demi-heure qui est un véritable feu d'artifice. Un opus loin des extravagances de la décennie précédente, les deux pieds dans le réel.
Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.
« Permis de tuer »
16ème volet de la franchise réalisé encore et pour la cinquième fois de suite par John Glen, on ne l’arrête plus.
Je ne l’avais encore jamais vu (12 sur 16).
Le générique est un rituel qui ne se renouvelle pas beaucoup mais qui reste un plaisir pour les yeux.
Timothy Dalton assure une seconde fois le personnage 007.
Si avec lui, la franchise avait rajeuni une grande partie de son effectif, ici, Félix Leiter vieillit plus vite que Bond ! En effet, lors du volet précédent, Felix Leiter était plus jeune en la personne de John Terry (37 ans) comparé à David Hedison, 62 ans pour ce film.
Un clin d'oeil ? Un retour ? Il avait tenu le rôle dans "Vivre et Laisser Mourir".
Le scénario comme le précédent s’inscrit dans un certain réalisme. Toujours pas d’extravagance, de mégalomanie, de refaire le monde à son image.
« Permis de tuer » nous présente un méchant vraiment méchant, Franz Sanchez sous les traits de Robert Davi. Méchant narco-trafiquant, sensible à l’amitié, homme de paroles et un code d’honneur qui ne me le rend pas si détestable !
Cependant, il est redoutablement cruel.
Voilà le meilleur méchant de toute la saga.
J’avais nommé Christopher Walken en Zorin jusqu’à présent.
Je lui préfère de loin Robert Davi car le scénario dégage une part de réalisme que n’avait pas « Dangereusement vôtre ».
Robert Davi est une vraie gueule de cinéma, il interprète un Franz Sanchez sans ironie appuyée, sans bagou à la Scarface (Al Pacino). La sobriété qui le caractérise participe amplement au malaise qu’il dégage.
Son bras droit, Dario, est interprété par le jeune Benicio del Toro. Redoutable lui aussi.
Et une fréquentation peu recommandable en la personne de Milton Krest (Anthony Zerbe).
Le titre est une expression souvent lancée dans les précédents James Bond : licence to kill. Son permis de tuer lui permet d’assouvir une vengeance personnelle plutôt que d’accomplir une mission. Mais comme par hasard, sa vengeance est liée à sa mission !
spoiler: En effet, James Bond est déterminé à venger son ami Felix Leiter fraîchement marié ; donné en pâture à un requin blanc, Felix Leiter sera mutilé par l’horrible narco-trafiquant Franz Sanchez. Et son épouse, Della (Priscilla Barnes), sera tout bonnement assassinée.
A noter : c’est la première fois en deux volets pour Timothy Dalton que l’on évoque le mariage de 007.
« Permis de tuer » doit être le James Bond le plus violent, me semble-t-il. Cela ne me dérange pas du tout, l’espion 007 rentre dans le dur avec un coeur arraché, spoiler: celui de l’amant surpris dans le lit de la maîtresse de Sanchez avec cris hors champ
; requin blanc, tête éclatée, broyeur et immolation.
Un scénario pratiquement toujours en mouvement, c’est vivant, aucune longueur n’est à déplorer.
Les cascades sont toutes bien orchestrées et spectaculaires entre l’improbable et réalisme.
Q s’émancipe de plus en plus malgré un Desmond Llewelyn très marqué par l’âge. Le doyen de la saga puisqu’il est présent depuis « Bons Baisers de Russie ».
Un grand gosse qui prend plaisir à participer de près à la mission.
Et peut bouder quand James Bond l’invite à rentrer à Londres !
Côté James Bond Girls : deux très belles plantes.
Carey Lowell dans le rôle de Pam Bouvier, ancienne pilote de l’armée et agent de la CIA. Précieuse et efficace. Elle ne s’en laisse pas compter et revendique sa démarche féministe.
Sans elle, Bond aurait fini broyé.
« Je préfère travailler seul, je serai plus en sécurité » !!?? dit-il.
Il n’était pas du tout en sécurité. Heureusement que Pam était là pour le seconder.
Dans ce volet, James Bond est imbu de sa personne et ingrat.
En tout cas, Pam semble éprise de l’agent 007, spoiler: à deux reprises, on la sent piquée à l’idée que Bond préfère badiner avec Lupe, femme de l’infâme Sanchez
. Talisa Soto remplit le rôle d’une Girl somme toute assez classique.
Après 16 opus, je rétrograde enfin « Bons Baisers de Russie » derrière « Permis de tuer ».
A voir en V.O pour Robert Davi…
Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.
« Permis de tuer »
16ème volet de la franchise réalisé encore et pour la cinquième fois de suite par John Glen, on ne l’arrête plus.
Je ne l’avais encore jamais vu (12 sur 16).
Le générique est un rituel qui ne se renouvelle pas beaucoup mais qui reste un plaisir pour les yeux.
Timothy Dalton assure une seconde fois le personnage 007.
Si avec lui, la franchise avait rajeuni une grande partie de son effectif, ici, Félix Leiter vieillit plus vite que Bond ! En effet, lors du volet précédent, Felix Leiter était plus jeune en la personne de John Terry (37 ans) comparé à David Hedison, 62 ans pour ce film.
Un clin d'oeil ? Un retour ? Il avait tenu le rôle dans "Vivre et Laisser Mourir".
Le scénario comme le précédent s’inscrit dans un certain réalisme. Toujours pas d’extravagance, de mégalomanie, de refaire le monde à son image.
« Permis de tuer » nous présente un méchant vraiment méchant, Franz Sanchez sous les traits de Robert Davi. Méchant narco-trafiquant, sensible à l’amitié, homme de paroles et un code d’honneur qui ne me le rend pas si détestable !
Cependant, il est redoutablement cruel.
Voilà le meilleur méchant de toute la saga.
J’avais nommé Christopher Walken en Zorin jusqu’à présent.
Je lui préfère de loin Robert Davi car le scénario dégage une part de réalisme que n’avait pas « Dangereusement vôtre ».
Robert Davi est une vraie gueule de cinéma, il interprète un Franz Sanchez sans ironie appuyée, sans bagou à la Scarface (Al Pacino). La sobriété qui le caractérise participe amplement au malaise qu’il dégage.
Son bras droit, Dario, est interprété par le jeune Benicio del Toro. Redoutable lui aussi.
Et une fréquentation peu recommandable en la personne de Milton Krest (Anthony Zerbe).
Le titre est une expression souvent lancée dans les précédents James Bond : licence to kill. Son permis de tuer lui permet d’assouvir une vengeance personnelle plutôt que d’accomplir une mission. Mais comme par hasard, sa vengeance est liée à sa mission !
spoiler: En effet, James Bond est déterminé à venger son ami Felix Leiter fraîchement marié ; donné en pâture à un requin blanc, Felix Leiter sera mutilé par l’horrible narco-trafiquant Franz Sanchez. Et son épouse, Della (Priscilla Barnes), sera tout bonnement assassinée.
A noter : c’est la première fois en deux volets pour Timothy Dalton que l’on évoque le mariage de 007.
« Permis de tuer » doit être le James Bond le plus violent, me semble-t-il. Cela ne me dérange pas du tout, l’espion 007 rentre dans le dur avec un coeur arraché, spoiler: celui de l’amant surpris dans le lit de la maîtresse de Sanchez avec cris hors champ
; requin blanc, tête éclatée, broyeur et immolation.
Un scénario pratiquement toujours en mouvement, c’est vivant, aucune longueur n’est à déplorer.
Les cascades sont toutes bien orchestrées et spectaculaires entre l’improbable et réalisme.
Q s’émancipe de plus en plus malgré un Desmond Llewelyn très marqué par l’âge. Le doyen de la saga puisqu’il est présent depuis « Bons Baisers de Russie ».
Un grand gosse qui prend plaisir à participer de près à la mission.
Et peut bouder quand James Bond l’invite à rentrer à Londres !
Côté James Bond Girls : deux très belles plantes.
Carey Lowell dans le rôle de Pam Bouvier, ancienne pilote de l’armée et agent de la CIA. Précieuse et efficace. Elle ne s’en laisse pas compter et revendique sa démarche féministe.
Sans elle, Bond aurait fini broyé.
« Je préfère travailler seul, je serai plus en sécurité » !!?? dit-il.
Il n’était pas du tout en sécurité. Heureusement que Pam était là pour le seconder.
Dans ce volet, James Bond est imbu de sa personne et ingrat.
En tout cas, Pam semble éprise de l’agent 007, spoiler: à deux reprises, on la sent piquée à l’idée que Bond préfère badiner avec Lupe, femme de l’infâme Sanchez
. Talisa Soto remplit le rôle d’une Girl somme toute assez classique.
Après 16 opus, je rétrograde enfin « Bons Baisers de Russie » derrière « Permis de tuer ».
A voir en V.O pour Robert Davi…
Seizième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, 007. Pour cette seizième mission James Bond est confronté à un puissant trafiquant de drogue, Franz Sanchez, qui a fait assassiner la femme de Félix Leiter et sauvagement meurtrie le meilleur ami de 007. Bond est bien décidé à se venger et à désobéir à M pour accomplir sa vengeance personnelle. Ce seizième film de James Bond marque la deuxième apparition de Timothy Dalton dans le rôle de 007 et sa dernière. Ce film est une aventure différente des autres car cette fois James Bond part en guerre contre l’avis de M, il veut se venger. Le film explore une facette plus violente de l’agent britannique jamais montrée auparavant dans la série, avec ce désir de vengeance l’agent 007 est implacable dans Permis de Tuer. Le scénario du film est très bon et surtout beaucoup plus sombre que d’habitude, un peu comme Skyfall qui montre également une vengeance et un Bond plus sombre, cette histoire de vengeance est dans le fond assez classique mais ajouté un trafique de drogue et du Bond on obtient un film d’action explosif. Le film possède des séquences d’action spectaculaires comme la petite course poursuite pré-générique, la séquence sur le bateau où Bond réussi à s’échapper en faisant du ski nautique et rattrape un avion, il y a quelques bagarres, la séquence de la maison avec les agents chinois qui se font attaquer et enfin la séquence finale avec l’explosion de la base du méchant et la course poursuite démentielle et explosive avec les camions citernes sur des routes désertique. Les acteurs sont très bons, Timothy Dalton livre une facette plus sombre, plus violente et plus réaliste de James Bond et reste très bon, le méchant Franz Sanchez est joué par le très bon Robert Davi, pas le meilleur bad guy de la série mais ça va et enfin les James Bond Girl, Carey Lowell joue Pam Bouvier et Talisa Soto joue Lupa Lamora, elles sont toutes les deux très bien dans leur rôles. Ce James Bond est beaucoup plus violent que les autres, la scène où Leiter se fait « charcuter » par le requin est du jamais vu dans un Bond, le meurtre horrible d‘un homme de Sanchez où sa tête explose et le 007 plus violent livrer par un très bon Timothy Dalton. Le film possède pour moi une des moins bonne chanson de la série comme le précédent. Ce James Bond marque la dernière apparition de Dalton dans le rôle de l’espion 007 et le film est très bon avec de l’action, une bonne histoire et des acteurs aussi très bons. Merci monsieur Dalton pour ces deux très bons films.
stallonefan62
Dernières aventures déjà pour Thimolty Dalton que je trouve encore une fois très intéressant en James Bond !! Il incarne une fois n'est pas coutume, un Bond assoiffé de vengeance et qui peut être violent pour arriver à ses fins !! L'histoire est intéressante, les James bonds girl captivantes et splendides , un méchant charismatiques et qui fait peur ( Robert Davi ) !! Et puis le film regorge de cascades impressionnantes notamment la poursuite finale !!
Roub E.
Un James Bond atypique. Pris dans la mode des films d’action des années 80 on délaisse un peu le film d’espionnage où le pur divertissement de la période Roger Moore pour un film plus brutal. En effet dans « Permis de tuer » James Bond va se lancer dans une vendetta contre un narcotrafiquant (peu physionomiste) qui fait un peu penser à Tony Montana et qui a quelque peu gâché le mariage d’un de ses amis. Avec cette histoire Timothy Dalton va faire un Bond avec peut être moins de charisme, mais un côté froid d’exécutant bien développé et intéressant. Même s’il a un côté plus « réaliste » cela reste un James Bond avec des scènes d’action ultra spectaculaires notamment un passage d’hélicoptère à avion Belmondesque et son final avec la course poursuite de camions vraiment bluffante ou Remi Julienne et sa bande ont fait des merveilles. Un Bond un peu particulier mais que j’ai apprécié alors que je ne suis pas le plus grand fan de 007.
Deuxième épisode avec Timothee Dalton et pourtant déjà le dernier volet pour l'acteur. Après le très bon Tuer n'est pas jouer, Permis de tuer place cette fois notre héros au cœur d'une vendetta personnelle, très loin des considérations géopolitiques auxquelles nous sommes habitués. Cela retire l'intérêt pour ce film, il y a un manque d'enjeu, pourtant, jamais nous n'avons pu voir un James Bond aussi fragile et proche de perdre son combat. Reste que l'acteur est excellent et en seulement 2 épisodes a pu, sans encombre, faire oublier Roger Moore.
PERMIS DE TUER (1989): L'amitié, une valeur qu'il ne faudra surtout pas toucher. Malheureusement, le baron de la drogue Franz Sanchez n'hésitera pas à s'en prendre au couple Leiter, amis proches de James. L'âme meurtrie, la colère effacera tout humour et fera place à une cruelle vengeance. L'acteur Robert David, un très bon choix pour ce patibulaire de Sanchez, un tueur sans scrupule pour le bain de sang qu'il occasionnera autour de lui. Il sera le maillon fort de cette histoire, et dans mon classement fera parti des méchants les plus convaincants de la saga. Parmi les hommes de main de ce tueur sanguinaire, le sinistre Dario représenté par l'excellent Benicio del Toro, un jeune chacal prêt à tout pour satisfaire son maitre. Un Timothy Dalton sans retenu pour une remarquable interprétation d'un James Bond violent, haineux, destructeur, bien meilleur que dans "Tuer n'est pas jouer". Le son d'une guitare apportera une ambiance mexicaine tout en accueillant deux ravissantes James Bond Girls. Comment ne pas craquer devant la charmante Pam Bouvier (Carey Lowell)? Agent de la CIA, un corps de rêve, le visage ébloui par de magnifiques yeux bleus. Sa rivale, Lupe Lamora (le mannequin Talisa Soto), la petite amie de Sanchez, une séniorita d'une grande beauté afin d'humaniser un 007 devenu une vraie machine à tuer. Du suspense, des paysages exotiques, des acteurs charismatiques, des cascades impressionnantes. "Permis de tuer" un James Bond déchainé et carrément explosif.
Je me suis terriblement ennuyé ! L'intrigue ne fonctionne pas. Le scénario est très peu intéressant. La mise en scène n'est pas très captivante. Le casting est correcte. La BO peu présente.
Un agent secret, ami de James Bond (Timothy Dalton), se marie mais sa nuit de noces est perturbée par un trafiquant de drogues, Franz Sanchez (Robert Davi) échappé de prison et qui venait d’être capturé par cet agent secret.
Le méchant apparaît immédiatement comme quelqu'un de cruel, il est très charismatique. Son principal homme de main, Dario (Benicio Del Toro), l’est tout autant. Les punitions infligées font froid dans le dos (un exemple parmi d’autres : le requin, toujours efficace pour créer une grosse tension).
Le récit est rythmé, les scènes d’action sont impressionnantes ( spoiler: par exemple la scène finale avec les camions citernes
), il n’y a pas de longueur, il y a des rebondissements ( spoiler: par exemple le traître de la police, ou Bond qui décide de ne plus obéir à son organisation
), l'ambiance générale et les lieux participent à la tension.
La narration fait basculer ce film dans les James Bond modernes, à mon sens.
Le personnage de Bond est intéressant, il est touché personnellement par les agissements du trafiquant et n’a donc aucune pitié lui non plus, cela montre une part sombre de son personnage.
La fin est très réussie, sans temps mort : spoiler: Bond manque de peu d'être réduit en purée dans une usine, s'ensuit une course poursuite en camions, puis l'affrontement final avec Sanchez qui comprend enfin pourquoi Bond est si tenace.
Le méchant apparaît immédiatement comme quelqu'un de cruel, il est très charismatique. Son principal homme de main, Dario (Benicio Del Toro), l’est tout autant. Les punitions infligées font froid dans le dos (un exemple parmi d’autres : le requin, toujours efficace pour créer une grosse tension).
Le récit est rythmé, les scènes d’action sont impressionnantes ( spoiler: par exemple la scène finale avec les camions citernes
), il n’y a pas de longueur, il y a des rebondissements ( spoiler: par exemple le traître de la police, ou Bond qui décide de ne plus obéir à son organisation
), l'ambiance générale et les lieux participent à la tension.
La narration fait basculer ce film dans les James Bond modernes, à mon sens.
Le personnage de Bond est intéressant, il est touché personnellement par les agissements du trafiquant et n’a donc aucune pitié lui non plus, cela montre une part sombre de son personnage.
La fin est très réussie, sans temps mort : spoiler: Bond manque de peu d'être réduit en purée dans une usine, s'ensuit une course poursuite en camions, puis l'affrontement final avec Sanchez qui comprend enfin pourquoi Bond est si tenace.
Deuxième et dernier film avec Timothy Dalton dans les habits de l'agent 007, "Permis de tuer" est un cran en dessous de "Tuer n'est pas jouer".
Pourtant, il démarrait bien. J'avais même le sentiment qu'il allait dépasser le précédent opus en terme de qualité. On retrouvait la volonté de donner un côté plus sombre et profond à James Bond, accompagnée d'une violence brute, assez inhabituelle pour cette franchise.
Et cerise sur le gâteau, on avait droit à une très bonne James Bond Girl. Le personnage de Pam Bouvier est une femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui ose tenir tête aux antagonistes ou à James Bond lui-même. Grosso modo, elle n'est pas qu'un physique : elle fait avancer l'histoire et apporte de la complexité dans les relations entre les personnages.
J'ai beaucoup aimé cette James Bond Girl.
Malheureusement, au bout d'une heure, le film prend un virage à 180 degrés et doit faire pâlir d'envie Michael Bay : des explosions qui occupent chaque centimètre carré de l'écran, des cascades absolument improbables avec des camions, etc ... On part sur du bigger than life à fond les ballons.
C'est tellement absurde que ça en devient presque parodique. Et là, on se demande où sont passés tous les efforts déployés pour donner un aspect plus sombre et réaliste à James Bond. Balayés d'un revers de la main.
Pourquoi finir l'ère Dalton de cette manière ? Quel gâchis !
Pourtant, il démarrait bien. J'avais même le sentiment qu'il allait dépasser le précédent opus en terme de qualité. On retrouvait la volonté de donner un côté plus sombre et profond à James Bond, accompagnée d'une violence brute, assez inhabituelle pour cette franchise.
Et cerise sur le gâteau, on avait droit à une très bonne James Bond Girl. Le personnage de Pam Bouvier est une femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui ose tenir tête aux antagonistes ou à James Bond lui-même. Grosso modo, elle n'est pas qu'un physique : elle fait avancer l'histoire et apporte de la complexité dans les relations entre les personnages.
J'ai beaucoup aimé cette James Bond Girl.
Malheureusement, au bout d'une heure, le film prend un virage à 180 degrés et doit faire pâlir d'envie Michael Bay : des explosions qui occupent chaque centimètre carré de l'écran, des cascades absolument improbables avec des camions, etc ... On part sur du bigger than life à fond les ballons.
C'est tellement absurde que ça en devient presque parodique. Et là, on se demande où sont passés tous les efforts déployés pour donner un aspect plus sombre et réaliste à James Bond. Balayés d'un revers de la main.
Pourquoi finir l'ère Dalton de cette manière ? Quel gâchis !
maxime ...
License To Kill n'est pas sans qualités, au contraire il en a plus d'une à faire valoir. Toutefois, il souffre de la comparaison avec le film précédent. La faute à un pilotage automatique qui plafonne et ennuie malgré toutes ces explosions et exécutions les plus sommaires.
Timothy Dalton contracte le même symptôme que le film dans sa globalité. Un peu frustrant pour une dernière. Place à Pierce Brosnan.
Timothy Dalton contracte le même symptôme que le film dans sa globalité. Un peu frustrant pour une dernière. Place à Pierce Brosnan.
Les années 80 sont marquées par l’explosion du cinéma d’action musclé à Hollywood. S’adaptant généralement à son époque, James Bond suit la mouvance et Permis de tuer choisit de poursuivre la voie amorcée par Tuer n’est pas jouer, c’est-à-dire un Bond plus violent et sérieux que celui de Roger Moore.
Ce seizième Bond officiel s’éloigne du type d’intrigue habituel de la saga pour devenir un film de vengeance. On ne retrouve donc pas ici de méchant plus grand que nature se trouvant dans une base extraordinaire mais, à la place, nous avons un grand baron de la drogue à l’image d’un Pablo Escobar. De même, les scènes d’action sont plus crédibles (dans la limite où celles d’un James Bond peuvent l’être) et violentes, ce qui confirme le fait que Timothy Dalton reste le plus réaliste des interprètes de l’agent 007. Il n’est ainsi pas étonnant que la célèbre réplique "Bond, James Bond" soit présentée, cette fois-ci, de manière totalement anecdotique.
Bien que possédant un scénario plus simple qu’habituellement (vu que nous sommes dans la vendetta pure), les ingrédients essentiels à un film de la saga restent présents : le générique de Maurice Binder est comme toujours excellent (ce sera d’ailleurs son dernier) et illustre une superbe chanson interprétée par Gladys Knight, l’exotisme est présent bien que nous ne sortons pas du continent américain (à l’exception d’une courte séquence où l’on retrouve Miss Moneypenny dans le bureau de M), l’action (certes plus réaliste et violente) est très présente et on y trouve les gadgets de Q ainsi que deux des plus belles James Bond grils d’une saga pourtant peu avare dans le domaine (Carey Lowell et Talisa Soto). Si nous sommes face à une histoire originale, le film se rattache cependant à une ambiance plus proche des romans d’Ian Fleming (certaines séquences sont même inspirées par certains d’entre eux spoiler: comme la séquence de torture de Félix Leiter directement tirée du roman Vivre et laisser mourir, dont la très libre adaptation cinématographique n’avait pas retenu ce passage
).
Malgré son aspect atypique dans la saga, Permis de tuer demeure bel et bien un des meilleurs James Bond qui confirme Timothy Dalton comme étant une excellente incarnation du héros. Hélas, des problèmes juridiques bloquèrent la série cinématographique pendant six ans et amenèrent ainsi Permis de tuer à marquer sa dernière collaboration (tout comme celle du concepteur de générique Maurice Binder, du scénariste Richard Maibaum et du réalisateur John Glen) aux aventures de 007.
Ce seizième Bond officiel s’éloigne du type d’intrigue habituel de la saga pour devenir un film de vengeance. On ne retrouve donc pas ici de méchant plus grand que nature se trouvant dans une base extraordinaire mais, à la place, nous avons un grand baron de la drogue à l’image d’un Pablo Escobar. De même, les scènes d’action sont plus crédibles (dans la limite où celles d’un James Bond peuvent l’être) et violentes, ce qui confirme le fait que Timothy Dalton reste le plus réaliste des interprètes de l’agent 007. Il n’est ainsi pas étonnant que la célèbre réplique "Bond, James Bond" soit présentée, cette fois-ci, de manière totalement anecdotique.
Bien que possédant un scénario plus simple qu’habituellement (vu que nous sommes dans la vendetta pure), les ingrédients essentiels à un film de la saga restent présents : le générique de Maurice Binder est comme toujours excellent (ce sera d’ailleurs son dernier) et illustre une superbe chanson interprétée par Gladys Knight, l’exotisme est présent bien que nous ne sortons pas du continent américain (à l’exception d’une courte séquence où l’on retrouve Miss Moneypenny dans le bureau de M), l’action (certes plus réaliste et violente) est très présente et on y trouve les gadgets de Q ainsi que deux des plus belles James Bond grils d’une saga pourtant peu avare dans le domaine (Carey Lowell et Talisa Soto). Si nous sommes face à une histoire originale, le film se rattache cependant à une ambiance plus proche des romans d’Ian Fleming (certaines séquences sont même inspirées par certains d’entre eux spoiler: comme la séquence de torture de Félix Leiter directement tirée du roman Vivre et laisser mourir, dont la très libre adaptation cinématographique n’avait pas retenu ce passage
).
Malgré son aspect atypique dans la saga, Permis de tuer demeure bel et bien un des meilleurs James Bond qui confirme Timothy Dalton comme étant une excellente incarnation du héros. Hélas, des problèmes juridiques bloquèrent la série cinématographique pendant six ans et amenèrent ainsi Permis de tuer à marquer sa dernière collaboration (tout comme celle du concepteur de générique Maurice Binder, du scénariste Richard Maibaum et du réalisateur John Glen) aux aventures de 007.
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