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Votre avis sur Permis de tuer ?
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Belle surprise que ce volet de la franchise Bondienne. Un des meilleurs des années 80 (une décennie très pauvre en qualité pour 007) et bien meilleur également que le premier avec Timothy Dalton. Des scènes d'actions tonitruantes et pas trop d'exagération (à part les scènes finales qui sont un peu "grosse").
James Bond délaisse sa fonction gouvernementale pour une mission personnelle et vengeresse contre un caïd de la drogue. S’éloignant de sa routine et malgré une présence étoffée de Q à l’écran (Desmond Llewelyn, toujours aussi sympa), d’actrices charmantes (Carey Lowell et Talisa Soto), d’un apport d’effets étonnamment gores pour la saga ainsi qu’un final explosif en camions citernes, la mayonnaise ne prend pas complètement. Et pourtant, « Permis de Tuer » - le cinquième volet réalisé à la suite par John Glen - n’est pas si mauvais que ça. Il est même meilleur que le précédent mais son scénario ne s’envole pas vraiment, à l’image même de son pré-générique. Suite à l’insuccès de ce chapitre et du rejet injustifié du public pour Timothy Dalton, la franchise sera stoppée durant 6 ans.
HamsterPsycho
Timothy Dalton est un peu l'oublié des James Bond à côté des pointures qui ont incarné l'espion britannique. Mais il fait le boulot avec conviction et sérieux, rendant un peu plus crédible encore le personnage. Mais pour ce qui est de l'histoire, c'est d'une grande banalité, tant c'est vu et revu. Le ballet entre les deux bond girls est cliché et peu flatteur. Un des moins James Bond.
Encore un bon James Bond, plus sombre. Le scénario est diffèrent et prenant. La scène d’intro avant le mariage et la course poursuite avec les camions à la fin sont réussies. Le casting est excellent : Timothy Dalton assure bien en James Bond vengeur, Robert Davi et Benicio Del Toro jouent bien leurs rôles de méchants sans oublier Carey Lowell et Talisa Soto en James Bond Girls.
Moins bon que son prédécesseur, la réalisation renouvelle son second acteur et dernière apparition dans le rôle, le scénario d’espionnage fait un virage complet à 360 degré à l'heure. Une mise en scène au ton plus sombre, violent, tragique, encore moins rigolo même pour les gadgets, c'était bof, ce Dark James Bond est trop humain, ça donne un film moyen. Le spectacle met plein gaz inflammable en terme de pyrotechnique dans cette intrigue de vendetta du super-agent versus narcotrafiquant, une apparition du jeune Benicio Del Toro, un rôle correct au service du playboy roi de la coke latino américain et grand soutien d'influence sur la politique de la région.
Un James Bond sans mission secrète mais vu la tête des dernières on ne s'en plaindra pas!
Ici Bond tente de venger son ami Leter presque tuer par un trafiquant de drogue, ce qui n'est pas du gout de la CIA et du MI6!
Pourchassé, le héro devient donc plus vulnérable et plus attachant retrouvant alors une certaine fougue qui avait disparu depuis bien longtemps.
Les Bond Girls sont magnifiques, le scénario est inventif et sans temps mort, les scènes d'action très spectaculaires, et l'arrivée au fil du film de personnages récurents de la série nous font de ce film un James Bond à part entière et non un film d'action quelconque comme il aurait pu le devenir.
Tous les ingrédients réunis font de cet épisode un film réussi qui restera comme le meilleur de Dalton, Bond un personnage qu'il n'aura pas le loisir de réinterpréter et donc de le faire indentifier totalement à son nom.
Ici Bond tente de venger son ami Leter presque tuer par un trafiquant de drogue, ce qui n'est pas du gout de la CIA et du MI6!
Pourchassé, le héro devient donc plus vulnérable et plus attachant retrouvant alors une certaine fougue qui avait disparu depuis bien longtemps.
Les Bond Girls sont magnifiques, le scénario est inventif et sans temps mort, les scènes d'action très spectaculaires, et l'arrivée au fil du film de personnages récurents de la série nous font de ce film un James Bond à part entière et non un film d'action quelconque comme il aurait pu le devenir.
Tous les ingrédients réunis font de cet épisode un film réussi qui restera comme le meilleur de Dalton, Bond un personnage qu'il n'aura pas le loisir de réinterpréter et donc de le faire indentifier totalement à son nom.
2e et dernier James Bond avec Timothy Dalton, à l'issue duquel 007 entamera une traversée du désert inédite de 8 ans. On comprendra que ce film n'ait pas fonctionné, puisqu'il est fort moyen. C'est même l'un des plus mauvais James Bond movie.
Dans ce seizième épisode de la saga "Bond", le célèbre espion britannique va utiliser son permis de tuer à des fins personnels. En effet, son ami de la CIA a été gravement blessé par un traficant de drogue tandis que la femme de son ami a été sauvagement assassinée. Contre l'avis de son supérieur, Bond va mener une vengeance personnelle. Scénario originale qui donne un côté encore plus humain à Bond. Originale certes, mais qui ne suffit pas à nous tenir en haleine pendant tout un film le reste n'étant qu'une série de scènes d'actions. Dommage car l'idée était bonne mais n'a pas été suffisamment fouillée. Timothy Dalton aura donc plutôt bien interprété 007 avec ce côté à la fois plus sombre et plus humain même si son manque de charisme est indiscutable. Place à Pierce dorénavant...
Ce 16éme James Bond est vraiment un très bon cru. Bon cest clair que Timothy Dalton na pas la classe daucun autre James Bond mais le scènario est vraiment génial. Ce qui ce distingue un peu des autres opus cest quil fait ici cavalier seul et quil nest donc pas soutenu par sa hiérarchie. La noirceur de tout le film est aussi à souligné comme dans les scènes avec les requins par exemple. Pour ce qui est de laction le film est vraiment époustouflant nottement dans sa dernière partie et dans la superbe scène avec les camions citernes. Un vrai défi technique qui donne une des meilleurs scènes daction de la saga. Permis de tuer ce démarque clairement de la saga mais nest pas pour autant moins bon que les autres films. A voir.
L'un de mes James Bond préférés et pourtant l'un des plus sous-estimés ! Timothy Dalton prouve une fois de plus qu'il fait un excellent agent 007 (dommage qu'il soit tombé à un moment où le public ne voulait plus trop de James Bond) ! Mais, "Permis de tuer" est avant tout un Bond à part dans la série. En effet, 007 a perdu son statut d'agent 00 et n'est guidé que par la vengeance. Un tournant particulièrement humain et hautement jouissif pour un homme qu'on croyait fermé à tout sentiment ! Le scénario est donc l'un des points forts du film mais il n'est pas le seul. La mise en scène est particulièrement brillante, la BO est très bonne, les cascades sont fabuleuses (la capture de Sanchez, Bond faisant du ski nautique sans ski, la scène des poids lourds...) et le casting est génial avec une Carey Lowell superbe, une Talisa Sotto encore plus belle, un Anthony Zerbe excellent en minable méchant, Benicio Del Toro ahurissant en jeune psycopathe, David Hedison qui reprend son rôle de Felix Leiter qu'il tenait dans "Vivre et Laisser mourir" (sans oublier Q dans un rôle particulièrement actif !)... Mais c'est surtout Robert Davi (au sommet de son art) qui éclabousse le film de son charisme dans ce rôle de méchant tellement sympathique. Un épisode atypique (et étonnement sanglant) qui restera pour moi comme l'un des meilleurs de toute la série.
License to Kill est le premier James Bond que j'ai découvert et je suis tombé sous le charme de cet opus. Découvrant les plus anciens après, je trouve que moins de gadgets dans celui-ci plaident en sa faveur. Timothy Dalton est plutôt convaincuant, l'histoire très prenante et la séquence finale avec les camion-citernes vaut à elle seule la vision du film. Bravo à Rémy Julienne !!!
Tres bon James Bond, l'un des tous meilleurs de la série, bien qu'il soit injustement déprécié par le public pour le choix de l'interprete principal : Timothy Dalton incarne pourtant parfaitement l'agent 007, dans un style moins glamour certes que certains de ses prédécesseurs. Mais il reste parfaitement crédible dans cette aventure qui le voit se lancer dans une vendetta personnelle contre un baron de la drogue. Des séquences d'infiltration tres réussies enrichissent les ficelles classiques et bien connues de la saga. On notera également avec satisfaction la qualité du casting, avec de nombreux seconds roles suffisamment charismatiques pour maintenir l'attention en éveil. Un bon cru !
Grand habitué de la saga, John Glen met ici en scène un James Bond plus sombre et en pleine vendetta contre le plus puissant trafiquant de drogue du monde qui s’en est pris à ses amis. Sous les traits de Timothy Dalton pour la seconde et dernière fois ce James Bond est convaincant certes mais manque d’humour. Les dialogues sont, la plupart du temps, très moyens et certaines scène un peu trop "too much" mais cela n’enlève rien au charme de ce James Bond qui réunit les qualités principales requisses : de très bonnes scène d’actions, des filles sexy et les gadgets de Q. Robert Davi est parfait en bad guy ainsi que Benicio Del Toro dans l’un de ces premiers rôles et les James Bond girl Carey Lowell et Talisa Soto jouent très bien leur rôle. Une constante dose d’adrénaline fait de ce "Permis de Tuer" un James Bond beaucoup plus musclé que ce qu’on avait pu voir auparavant.
Dès le pré-générique, le ton est donné : ce deuxième Bond avec Thimothy Dalton sera nerveux. Et il le restera pendant deux heures avec une action quasi non stop et un personnage, un peu moins sage que d'habitude, obsédé par une vendetta personnelle.
Un méchant charismatique et deux très belles James Bond girls qui se partagent le coeur de notre agent.
Un film bien mené, bien rythmé avec une poursuite finale encore très impressionnante aujourd'hui.
Un méchant charismatique et deux très belles James Bond girls qui se partagent le coeur de notre agent.
Un film bien mené, bien rythmé avec une poursuite finale encore très impressionnante aujourd'hui.
Second et dernier James Bond interprété par le comédien Shakespearien Timothy Dalton et dirigé par le réalisateur britannique médiocre John Glenn ( dont le titre de gloire est d'avoir mis en scène cinq opus de la série dans les années 80 et d'avoir été assistant sur deux autres dans les années 70), on ne peut pas dire qu'on sorte ébouriffé de la salle après la projection.
On sait que cette série s'adresse avant tout au grand public, mais il arrive que certains opus de la série valent le détour même pour le spectateur plus exigeant ( je pense à " casino royal", selon moi, le chef d'oeuvre de toutes les réalisations).
Si les qualités d'interprétation de T.Dalton ne sont pas questionnables, il ne me semble pas être le meilleur interprète du personnage.
Manque de charisme, tête en forme de ballon de rugby, il me paraît surclassé par Sean Connery ( dont il est le plus proche) et surtout par Daniel Craig ( à mes yeux le meilleur interprète- il est vrai servi par des cinéastes d'une autre trempe que celle de john Glenn).
On ne parle pas du directeur de la photo, dont le travail est d'une totale platitude et ne contribue pas à rehausser le travail du realisateur britannique.
Par contre, il faut relever le casting féminin particulièrement réussi entre Casey Lowell ( elle fût l'épouse à la ville de Richard Gere pendant presque deux décennies) et Tamila Soto, américaine d'origine portoricaine, toutes deux dotées d'un physique exceptionnel que john Glenn eut la bonne idée de garder toutes deux à l'écran pendant la plus grande partie du film.
Sur ce point, il me semble même que c'est un des " james Bond" parmi les plus reussis de la série.
On pourra relever aussi la tenue des cascades, nombreuses et impressionnantes. Pour le reste le scénario est particulièrement mal amené, pratiquant ellipses, incohérences qui laissent le spectateur le plus attentif au bord du chemin.
On notera aussi, la présence de Benicio Del Toro à ses débuts et le célèbre acteur ( il eut son heure de gloire grace à des films mexicains de haute tenue pendant les années 50) Pedro Almendariz, ici sur la fin de sa carrière et dont il ne reste absolument plus rien de son charme légendaire ( il interprète le petit rôle du président de l'État latino américain imaginaire dans lequel se déroule une partie de l'action).
Les inconditionnels de la série ne le manqueront tandis que les spectateurs plus distants à son égard, préféreront jeter un œil sur les opus incarnés par Daniel Craig - même si le casting féminin n'y est pas toujours à la hauteur - je pense principalement à Lea Seydoux - voire ceux interprétés par Sean Connery)
On sait que cette série s'adresse avant tout au grand public, mais il arrive que certains opus de la série valent le détour même pour le spectateur plus exigeant ( je pense à " casino royal", selon moi, le chef d'oeuvre de toutes les réalisations).
Si les qualités d'interprétation de T.Dalton ne sont pas questionnables, il ne me semble pas être le meilleur interprète du personnage.
Manque de charisme, tête en forme de ballon de rugby, il me paraît surclassé par Sean Connery ( dont il est le plus proche) et surtout par Daniel Craig ( à mes yeux le meilleur interprète- il est vrai servi par des cinéastes d'une autre trempe que celle de john Glenn).
On ne parle pas du directeur de la photo, dont le travail est d'une totale platitude et ne contribue pas à rehausser le travail du realisateur britannique.
Par contre, il faut relever le casting féminin particulièrement réussi entre Casey Lowell ( elle fût l'épouse à la ville de Richard Gere pendant presque deux décennies) et Tamila Soto, américaine d'origine portoricaine, toutes deux dotées d'un physique exceptionnel que john Glenn eut la bonne idée de garder toutes deux à l'écran pendant la plus grande partie du film.
Sur ce point, il me semble même que c'est un des " james Bond" parmi les plus reussis de la série.
On pourra relever aussi la tenue des cascades, nombreuses et impressionnantes. Pour le reste le scénario est particulièrement mal amené, pratiquant ellipses, incohérences qui laissent le spectateur le plus attentif au bord du chemin.
On notera aussi, la présence de Benicio Del Toro à ses débuts et le célèbre acteur ( il eut son heure de gloire grace à des films mexicains de haute tenue pendant les années 50) Pedro Almendariz, ici sur la fin de sa carrière et dont il ne reste absolument plus rien de son charme légendaire ( il interprète le petit rôle du président de l'État latino américain imaginaire dans lequel se déroule une partie de l'action).
Les inconditionnels de la série ne le manqueront tandis que les spectateurs plus distants à son égard, préféreront jeter un œil sur les opus incarnés par Daniel Craig - même si le casting féminin n'y est pas toujours à la hauteur - je pense principalement à Lea Seydoux - voire ceux interprétés par Sean Connery)
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