Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Je sais, Nicole Kidman, c'est dans la salle d'à côté, mais je vous jure que vous ne regretterez pas de passer plus de deux heures avec eux.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Armé d'une caméra numérique qui est comme son troisième oeil, Jonathan Nossiter, (...) prend le temps d'écouter ses interlocuteurs et de pointer leurs contradictions. Bref, sans jamais se départir de ses bonnes manières, il montre par petites touches l'envers du décor. Il résulte de tout ça une formidable galerie de portraits. A déguster sans modération.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un périple géographique, sensuel, existentiel et politique où, à travers le prisme du vin, se reflètent les principaux enjeux de la mondialisation (...). Un formidable tour du monde du vin à boire et à reboire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Pour le cinéaste, ce que l'on déguste, en roulant des yeux d'extase mystique, (...), n'est pas encore tout à fait de la piquette mais déjà une mixture (...) homogénéisée pour plaire au plus grand nombre (...). La coupe est pleine et la note est salée. Grace à Mondovino, et à son acuité railleuse, il n'est au moins plus possible de la boire sans faire la grimace.
Libération
par Gérard Lefort
Au sortir de Mondovino, sensationnelle enquête-reportage sur la mondialisation de la culture du vin, on n'a pas tellement envie d'aller boire un coup au bistro du coin mais plutôt de se mettre à l'eau plate pour les cent prochaines années. (critique cannoise)
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Si Mondovino était une bouteille de vin, il serait l'une de celles que l'on a dans sa cave et que l'on ouvre avec un plaisir non dissimulé. Nossiter nous prend par la main, à la façon d'un Michael Moore, et ne nous lâche plus tant son travail est captivant. Nul besoin d'être spécialiste ni même amateur de vin pour savourer.(...) A consommer sans aucune modération.
Score
par Bob Alcazar
Enquête passionnante dans les coulisses du business viticole. (...) A travers l'odyssée épique du petit rouge, Jonathan Nossiter, réalisateur-sommelier d'origine française, signe un vrai plaidoyer anti-mondialisation. (...) Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Présenté en compétition à Cannes, le film souffrait de quelques longueurs ; remonté depuis, il y a gagné en densité sans perdre de son côté foutraque, en parfait accord avec le propos : dans un monde en voie d'uniformisation, vive la singularité !
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Pour embrasser le monde du vin et goûter le vin du monde, Jonathan Nossiter a voyagé léger. Sa méthode est celle de la visite impromptue, de l'image prise sur le vif. (...) Qu'il avance au pas de charge ou flâne avec nonchalance, Mondovino, sans jamais cesser d'être un reportage, gagne à chacune de ses étapes en épaisseur romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Aurélien Férenczi
(...) un docu subtilement militant, une charge irrésistible contre la mondialisation. Et c'est aussi une fresque foutraque qui, pour échapper au formatage – le coeur même du sujet – s'autorise tous les excès (...) (critique cannoise)
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Mondovino vaut pour sa comédie de caractères (...). Mais l'important est ailleurs. (...) Le meilleur du film est dans les intervalles. (...) Et si la caméra s'agite, alors qu'aucune urgence ne le réclame, c'est qu'elle tremble devant l'absurdité de tout cela, le regard vide des chiens, le ronron des robots (...), le silence des tonneaux ronds, les verres alignés, sans vin (...).
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Mondovino fera date comme le premier film altermondialiste à dénoncer les aberrations d'un système, sans verser dans la complainte larmoyante et illuminée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jonathan Nossiter joue du portrait serré comme Cassavetes dans Faces. Ce qui ne se voit pas se lit dans les silences gênés (...) Le film est semé de notes personnelles, d'interviews subtiles au coin d'une rue de Manhattan ou d'un salon florentin. (critique cannoise)
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Malgré des longueurs et des flous, cette saga constitue un formidable document sur l'état du monde (...) Edifiant, drôle, sautant du domaine d'exploitants italiens autrefois compromis avec le fascisme au Forum social de Florence, Mondovino donne objectivement la parole aux uns et aux autres. (critique cannoise)
Positif
par Eric Derobert
Tandis que le Capital, en plus de nous exploiter, s'attelle à gâcher le travail (qui sait s'il ne gâtera pas le pinard avant la couche d'ozone ?), la caméra à l'épaule de Mondovino rappelle à l'envi les vertus de l'artisanat.
Première
par Sophie Grassin
La mise en scène de Nossiter (...) n'est pas toujours le point fort du film. Mais l'impertinence du montage, la pertinence politique du propos et la justesse des portraits plaident indéniablement en sa faveur.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
Malheureusement, le film, au sujet passionnant, perd de son intérêt lorsque Nossiter le noie sous des références philosophiques abstraites et des redondances. (critique cannoise)
Variety
par David Rooney
A la fois intime et épique, le documentaire est trop long, désorganisé, et structuré de façon peut-être un peu titubante. Mais (...) à partir d'un matériau constamment fascinant, le film développe un discours particulièrement éloquent et provocateur contre la mondialisation, auxquelles le public ne devrait pas être insensible. (critique cannoise)
Zurban
par Charlotte Lipinska
(...) Jonathan Nossiter évite tout manichéisme et défriche, sous couvert de l'amour du terroir, l'amour tout court. C'est émouvant et souvent drôle. Autant que long et approximatif formellement. (critique cannoise)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Je sais, Nicole Kidman, c'est dans la salle d'à côté, mais je vous jure que vous ne regretterez pas de passer plus de deux heures avec eux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Armé d'une caméra numérique qui est comme son troisième oeil, Jonathan Nossiter, (...) prend le temps d'écouter ses interlocuteurs et de pointer leurs contradictions. Bref, sans jamais se départir de ses bonnes manières, il montre par petites touches l'envers du décor. Il résulte de tout ça une formidable galerie de portraits. A déguster sans modération.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un périple géographique, sensuel, existentiel et politique où, à travers le prisme du vin, se reflètent les principaux enjeux de la mondialisation (...). Un formidable tour du monde du vin à boire et à reboire.
Libération
Pour le cinéaste, ce que l'on déguste, en roulant des yeux d'extase mystique, (...), n'est pas encore tout à fait de la piquette mais déjà une mixture (...) homogénéisée pour plaire au plus grand nombre (...). La coupe est pleine et la note est salée. Grace à Mondovino, et à son acuité railleuse, il n'est au moins plus possible de la boire sans faire la grimace.
Libération
Au sortir de Mondovino, sensationnelle enquête-reportage sur la mondialisation de la culture du vin, on n'a pas tellement envie d'aller boire un coup au bistro du coin mais plutôt de se mettre à l'eau plate pour les cent prochaines années. (critique cannoise)
MCinéma.com
Si Mondovino était une bouteille de vin, il serait l'une de celles que l'on a dans sa cave et que l'on ouvre avec un plaisir non dissimulé. Nossiter nous prend par la main, à la façon d'un Michael Moore, et ne nous lâche plus tant son travail est captivant. Nul besoin d'être spécialiste ni même amateur de vin pour savourer.(...) A consommer sans aucune modération.
Score
Enquête passionnante dans les coulisses du business viticole. (...) A travers l'odyssée épique du petit rouge, Jonathan Nossiter, réalisateur-sommelier d'origine française, signe un vrai plaidoyer anti-mondialisation. (...) Edifiant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Présenté en compétition à Cannes, le film souffrait de quelques longueurs ; remonté depuis, il y a gagné en densité sans perdre de son côté foutraque, en parfait accord avec le propos : dans un monde en voie d'uniformisation, vive la singularité !
Télérama
Pour embrasser le monde du vin et goûter le vin du monde, Jonathan Nossiter a voyagé léger. Sa méthode est celle de la visite impromptue, de l'image prise sur le vif. (...) Qu'il avance au pas de charge ou flâne avec nonchalance, Mondovino, sans jamais cesser d'être un reportage, gagne à chacune de ses étapes en épaisseur romanesque.
Télérama
(...) un docu subtilement militant, une charge irrésistible contre la mondialisation. Et c'est aussi une fresque foutraque qui, pour échapper au formatage – le coeur même du sujet – s'autorise tous les excès (...) (critique cannoise)
Cahiers du Cinéma
Mondovino vaut pour sa comédie de caractères (...). Mais l'important est ailleurs. (...) Le meilleur du film est dans les intervalles. (...) Et si la caméra s'agite, alors qu'aucune urgence ne le réclame, c'est qu'elle tremble devant l'absurdité de tout cela, le regard vide des chiens, le ronron des robots (...), le silence des tonneaux ronds, les verres alignés, sans vin (...).
Chronic'art.com
Mondovino fera date comme le premier film altermondialiste à dénoncer les aberrations d'un système, sans verser dans la complainte larmoyante et illuminée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Jonathan Nossiter joue du portrait serré comme Cassavetes dans Faces. Ce qui ne se voit pas se lit dans les silences gênés (...) Le film est semé de notes personnelles, d'interviews subtiles au coin d'une rue de Manhattan ou d'un salon florentin. (critique cannoise)
Le Monde
Malgré des longueurs et des flous, cette saga constitue un formidable document sur l'état du monde (...) Edifiant, drôle, sautant du domaine d'exploitants italiens autrefois compromis avec le fascisme au Forum social de Florence, Mondovino donne objectivement la parole aux uns et aux autres. (critique cannoise)
Positif
Tandis que le Capital, en plus de nous exploiter, s'attelle à gâcher le travail (qui sait s'il ne gâtera pas le pinard avant la couche d'ozone ?), la caméra à l'épaule de Mondovino rappelle à l'envi les vertus de l'artisanat.
Première
La mise en scène de Nossiter (...) n'est pas toujours le point fort du film. Mais l'impertinence du montage, la pertinence politique du propos et la justesse des portraits plaident indéniablement en sa faveur.
The Hollywood Reporter
Malheureusement, le film, au sujet passionnant, perd de son intérêt lorsque Nossiter le noie sous des références philosophiques abstraites et des redondances. (critique cannoise)
Variety
A la fois intime et épique, le documentaire est trop long, désorganisé, et structuré de façon peut-être un peu titubante. Mais (...) à partir d'un matériau constamment fascinant, le film développe un discours particulièrement éloquent et provocateur contre la mondialisation, auxquelles le public ne devrait pas être insensible. (critique cannoise)
Zurban
(...) Jonathan Nossiter évite tout manichéisme et défriche, sous couvert de l'amour du terroir, l'amour tout court. C'est émouvant et souvent drôle. Autant que long et approximatif formellement. (critique cannoise)