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Votre avis sur L'Equipée sauvage ?
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Quand je l'ai vu j'ai pensé au Mythe de Sysiphe d'Albert Camus ou au Procès de Kafka, il n'y a pourtant pas grandes similitudes avec ce film à première vue. Mais selon moi ce film est profondément ancré dans l'absurde. Ici Marlon Brando parle peu, sa prose reste très simple et son personnage semblerait presque dénué de toute psychologie (Mis à part "J'aime pas les flics, j'aime la moto"). C'est un philosophe muet.
C'est en 1954 que Laszlo Benedek réalise ce vibrant drame psychologique inpirée de faits réels et qui a eu lieu à Hollister en 1947. L'histoire, qui parle d'une bande de motards qui déclenche la violence dans une petite ville tranquille des Etats-Unis, ne possède pas une grande épaisseur, mais le tout se suit avec beaucoup d'interêt grâce à une mise en scène bien inspirée et possédant son lots de séquences chocs, et aussi pour la très bonne performance de son casting, en particulier celle de Marlon Brando, de Marie Murphy ou encore de Lee Marvin. Une excellente découverte en ce qui me concerne et qui prouve tout le talent que possédait déjà Marlon Brando durant les années 50.
un fameux 4 juillet 1947, 4000 motard arrive dans une petite ville, ce qui donnera l'idé a stanley kramer d'en faire un film, il y donna le projet a laszlo benedik de faire de l'equipée sauvage un film culte, veritable message d'une amerique en mal de vivre, la recherche de la liberté meneé par des blouson noir avec a sa tete johnny (marlon brando) alors en pleine ebulition, c'etai l'acteur parfait du moment, creve coeur de ces dame, il est l'embleme de toute une generation avec sa moto representant l'envie d'ailleur, de faire ce qu'il plait d'allé n'importe ou...represente aussi un homme abrupt et direct, involontairement et comme c'est si bien dit "il ne sait pas comment on dit merci..."
laszlo benedik realise l'équipée sauvage comme a la maniere d'un western, opposant deux clan a la loi et a la milice.
laszlo benedik realise l'équipée sauvage comme a la maniere d'un western, opposant deux clan a la loi et a la milice.
Approuvè par la masse des jeunes teenagers, ce classique, très important puisqu'il crèait pratiquement le mythe, ouvrit dèfinitivement aux spectateurs adolescents la route de la consommation et à Marlon Brando les chemins de la gloire qu'il avait acquis deux ans auparavant dans le lègendaire "A Streetcar Named Desire" de Kazan! Laszlo Benedek tourne à la manière d'un western cette « èquipèe sauvage » avec deux bandes rivales, vêtus de blousons de cuir et chevauchant de grosses motos, qui font règner la terreur sur une ville de Province! L'une des bandes est dirigèe par Brando, obscur et fascinant, et l'autre par Lee Marvin, cabotin à souhait! La serveuse du film est bien mignonne et se nomme Mary Murphy! Si le film a quelque peu vieilli, il garde en revanche le charme des fifties! On se souvient de la grande bagarre entre les deux chefs, des scènes de flirt, du passage à tabac et du sourire de Brando dans le final! La musique est composèe par Shorty Rogers et le plus frèquemment diffusèe par le juke-box du cafè-bar où les personnages passent le plus clair de leur temps! Toute une èpoque...
Très bon drame sociologique traitant de la jeunesse post-seconde guerre mondiale, jeunesse insouciante, révolté contre le monde mais aussi contre eux-mêmes ; tout ceci interprété par un Marlon Brando talentueux et charismatique.
Aujourd’hui ce film peut paraître assez manichéen et caricatural mais pour l’époque sans être totalement novateur, est assez original.
Aujourd’hui ce film peut paraître assez manichéen et caricatural mais pour l’époque sans être totalement novateur, est assez original.
Film plus culte que foncièrement bon. Marlon Brando entre dans la légende du cinéma, grâce à sa prestation dans ce film. Des jeunes motards qui mettent a saques une petite ville, c'est un peu limité mais c'était assez neuf dans le paysage hollywoodien de l'époque. Pour nos yeux moderne "des rebelles" comme ça peuvent prêté à rire mais cette oeuvre date des années 50.
Marlon Brando au sommet de sa forme.
Plus sensuel et électrisant que jamais il donne à ce film plutôt banal, il faut bien l'avouer, un niveau supérieur.
Le film n'a pas pris une ride malgré sa réalisation datant des années 50.
L'ambiance est parfaite et décrit la quête de liberté et d'identité d'une génération perdue.
Un film qui ravira les amoureux de motos et de liberté.
Pas aussi puissant que l'inoubliable Easy Rider mais tout aussi passionnant.
Un grand moment de cinéma.
Plus sensuel et électrisant que jamais il donne à ce film plutôt banal, il faut bien l'avouer, un niveau supérieur.
Le film n'a pas pris une ride malgré sa réalisation datant des années 50.
L'ambiance est parfaite et décrit la quête de liberté et d'identité d'une génération perdue.
Un film qui ravira les amoureux de motos et de liberté.
Pas aussi puissant que l'inoubliable Easy Rider mais tout aussi passionnant.
Un grand moment de cinéma.
ça ne casse pas 3 pattes à un canard comme dirait mon voisin, mais Marlon Brando tient bien son rôle de jeune biker se cherchant et pourtant adûlé par ses congénères...on s'ennuie tout de même beaucoup...l'époque des années 50 peut-être...mais un film peut-il reposer uniquement sur le jeu d'un acteur qui crève soudainement l'écran ?
Très bon film, entre deux genres, le road-movie et le drame social. Marlon Brando est convaincant dans son rôle de biker en quête de sensations fortes se cherchant. Culte !
Tres honnetement ,sans la performance remarquable du jeune Brando en rebel ,ce film n'aurait pas un interet fou.Sorte de western moderne (pour les annees 50) ou les motos remplacent les chevaux, cette oeuvre permet neamoins de brosser les rapports conflictuels entre une jeunesse insouciante et une population d'adultes + terre a terre.D'un coté il y a un desir de liberté immense et de l'autre la dure realité d'un quotidien bien terne surtout au fin fond des etats unis ,a l'image de la jeune fille du sheriff qui voit en Johnny l'espoir d'une vie meilleure ,cette equipee represente ,au sortir de la guerre le reve americain pour des millions d'ado.Cette opposition de generation ,novatrice pour l'epoque ,garde 50 ans apres un certain echo de modernité.Brando est epoustouflant de classe vetu de son cuir et de ses lunettes noirs ,il imprime la pellicule a chaque instant et impose son charisme animal des les 1eres images.A noter la presence d'un certain Lee Marvin en leader d'une bande rivale.
La première partie est plutôt réussi pour un film aussi ancien, elle fixe le mythe du hell's angel.
Pour la 2° partie c'est un peu du bricolage les scènes s'enchainent plus ou moins bien avec un final moyen, appel à la tolérance.
Sinon un peu deçu de la prestation de Brando il reste pendant 80 % du film avec la même expression.
Mais son histoire est assez proche de celle du héros d'où un certain réalisme.
Pour la 2° partie c'est un peu du bricolage les scènes s'enchainent plus ou moins bien avec un final moyen, appel à la tolérance.
Sinon un peu deçu de la prestation de Brando il reste pendant 80 % du film avec la même expression.
Mais son histoire est assez proche de celle du héros d'où un certain réalisme.
Belle époque quand même les années 1950, quand un scénario pouvait tenir sur trois lignes. Le film repose entièrement sur les épaules de Marlon qui crève l'écran. Une heure quinze de vroum vroum qui semble durer trois heures. Moi je tire mon chapeau au mec qui a écrit le scénario, bravo gars, voilà un salaire par trop difficement gagné. Ouais, je suis peut-être un peu excessif, mais je compense ainsi les critiques dythirambiques.
Un film qui a vieilli car cette bande de "hell's angels" apparaît plus comme une curiosité aujourd'hui. Mais le film en lui-même est agréable et est surtout porté par le charisme de Brando. Et rien que pour ça, ça vaut le détour.
Marlon Brando influence la mode et crée le mythe Hells Angels avec blouson en cuir et attitude rebelle,the wild one est un petit bijou oublié malheureusement.Encore une fois,comme dans tous les choix de Brando,on retrouve les thèmes chers à l'acteur: l'injustice,l'intolérance et les personnages en marge.A revoir de toute urgence!
3 ans plutot "la fureur de vivre" de Nicholas Ray avec James Dean, Marlon Brando devenait déja l'icone d'une génération en incarnant Johnny, un blouson noir qui sillone les routes des USA avec sa bande de rebelles. Mais "l'équipée sauvage" est surtout un film qui démontre clairement et simplement une face de la bétise humaine. L'intolérance, l'hostilité, la peur et le mépris envers ceux qui ne nous ressemblent pas en général. Avec le temps, on peut se rendre compte qu'il y a toujours beaucoups de préjugés; seulement les perfecto ont été remplaçés par des blousons Redskins, les jeans par des survètements Lacoste, les santiags par des air max et les motos par des voitures. A l'époque, on s'aperçevoit qu'il y avait déja pas mal d'incompétence dan la police. Tout ça pour dire que "l'équipée sauvage" fait beaucoup réfléchir et engage le spectateur à etre davantage tolérant. Rien que pour cela et la manière dont le sujet est traité, nous pouvons affirmer que ce film est un grand film mais quand on y ajoute Marlon Brando, on touche au chef d'oeuvre.
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