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    Le Samouraï
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    3,9
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    242 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    Que dire de plus ,aprés les éloges justifiées par les nombreux cinéphiles ...polar sombre , présence impressionnante de Delon ,musique envoûtante,image stylisée ! Superbe !
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    34 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    Cette perle grise, que les cinéphiles ne cessent de dévorer du regard depuis des temps immémoriaux, m'a bouleversé. Accomplissement visuel, dramatique et rythmique, le Samouraï est de la trempe de ces œuvres capable de marquer un tournant dans la pensée de ses spectateurs, dans le parcours d'un adorateur de cinéma obstiné. Au de-là de la performance d'Alain Delon qui surpasse les plus hauts sommets en la matière, de la mise en scène virtuose de Melville, de l'accompagnement musical sublime par François de Roubaix, il y a une beauté glacée qui nous parcourt l'échine pendant la totalité de ce chef d’œuvre. Une intemporalité qui nous enveloppe doucement, brisant notre perception du quotidien, opposant un barrage infranchissable à nos autres préoccupations. Il n'y a que nous, et le film, qui parfois nous parle personnellement de notre propre manière de ressentir notre vie, avec langueur et mélancolie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2012
    Malgré quelques faiblesses du scénario , le samouraî est une vraie réussite , trés audacieuse sous la houlette de l'esthétisant Melville et porté par un Delon magnétique . Film extremement moderne et qui 45 ans plus tard fait encore référence dans le cinéma noir français .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Jean-Pierre Melville réalise encore un magnifique film noir à la françaises,très sombre et très psychologique où l'on suit Jef dit Le Samouraï joué par Alain Delon qui joue encore une fois très bien sous la direction de Melville(là je fais référence à "Le Cercle Rouge"),il joue un personnage froid,solitaire et je me demande si il est insensible car pendant tout le film il ne sourit pas(même si j'ai entendu dire que Jef"Le Samourai" devait sourie lorsqu'il spoiler: meurt
    ),dans la scène où une femme lui fait de l’œil si je puis dire il reste insensible,sa montre bien que Jef "Le Samouraï" est vraiment froid!!La relation qu'il a avec le personnage de Nathalie Delon est vraiment compliqué car on ne sait pas trop si le personnage de Nathalie Delon est amoureux de Jef "Le Samouraï" on peut se dire oui mais d'un coté elle ne le dit peut être parce que elle sait que Jef "Le Samouraï" ne portera guère attention à ses sentiments vu que c'est un solitaire(mais bon,si on continue on en a pour longtemps)!!Au final,un très bon film qui reste dans la liste des grands classiques du cinéma français et beaucoup de réalisateurs étrangers ce sont inspirés de ce film comme Martin Scorsese,Quentin Tarantino,JohnWoo ou encore Michael Mann même si j'ai une petite préférence pour "Le Cercle Rouge",je ne serais pas vous dire exactement pourquoi : ) !!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 septembre 2012
    le samourai est un film sympathique avec bien sur un alain delon qui creve l'ecran, peut etre pas le meilleur!! mais pour l'epoque le scenario et la mise en scene sont vraiment bien reussit!!! on a le droit a quelques scene culte ( course poursuite dans le metro par exemple),la fin est vraiment bien penser et étonnante ,sa se regarde!!! a voir au moins une fois!!
    Wobot
    Wobot

    20 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Melville a réalisé le genre de film hyper classe:un héros ultra charismatique,une mise en scène stylisée et en avance sur son temps et un scénario minimaliste car prétexte à des scènes d'anthologie(le premier meurtre,la course poursuite dans le métro,le rendez-vous piégé,etc...)!Très en avance sur son temps et intemporel(il est de 67 tout de même!),il influença de nombreux cinéastes comme John Woo("The Killer"),Winding Refn( "Drive"),Michael Mann("Collateral") ou encore Jim Jarmusch("Ghost Dog").
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    22 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    un film au succés assez immérité, les critiques ont adulé Delon, tout simplement parce qu'il ne disait rien la plupart du temps, ça devait changer par rapport aux dialogues lourdingues de la série noire habituelle. à partir de la, Melville s'est prit pour un cinéaste et a continué à faire des films sur le même modèle, héros silencieux et scènes sans dialogue, inutiles pour l'action, et boite de nuit irréaliste (toujours la même). à comparer au "Cercle rouge", au calamiteux "Un flic" et au "Doulos" nettement meilleur car plus classique !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juillet 2012
    Un classique du polar français, une atmosphère melvillienne et toujours les même thèmes abordés (solitude, fatalisme et méthodisme des bandits). Mise en scène bien placée et Alain Delon énigmatique. Un peu dommage que dans la première moitié j'ai l'impression qu'il y a pas mal de séquences de meublage.
    sword-man
    sword-man

    88 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2012
    "Le samouraï" est avant tout un film d'ambiance et de mise en scène.Sur un scénario de film noir, Melville impose son style ou les personnagessont définis par leurs actes et non les dialogues. C'est du cinéma d'image pur et le cinéma avant d'être parlant était l'art du mouvement de l'image. "Le samouraï" est là pour rappeller que même bien des années après c'est toujours le cas et que ça le restera. Alain Delon dans le rôle du guerrier solitaire, froid et sans émotions apparente en impose.
    pierrre s.
    pierrre s.

    450 abonnés 3 316 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2015
    Un polar sobre et très stylé, dans la lignée des films de Melville.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 avril 2012
    Un chef d'œuvre, un des meilleurs film d'Alain Delon, ce soir sur 13ème Rue.
    En plus en version restauré, un beau travail,
    zinjero
    zinjero

    21 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 janvier 2012
    Pour les acteurs, les bons points : Delon et son personnage désenchanté ; François Périer. Les mauvais : les deux actrices nullissimes (il aurait fallu une vraie pianiste, les scènes avec piano étant trop nombreuses on s'irrite de voir qu'elle fait n'importe quoi). La couleur (tons de gris) et la photographie en général, excellentes, contribuent fortement à l'ambiance. Malheureusement, le scénario est entaché d'incohérences et même pourrait-on dire de situations grotesques. spoiler: # Jeff bâtit un alibi soi-disant solide qui repose sur deux témoins : une femme et son mari. Pourtant Jeff se barre de chez sa maîtresse un quart d'heure avant le retour du mari qu'il rencontre dans le hall de l'immeuble un quart d'heure voire une demi-heure après... Désolé ça ne colle pas ! Avant cela, il a tué vêtu d'un trench-coat au beau milieu d'une foule de gens tirés à quatre épingles... et se retrouve au tripot vêtu du même accoutrement ! Lors de l'interrogatoire (dans une salle de conférence !) il y a quatre cents suspects mais Jeff passe en quatrième position. La plupart des témoins ne le reconnaissent pas alors que même Gilbert Montagné l'aurait reconnu ! # Plus tard, des flics placent un micro chez Jeff avec amateurisme mais passons. Jeff revient, trouve le micro et l'éteint. C'est stupide. Il aurait pu s'en servir pour donner une fausse piste aux flics et même les faire douter en donnant du poids à son alibi. # La fin confine à la pantalonnade. Jeff s'en retourne dans la boîte de nuit pour honorer un 2e contrat (tuer la pianiste devenue trop gênante). Les flics sortent de façon théâtrale et l'abattent de loin oubliant l'endroit bondé où ils sont. L'un des flics tout fier dit à la pianiste : "Si nous n'avions pas été là, il vous aurait tuer." C'est stupide évidemment. Ça n'a été dit que pour renforcer artificiellement la chute : en fait, Jeff n'avait pas de balles dans son chargeur. On peut alors s'interroger : qu'aurait-fait Jeff sans la présence des policiers ? # Ajoutons le coup du trousseau de clefs (3 fois), le coup du changement de plaques minéralogiques (2 fois, sans variations notables). #
    Tout ça fait un peu trop pour un seul film. "Le Samouraî" est donc médiocre mais on doit reconnaître que Melville a apporté un certain style, une certaine ambiance et a su influencé pas mal de réalisateurs. Le "Ghost Dog" de Jarmusch suivra la même trame avec beaucoup plus de réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Le Samouraï, ou plutôt dans ce cas précis, le Ronin.
    Bon, deux étoiles, dans le doute car c'est censé être un film culte... Mais franchement... J'ai vraiment été très déçu. Si le jeu des acteurs est navrant, le "travail" des policiers est totalement grotesque, ridicule. Bon, je n'étais pas de ce monde en 1967, mais il me semble que l'on ne confond pas des criminels sans protéger les témoins... Bref.
    Et à défaut d'avoir pu effectuer un montage correct, il me semble qu'un minimum de dialogue auraient pu rattraper l'affaire. En fait, c'est plutôt l'inverse, moins de maladresse au montage auraient pu surpasse l'absence de dialogues !
    Préférez Bullit, même époque, mais techniquement et artistiquement supérieur, avec un scénario mieux ficelé, comme seuls les Américains savent le faire (OK, HS...). Pour ceux qui tiennent à consommer français, le Cercle Rouge fera tout aussi bien l'affaire.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 216 abonnés 4 195 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2014
    Avec « Le samouraï », première de ses trois collaborations avec Delon, Melville se réapproprie le film de gangsters pour en donner une vision très personnelle qui influencera de façon durable les générations suivantes de Quentin Tarentino à Johnny To. On peut apparenter la Melville’s touch à la révolution westernienne imposée à grand fracas par Sergio Leone trois ans auparavant, dont elle reprend une partie des concepts comme l’homme sans nom et le minimalisme des dialogues. Là où Leone destructure le western traditionnel pour en donner sa propre vision, Melville choisit de faire se marier deux genres cinématographiques qu’ils vénèrent , le film de samouraï japonais et le film noir américain. Chez Melville comme chez Leone les hommes se déterminent par ce qu’ils font et non par ce qu’ils pensent ou disent, d’où le très grand dépouillement de la mise en scène et du scénario qui laissent peu de place à la psychologie des personnages et par voie de conséquence aux dialogues. Pour fixer tout de suite le ton , Melville laisse passer les sept premières minutes du film sans qu’aucun dialogue ne soit échangé. Qui d’autre que Delon pouvait personnifier Jeff Costello ce tueur à gages à l’allure marmoréenne, transposition française du samouraï ? Melville n’a pas mis longtemps à convaincre l’acteur alors au sommet de sa gloire, d’endosser un rôle qui colle parfaitement avec l’image de froideur qu’il véhiculait dans le public. Costello d’abord samouraï devient un ronin quand il est trahi par ses commanditaires spoiler: qui lui reprochent d’avoir laissé un témoin dans un club de jazz après sa dernière mission
    . Une faille irréparable s’est produite dans la mécanique de précision qu’est Costello, dès lors que la perfection l’a quitté et qu’il n’est plus infaillible. L’arme parfaite s’est subitement enrayée quand il a pris la décision de ne pas éliminer la jeune pianiste témoin de son dernier contrat. Ayant choisi spoiler: de l’épargner une première fois quand il aurait dû l’exécuter et fidèle au Bushido ,code d’honneur des samouraïs, il met en scène son sacrifice par un seppuku final dans le club de jazz où pour la première fois il a connu l’échec
    . Avec ce film, Melville imprime à jamais un style qui sera la marque de fabrique du film noir français. Il approfondira sa recherche stylistique dans ses trois derniers films avant de partir rejoindre prématurément les étoiles. La vision du monde des truands selon Melville est loin des clichés véhiculés par les films dits de série noire des années 50. Le samouraï se meut dans une jungle où seule compte la loi du plus fort. Rien à sauver non plus du côté des flics avec un François Périer en commissaire obsédé par sa proie et ne reculant devant aucune bassesse pour l'attraper ou la tuer. Cette vision ultra réaliste du monde de la pègre fut très novatrice dans le cinéma français de l'époque. Derrière Melville, on ne fera plus les films policiers de la même manière. Une épure pour un cinéaste qui atteint là le sommet de son œuvre et qui s'il n'était pas mort à 56 ans aurait sans doute exploré d'autres voies. On peut le regretter.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 141 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2011
    Jean-Pierre Melville signe un polar noir avec un semblant de facilité déconcertant. Bien entendu cette simplicité n'est qu'apparence et témoigne du talent du cinéaste. Ambiance, luminosité, acteurs, musique... tout est parfait.
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