Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
S'appuyant sur une bande-son très travaillée, Aoyama transforme ce qui avait débuté comme une plaisanterie en engrenage cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Eric Aeschimann
La Forêt sans nom, épisode pilote d'une série à venir au Japon, est une belle surprise de série B autant qu'une absolue réussite de la télévision nippone.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
A l'image du héros, Aoyama semblait parti pour se détacher avec style d'une commande, mais s'est sincèrement intéressé à son sujet.
Télérama
par Vincent Ostria
Le réalisateur offre avec ce film une vision inquiétante de la tradition zen et une décapante satire de l'emprise de la société nipponne sur l'individu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Tiré d'une série TV japonaise, ce film donne une nouvelle vie au personnage récurrent du détective Mike Yokohama, interprété depuis ses débuts par Masatoshi Nagase. Personnage hors norme, il s'insère dans ce nouvel épisode signé Shinji Aoyama (...). Celui-ci traite avec une originalité déconcertante cette quête personnelle et mystique. Une ode à la nature luxuriante japonaise.
Aden
par Philippe Piazzo
Depuis, Aoyama avait déconcerté avec Desert Moon. C'est encore le cas avec La Forêt sans nom, qui évoque en brouillon et dans un style série B le Charisma de Kiyoshi Kurosawa. Au moins le film apparaît-il comme un petit exercice de style sans prétention.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Ce n'est pas le moindre des mérites de cette petite série B (...) que d'avoir su formuler les grandes questions que tout le monde se pose en filmant les pauvres réponses que tout le monde y apporte.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Curiosité en éveil. Mais la fin, en queue de poisson, nous laisse sur notre faim. Tout ça pour ça ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Télérama
par Cécile Maveyraud
De plans étouffants, murmurants en montages énigmatiques, l'intrigue s'étend et s'épaissit. On peut jouer au jeu des interprétations fable métaphysique, désarroi de la jeunesse japonaise ou goûter pour elle-même la vénéneuse saveur du cauchemar...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La Forêt sans nom ne renvoie d'Aoyama que l'image d'un cinéaste sans désir, dont l'inspiration semble s'être évaporée, et qui erre, comme une âme en peine, dans les labyrinthes d'un sous-bois anonyme, à la recherche d'une clairière, d'un peu de lumière, pour éclairer sa lanterne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Mathieu Carratier
En attendant, on a rarement fait mieux depuis l'invention du somnifère.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
S'appuyant sur une bande-son très travaillée, Aoyama transforme ce qui avait débuté comme une plaisanterie en engrenage cauchemardesque.
Libération
La Forêt sans nom, épisode pilote d'une série à venir au Japon, est une belle surprise de série B autant qu'une absolue réussite de la télévision nippone.
MCinéma.com
A l'image du héros, Aoyama semblait parti pour se détacher avec style d'une commande, mais s'est sincèrement intéressé à son sujet.
Télérama
Le réalisateur offre avec ce film une vision inquiétante de la tradition zen et une décapante satire de l'emprise de la société nipponne sur l'individu.
Zurban
Tiré d'une série TV japonaise, ce film donne une nouvelle vie au personnage récurrent du détective Mike Yokohama, interprété depuis ses débuts par Masatoshi Nagase. Personnage hors norme, il s'insère dans ce nouvel épisode signé Shinji Aoyama (...). Celui-ci traite avec une originalité déconcertante cette quête personnelle et mystique. Une ode à la nature luxuriante japonaise.
Aden
Depuis, Aoyama avait déconcerté avec Desert Moon. C'est encore le cas avec La Forêt sans nom, qui évoque en brouillon et dans un style série B le Charisma de Kiyoshi Kurosawa. Au moins le film apparaît-il comme un petit exercice de style sans prétention.
Cahiers du Cinéma
Ce n'est pas le moindre des mérites de cette petite série B (...) que d'avoir su formuler les grandes questions que tout le monde se pose en filmant les pauvres réponses que tout le monde y apporte.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Curiosité en éveil. Mais la fin, en queue de poisson, nous laisse sur notre faim. Tout ça pour ça ?
Télérama
De plans étouffants, murmurants en montages énigmatiques, l'intrigue s'étend et s'épaissit. On peut jouer au jeu des interprétations fable métaphysique, désarroi de la jeunesse japonaise ou goûter pour elle-même la vénéneuse saveur du cauchemar...
Chronic'art.com
La Forêt sans nom ne renvoie d'Aoyama que l'image d'un cinéaste sans désir, dont l'inspiration semble s'être évaporée, et qui erre, comme une âme en peine, dans les labyrinthes d'un sous-bois anonyme, à la recherche d'une clairière, d'un peu de lumière, pour éclairer sa lanterne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
En attendant, on a rarement fait mieux depuis l'invention du somnifère.