Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
(critique cannoise) (...) un spectacle fascinant signé d'un des grands créateurs contemporains, orchestré avec la rigueur d'une partition, le chef tenant la baguette d'une main jamais prise en défaut. Aussi, comme dans Dogville, le texte est magnifique.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le spectateur redoute la redite, craint la durée, mais le miracle opère. Miracle des voix, des visages, des corps, miracle des acteurs auxquels le cinéaste demande d'interpréter sans autre ressource que leur personne et leur art.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(critique cannoise) Ce qui se déroule (...) relève d'une dialectique si insolemment ironique qu'elle risque fort d'être mal comprise (...) C'est en somme une image revisitée de l'Amérique que Manderlay propose, corrosive, sombre, empreinte d'un pessimisme métaphysique irrecevable dans le Nouveau Monde (...)
MCinéma.com
par Hugo de Saint-Phalle
(critique cannoise) Manderlay est un exercice ambitieux dont les multiples niveaux de lectures stimulent en permanence notre intérêt (...) Réflexion profonde et salutaire, c'est aussi un exercice de mise en scène remarquable.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
(...) conte politique, entièrement voué à l'interrogation des discours et des pratiques de pouvoir. (...) film habité intensément par ses personnages (voix du narrateur comprise), d'autant plus habité qu'il est vidé de ses accessoires comme de tout paysage.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Patrick Williams
Un film dur, acide, passionnant mais dérangeant sur la liberté, avec des allusions évidentes à la guerre en Irak (peut-on imposer la démocratie à des personnes qui n'y sont pas préparées ?).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Là où eXisTenZ appuyait sommairement sur l'indistinction entre réel et virtuel, A History of Violence propose une vision beaucoup plus subtile et troublante.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Grand psychodrame politique bavard sur l'esclavage et la démocratie, la misère et la liberté, Manderlay n'apporte pas des idées très neuves, mais quelques bonnes visions satiriques et quelques belles fulgurances dramatiques.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Peron
Manderlay multiplie les signes de distanciation brechtienne (plateau nu, voix off très british à la Barry Lindon, retournements hégéliens en série...) mais on en retire un sentiment de confusion mentale caractérisée qui est peut-être le sceau ultime de notre époque.
Libération
par Didier Péron
(critique cannoise) Si le poids de la culpabilité pèse sur les épaules des esclavagistes américains importateurs de bétail humain, le film fait bouger les lignes de partage trop rassurantes du manichéisme qui prévaut sur ce sujet épineux. On peut ainsi reconnaître à Von Trier une certaine pertinence polémique.
Paris Match
par Christine Haas
Le discours radical de ce film, aussi brillant que politiquement incorrect, suscite un ébranlement intime en balayant les certitudes définitives.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par William Audureau
La première heure (...) paraît dès lors apathique et bavarde d'autant que le thème de "Manderlay" (...) s'y prête moins. Il reste un jeu d'acteurs convainquant, et surtout une seconde partie imprévisible, maligne et couillu.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Toute ressemblance avec George W. Bush, "libérateur" du peuple irakien, est purement volontaire. Lars VonTrier est un mauvais plaisant. Son film est drôlement féroce, et férocement drôle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Claire Vassé
(...) Trier nous prend dans les filets de son histoire. Et même si l'on ne partage pas forcément sa vision parfois un peu réductrice de l'humanité, on s'incline devant son talent de metteur en scène et le plaisir qu'il nous procure.
Africultures.com
par Samir Ardjoum
Quelques pistes plus ou moins abouties s'éparpillent dans Manderlay. (...) La faute en revient à ce découpage théâtral qui dénature le film, lui enlevant toute la délicatesse d'une mise en scène adaptée. Le traitement devient par conséquent lourd et vieillot.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Lars Von Trier s'éloigne de l'esthétisme de ses débuts pour atteindre un dépouillement filmique où seul subsiste le discours. Indigeste, malgré quelques rares moments de magie.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Lars von Trier s'est toujours plu à faire souffrir personnages et spectateurs. Ce mélange de douleur et de jeu a produit de grands films cruels et touchants. Mais, à Manderlay, ce n'est pas le cinéma de von Trier qui suscite une émotion, c'est la conscience de la réalité ici malmenée et bafouée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On n'est pas dépaysés, pas surpris.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Michel Cieutat
(...) Bryce Dallas Howard est excellente (...) Unique consolation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Jacques Morice
Lars von Trier ne fait au fond que mettre en scène cette vérité inquiétante : une démocratie incapable de réfléchir sur elle-même est une démocratie bien malade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Todd McCarthy
(critique cannoise) Les enjeux de ce film étant exposés de façon plus vivante, plus rythmée et avec une distribution plus homogène, Manderlay est moins ennuyeux que Dogville (...) le problème est qu'on sent en permanence la présence d'un marionnettiste qui veut imposer sa façon de penser (...)
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Lars von Trier tombe rapidement dans une impasse créative, succombe vite au rabâchage fictionnel et délivre un produit singulier, fiévreux et au final assez polémique, où sa virtuosité formelle s'exprime au détriment d'une narration ankylosée.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise)(...) du concept loft brechtien au générique d'images choc sur fond de David Bowie, [Manderlay] reprend ligne par ligne le cahier des charges de Dogville. Ça donne un film très fier de lui mais qui certifie mieux que n'importe quel autre que Lars Von Trier, maintenant c'est fini.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ouest France
par La Rédaction
Après Dogville, (...) L'effet de la découverte n'est plus là, on y éprouve surtout l'ennui de la redite dans un propos qui s'étire sans nécessité.
Première
par Gérard Delorme
Grace (...) représente l'oie blanche politiquement correcte qui culpabilise et tenter de réparer le tort fait au peuple noir. Jusqu'au coup de théâtre, qui, sous pretexte de bousculer les idées reçues, tombe le masque et verse dans un délire idéologiquement indéfandable.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
(critique cannoise) Depuis des décennies, nombre de réalisateurs, romanciers et artistes américains ont déjà évoqué la question complexe des rapports entre les races. Rien de neuf dans ce que présente Von Trier ici (...) L'uniformité des décors (...) rend le film aussi épuisant pour les yeux qu'il l'est pour l'esprit.
Télérama
par Frédéric Strauss
(critique cannoise) Lars von Trier semble s'être lui-même laissé aveugler par l'innocence de son héroïne. Même mis en scène avec élégance, son film ne fait que suivre assez bêtement les tours et détours d'une fable qu'on voit d'avance toute tracée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(critique cannoise) (...) un spectacle fascinant signé d'un des grands créateurs contemporains, orchestré avec la rigueur d'une partition, le chef tenant la baguette d'une main jamais prise en défaut. Aussi, comme dans Dogville, le texte est magnifique.
L'Obs
Le spectateur redoute la redite, craint la durée, mais le miracle opère. Miracle des voix, des visages, des corps, miracle des acteurs auxquels le cinéaste demande d'interpréter sans autre ressource que leur personne et leur art.
Le Monde
(critique cannoise) Ce qui se déroule (...) relève d'une dialectique si insolemment ironique qu'elle risque fort d'être mal comprise (...) C'est en somme une image revisitée de l'Amérique que Manderlay propose, corrosive, sombre, empreinte d'un pessimisme métaphysique irrecevable dans le Nouveau Monde (...)
MCinéma.com
(critique cannoise) Manderlay est un exercice ambitieux dont les multiples niveaux de lectures stimulent en permanence notre intérêt (...) Réflexion profonde et salutaire, c'est aussi un exercice de mise en scène remarquable.
Cahiers du Cinéma
(...) conte politique, entièrement voué à l'interrogation des discours et des pratiques de pouvoir. (...) film habité intensément par ses personnages (voix du narrateur comprise), d'autant plus habité qu'il est vidé de ses accessoires comme de tout paysage.
Elle
Un film dur, acide, passionnant mais dérangeant sur la liberté, avec des allusions évidentes à la guerre en Irak (peut-on imposer la démocratie à des personnes qui n'y sont pas préparées ?).
Fluctuat.net
Là où eXisTenZ appuyait sommairement sur l'indistinction entre réel et virtuel, A History of Violence propose une vision beaucoup plus subtile et troublante.
Le Figaroscope
Grand psychodrame politique bavard sur l'esclavage et la démocratie, la misère et la liberté, Manderlay n'apporte pas des idées très neuves, mais quelques bonnes visions satiriques et quelques belles fulgurances dramatiques.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Manderlay multiplie les signes de distanciation brechtienne (plateau nu, voix off très british à la Barry Lindon, retournements hégéliens en série...) mais on en retire un sentiment de confusion mentale caractérisée qui est peut-être le sceau ultime de notre époque.
Libération
(critique cannoise) Si le poids de la culpabilité pèse sur les épaules des esclavagistes américains importateurs de bétail humain, le film fait bouger les lignes de partage trop rassurantes du manichéisme qui prévaut sur ce sujet épineux. On peut ainsi reconnaître à Von Trier une certaine pertinence polémique.
Paris Match
Le discours radical de ce film, aussi brillant que politiquement incorrect, suscite un ébranlement intime en balayant les certitudes définitives.
Score
La première heure (...) paraît dès lors apathique et bavarde d'autant que le thème de "Manderlay" (...) s'y prête moins. Il reste un jeu d'acteurs convainquant, et surtout une seconde partie imprévisible, maligne et couillu.
TéléCinéObs
Toute ressemblance avec George W. Bush, "libérateur" du peuple irakien, est purement volontaire. Lars VonTrier est un mauvais plaisant. Son film est drôlement féroce, et férocement drôle.
Zurban
(...) Trier nous prend dans les filets de son histoire. Et même si l'on ne partage pas forcément sa vision parfois un peu réductrice de l'humanité, on s'incline devant son talent de metteur en scène et le plaisir qu'il nous procure.
Africultures.com
Quelques pistes plus ou moins abouties s'éparpillent dans Manderlay. (...) La faute en revient à ce découpage théâtral qui dénature le film, lui enlevant toute la délicatesse d'une mise en scène adaptée. Le traitement devient par conséquent lourd et vieillot.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Lars Von Trier s'éloigne de l'esthétisme de ses débuts pour atteindre un dépouillement filmique où seul subsiste le discours. Indigeste, malgré quelques rares moments de magie.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Lars von Trier s'est toujours plu à faire souffrir personnages et spectateurs. Ce mélange de douleur et de jeu a produit de grands films cruels et touchants. Mais, à Manderlay, ce n'est pas le cinéma de von Trier qui suscite une émotion, c'est la conscience de la réalité ici malmenée et bafouée.
Les Inrockuptibles
On n'est pas dépaysés, pas surpris.
Positif
(...) Bryce Dallas Howard est excellente (...) Unique consolation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Lars von Trier ne fait au fond que mettre en scène cette vérité inquiétante : une démocratie incapable de réfléchir sur elle-même est une démocratie bien malade.
Variety
(critique cannoise) Les enjeux de ce film étant exposés de façon plus vivante, plus rythmée et avec une distribution plus homogène, Manderlay est moins ennuyeux que Dogville (...) le problème est qu'on sent en permanence la présence d'un marionnettiste qui veut imposer sa façon de penser (...)
aVoir-aLire.com
Lars von Trier tombe rapidement dans une impasse créative, succombe vite au rabâchage fictionnel et délivre un produit singulier, fiévreux et au final assez polémique, où sa virtuosité formelle s'exprime au détriment d'une narration ankylosée.
Chronic'art.com
(critique cannoise)(...) du concept loft brechtien au générique d'images choc sur fond de David Bowie, [Manderlay] reprend ligne par ligne le cahier des charges de Dogville. Ça donne un film très fier de lui mais qui certifie mieux que n'importe quel autre que Lars Von Trier, maintenant c'est fini.
Ouest France
Après Dogville, (...) L'effet de la découverte n'est plus là, on y éprouve surtout l'ennui de la redite dans un propos qui s'étire sans nécessité.
Première
Grace (...) représente l'oie blanche politiquement correcte qui culpabilise et tenter de réparer le tort fait au peuple noir. Jusqu'au coup de théâtre, qui, sous pretexte de bousculer les idées reçues, tombe le masque et verse dans un délire idéologiquement indéfandable.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Depuis des décennies, nombre de réalisateurs, romanciers et artistes américains ont déjà évoqué la question complexe des rapports entre les races. Rien de neuf dans ce que présente Von Trier ici (...) L'uniformité des décors (...) rend le film aussi épuisant pour les yeux qu'il l'est pour l'esprit.
Télérama
(critique cannoise) Lars von Trier semble s'être lui-même laissé aveugler par l'innocence de son héroïne. Même mis en scène avec élégance, son film ne fait que suivre assez bêtement les tours et détours d'une fable qu'on voit d'avance toute tracée.