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Un visiteur
4,5
Publiée le 6 août 2011
J'adore ce film pour bien des raisons qui s'expliquent d'elles-mêmes par ces scènes hyper intelligentes, rendant hommage aux grands du genre auquel ce petit génie va très bientôt appartenir.
regardable jusqu'au bout mais sans plus. rien d'effrayant dans ce film même s'il ya une bonne histoire. la fin est un peu baclé. pas grand chose de à rajouter ...
Difficile de comprendre l'engouement pour ce film d'épouvante-horreur réalisé par Eli ROTH. Certes, l'idée de départ est intéressante, mais le contenu est de très mauvaise qualité : acteurs insignifiants, situations ridicules, etc. Il n'y a strictement rien à voir, nous sommes à la frontière du pathétique.
Les ados femelles (plus de 25 ans) sont superbes, les perruques et les erreurs de scripts sont formidables, le gore et le côté malsain est parfait. Donc ... eh non, ce n'est pas un parfait film d'horreur. Pour une fois il n'y a pas le côté parodique d'un genre en phase terminale, mais on ne gagne pas non plus en intensité. Bref c'est presque un ratage, trop loin des canons habituels, sans pour autant inventer autre chose, à part une certaine légèreté et vraisemblance spatiale et temporelle. Et surtout, on est parfois dégoûté, mais on a pas peur et encore moins d'angoisse, allez plutôt voir "Open Water" pour ça.
Rien de novateur dans ce "Cabin Fever" qui n'est finalement qu'un slasher parmi tant d'autres. Le scénario avec ses personnages aux comportements plus que curieux est même très moyen. Ce que certains interprètent comme de l'humour n'est pour moi qu'un gros défaut d'écriture.
Un film bien Gore mais avec une histoire un peu banale : une bande de copains dans les bois isoles de tout ou le méchant est une sorte de maladie venue d' on ne sait ou. Pour les amateurs du genre uniquement !
Pourtant dirigés par un réalisateur que j'ai toujours personnellement boudé pour son goût prononcé pour la boucherie, ces jeunes corps insouciants en pleine décomposition et atrocement mutilés sont pour le moins jubilatoires. La maladie, la peur qu'elle suscite et l'égoïsme provoqué lorsque l'on veut sauver sa peau sont autant de sujet traités avec énormément de décalage. Néanmoins, la très (trop ?) forte présence du second degré et de l'ironie tend parfois à discréditer le propos d'Eli Roth et l'excès dans lequel il tombe parfois dérange certes, mais au fond, ce virus est digne du cinéma hollywoodien : repoussant et pour le moins dénué de finesse et de bon goût. Ce film demeure, dans l'ensemble, de bonne facture, même s'il peine à se détacher de son étiquette "je suis un énième film gore pour adolescents !"
"Cabin Fever" est, comme laissait deviner le synopsis, un film assez classique dans le fond comme dans la forme : Une bande de copains fêtent la fin de l'année scolaire comme il se doit en louant un chalet situé dans une ville de péquenots inquiétants au beau milieu de nulle part et vont avoir à faire face à mille et une péripéties. On retrouve donc des personnages bateaux à savoir la jeune fille sensible, le gros looser un peu bébête, la fille canon aguicheuse et son homme, le héros qui semble donner les ordres. En voyeurs que nous sommes, on prend notre pied a regarder mourir ces jeunes gens les uns après les autres dans des bains de sang assez répugnants sans pour autant donner envie de vomir mais qui marquent une fois le générique sous les yeux. Le scénario est bien entendu assez pauvre à l'image des dialogues. Cependant, on sait d'où ça vient : Eli Roth est un bon réalisateur en ce qui concerne le gore et le trash et ici, son projet se révèle être divertissant et acceptable pour qui a déjà éteint son cerveau ou s'est préparé à ne pas assisté à un chef d'oeuvre. Dommage en revanche, que la fin soit un peu baclée, que le doublage soit raté et qu'on n'en sache pas plus sur ledit virus. A voir avec des amis.
Survival proprement malsain, Cabin Fever s'inscrit logiquement dans la lignée des classiques du genre dont il reprend les codes : croisement de Massacre à la Tronçonneuse, de La Dernière Maison sur la Gauche et de La Nuit des Morts-Vivants, le premier long métrage d'Eli Roth est très fortement marqué par une esthétique crasse, décadente, propre au cinéma gore des années 70. Le décor n'a pas vraiment changé depuis le temps : chaumière isolée, station-essence, sous-bois des plus glauques... La jeunesse décrite par le futur réalisateur d'Hostel n'est pas non plus tellement différente des visions de Tobe Hooper et de Wes Craven : picole, sexe, feux de camp, tir à la carabine... Seul un héritage subsiste, une grammaire typique parfaitement maîtrisé par Eli Roth. Il est certain que ce Cabin Fever ne brille pas par son originalité scénaristique et qu'il n'invente rien. Plus un hommage qu'autre chose, ce premier essai n'en demeure pas moins remarquablement réussi et parfaitement dosé dans ses effets. Dommage que le réalisateur se soit fourvoyé par la suite avec Hostel... Du pur film de genre.
Les gens encense le fait que le film soit rétro ou l’humour second degrés…je suis d’accord quand c’est réussi mais la c’est complètement raté…Tout est nul, il n’y a rien à en tirer
Cabin Fever, premier film d'Eli Roth réalisateur des Hostel et acteur d'Inglorious basterds, est un bon film du genre. Bon timing, assez gore quand il le faut et des petites touches d'humour très bien placées notamment sur la scène finale.
13/20 : Le film met un peu de temps à démarrer et la grande question continue toujours à se poser : "d'où vient exactement le virus?" Malgré ça, Eli Roth nous plonge dans un univers tel "délivrance" avec des figurants complètement déjantés et décalés (comme le grand-père dans la boutique où encore le gamin qui mord tout ce qui passe et qui pratique le Kung-Fu tout en criant : "PANCAKE"!) Les acteurs sont plutôt bons et rigolos à la fois car oui, il est évident que cette fiction contient du second degré. Alors laissez-vous tenter, car certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais l'on passe tout de mème un bon moment.