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Votre avis sur Cabin Fever ?
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Une bonne grosse bouse comme on les aime. Tous est à jeter dans ce "film".
L'histoire est bidon, les acteurs sont bidons, la réalisation est bidon etc...
Dire qu'il y en a qui compare ce film à shinning, c'est navrant...
L'histoire est bidon, les acteurs sont bidons, la réalisation est bidon etc...
Dire qu'il y en a qui compare ce film à shinning, c'est navrant...
Un survival gore franchement pas mal, abouti, original et pas bête.
Julien D
Pour son premier long-métrage, Eli Roth, qui se fera surtout remarquer l’année suivante avec son Hostel, multiplie de manière poussive les clichés du film d'épouvante dès son pitch de départ, un poncif si suranné du genre qui n’est risible que dans des films ne se prenant pas au sérieux tel qu’Evil Dead, consistant à envoyer une bande d’adolescents ultra-stéréotypés au fin fond de la forêt. Ce scénario convenu devra attendre une demi-heure pour profiter de quelques images effrayantes originales et une heure pour mettre efficacement en avant l’aspect paranoïaque des survivants, lui-même noyé dans l’œuf du fait du jeu insipide des acteurs. Le potentiel horrifique de cette histoire ultra-référencée de virus tombe ainsi violemment à l’eau mais n’empêche à cette série B de pouvoir être considéré comme un petit hommage aux classiques du genre mais surtout comme une façon originale pour Eli Roth d’évoquer sa propre maladie dermatologique, il est en effet atteint du psoriasis qui lui provoque d’importants saignements de la peau.
tout bêtement culte , pour un premier film , je tire mon chapeau!
le survival gore dans toute sa splendeur! avec en plus une bonne histoire de contamination et une bonne touche d humour bien noir,j ai adoré .
-pour ceux qui critique ce film , arretez tout , vous n avez rien compris a ce qui fait un bon film d horreur, et retournez voir des film de base tout public comme twiligth ou autres merdes commerciales...
pour les critiques pro , vous n êtes plus crédible du-tout, dés que c est un blockbuster c est 5 etoiles pour les bons films qui le méritent c est un lynchage médiatique.
d ailleurs comme beaucoup de monde je ne tien plus compte de vos avis.
le survival gore dans toute sa splendeur! avec en plus une bonne histoire de contamination et une bonne touche d humour bien noir,j ai adoré .
-pour ceux qui critique ce film , arretez tout , vous n avez rien compris a ce qui fait un bon film d horreur, et retournez voir des film de base tout public comme twiligth ou autres merdes commerciales...
pour les critiques pro , vous n êtes plus crédible du-tout, dés que c est un blockbuster c est 5 etoiles pour les bons films qui le méritent c est un lynchage médiatique.
d ailleurs comme beaucoup de monde je ne tien plus compte de vos avis.
Le premier film d'Eli Roth , et pour un premier film c'est vraiment bien. Un scénario original et interessant , du gore , une bonne ambiance. Un bon film d'horreur
Ce film interdit au moins de 16 ans est ennuyeux avec des personnages aussi tête-à-claques les uns des autres bourrés de clichés (le copain boulet, la bombe sexuelle, la bouseuse de la campagne profonde…) et des moments complètement lourdingue (notamment le moment où le gamin fait des mouvements d’arts martiaux) et des dialogues ridicules. Pas aussi gore que les films "Hostel", les amateurs du genre seront déçus. Elie Roth s’est fort heureusement amélioré avec le temps. A voir pour tuer le temps un dimanche soir.
Vu 2 fois "malheureusement" , car la première fois je l’ai sorti de ma mémoire, jusqu’à en oublier le titre.
Une série B barbante, insignifiante et surtout pas drôle.
"Heureusement" pour moi je n'attendais rien de ce film.
Une série B barbante, insignifiante et surtout pas drôle.
"Heureusement" pour moi je n'attendais rien de ce film.
Cabin Fever ou, " les grandes surprises à petit budget " Un bon film d'horreur ( un peu gore ) avec une pointe d'humour qui plaira aux fans du genre ' evil dead '
Le premier film du papa d'Hostel; Cabin Fever, reprend la fameuse formule: jeunes + cabane dans les bois = gros ennuis.
Mais cette fois-ci, au lieu des tueurs en série, des démons ou autres esprits, Eli Roth préfère un ennemi que l'on ne voit pas, dont seuls les spectateurs connaissent la présence grâce à la musique. Roth privilégie la surprise à la véritable peur. On sursaute mais le thrash prend vite le relais. Le scénario, certes légèrement banal, n'invente rien de nouveau mais il est quand même très efficace. Une maladie mangeuse de chair qui se transmet à une vitesse affolante et des effets gore sans images de synthèse qui rendent le tout plus réaliste et dérangeant ( notamment la fameuse scène de la douche ou l'on a tous ressenti la douleur pour cette pauvre femme qui s'auto-mutile ).
Certains plans sont originaux, un petit aspect amateur sympathique est présent mais le film est vraiment gâché par le jeu d'acteurs; insipide, clichés et ridicule. Malgré ce gros défaut, l’apparition d'Eli Roth lui-même redonnera le sourire aux fans jusque la déçus.
La question du film est; reste à savoir lesquels sont les plus fous ? Les personnages saints ou les contaminés ?
Mais cette fois-ci, au lieu des tueurs en série, des démons ou autres esprits, Eli Roth préfère un ennemi que l'on ne voit pas, dont seuls les spectateurs connaissent la présence grâce à la musique. Roth privilégie la surprise à la véritable peur. On sursaute mais le thrash prend vite le relais. Le scénario, certes légèrement banal, n'invente rien de nouveau mais il est quand même très efficace. Une maladie mangeuse de chair qui se transmet à une vitesse affolante et des effets gore sans images de synthèse qui rendent le tout plus réaliste et dérangeant ( notamment la fameuse scène de la douche ou l'on a tous ressenti la douleur pour cette pauvre femme qui s'auto-mutile ).
Certains plans sont originaux, un petit aspect amateur sympathique est présent mais le film est vraiment gâché par le jeu d'acteurs; insipide, clichés et ridicule. Malgré ce gros défaut, l’apparition d'Eli Roth lui-même redonnera le sourire aux fans jusque la déçus.
La question du film est; reste à savoir lesquels sont les plus fous ? Les personnages saints ou les contaminés ?
Une arnaque de bout en bout. C'est vu et re-revu, insupportable de clichés et effectivement moyen niveau script. Et le "héros" mérite des claques -comme toute l'équipe.
Alors là, accrochez-vous ! Une belle daube vous attend ! Comment peut-on réaliser un film pareil et se dire qu'il va plaire à certains spectateurs...tout le long du film, on se dit que c'est nul mais on continue car on se dit que le film va se lancer, que ça ne peut pas être pire...et ben, si...le film commence jamais en fait, et on ne peut vraiment pas s'attendre à des scènes pareilles tellement elles sont irréalistes...Enfin bon, si vous n'aimez pas quelqu'un, offrez lui ce film en dvd.
Le film me laisse assez perplexe, je m'attendais a des scènes gore à outrance vu le concept du virus qui (était censé) faire tomber la peau et la chair juste en se grattant (!) mais à la place il ne se passe rien de vraiment interressant. Le film ne mérite même pas son interdiction au -16 ans tant il n'est pas gore et le peu d'action se déroule vers la fin du film. Les acteurs jouent bien mais le comportement des personnages n'est pas une seconde crédible. Les maquillages sont bien faits et le seul point fort du film reste l'humour noir vraiment pas mal. A voir si on a le temps
Amateurs de films d'horreur et d'histoire bien ficelèe, ce long-mètrage d'Eli Roth est pour vous! Une bande de jeunes prête à s'èclater dans un chalet isolè voit ses vacances de rêve tourner au cauchemar en raison d'un virus aussi rèsistant que virulent! Qui aurait pensè que le vèritable ennemi des protagonistes est l’eau ? Qui va survivre à cette fièvre ? L'humour noir, les effets très gore et le budget de misère èvoquent le premier "Evil Dead" de Sam Raimi! Frissons garantis et effets spèciaux efficaces avec un nouveau nom dans le film d'horreur de sèrie B: Eli Roth, futur rèalisateur qui s'est dèfinitivement imposè avec les sadiques "Hostel 1 & 2". Une suite a même vu le jour en 2009 avec une fois n’est pas coutume un terrible virus dèvoreur de chairs qui se propage...
stallonefan62
film complétement déjanté avec son lot de scénes gores
J'en attendais probablement trop de ce film (le pitch était très alléchant...). Premier problème : sans parler de la trame narrative principale (la maladie), c'est déjà trop long à commencer, et les réactions des personnages sont dès le départ très pu crédibles (à la limite d'allégories de clichés, carrément). Deuxième problème : La musique d'Angelo Badalamenti (que j'adore écouter dans les films de David Lynch) a ici un effet totalement inhibant sur la potentielle peur éprouvée par le spectateur. On se croirait presque, lors de certains passages, devant Twin Peaks (la série). Et pour ceux qui ne connaîtraient pas cette série, T.P c'est parfois cocasse. Pourquoi vouloir détendre le spectateur dans un film d'épouvante ? Troisième et dernier problème : Le virus contracté par les personnages ne fait pas peur. On s'attend à les voir se faire manger de l'intérieur, à appréhender la progression de la maladie, à être fasciné même par son effet virulent, mais rien de tout ça n'arrive jamais.
Bref, à ne regarder que si l'on ne s'attend à rien, et qu'on a simplement envie de voir ce qu'Eli Roth a fait avant de réaliser la saga Hostel (qui n'est pas mauvaise. Pas géniale, mais pas mauvaise).
Bref, à ne regarder que si l'on ne s'attend à rien, et qu'on a simplement envie de voir ce qu'Eli Roth a fait avant de réaliser la saga Hostel (qui n'est pas mauvaise. Pas géniale, mais pas mauvaise).
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