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Un visiteur
5,0
Publiée le 18 septembre 2008
Ouahouuu , lol quel film !!!! J'ai tout simplement adoré. Au départ je pensé que sa allait être une grosse daube avec la même histoire que d'habitude : Bande de jeunes , mort ... Puis j'ai vu le casting l'actrice Cerina Vincent ma tout de suite donné envie de le voir ... Puis au fil des minutes qui passait pendant le film j'ai completement oublié celle-ci et le film ma captivé ... A la fin je suis resté bouche bée j'ai réalisé que c'était fini que quand les crédit était fini . Nan mais franchement a voir vite ! Il vaut le détour... Mais attention ne buvais pas pendant le film...
Un film comme je les aime , on pred plaisr a suivre les horreurs qui arrive a ces jeunes,un film d'horreur qui sort du lot avec une fin génial et une petite ose d'humour
Des ado, une cabane isolée, un virus... du vu et revu, sauf que là, on ne passe même pas un bon moment tellement c'est mal joué et pas effrayant du tout. A zapper.
Plutôt décevant pour un film qui a connu plusieurs suites . Il n'y a pas grand chose pour rendre ce film percutant : pas d'ambiance particulière , pas de tension , pas de suspense ... donc pas terrible au final.
Petit film d’horreur dans la veine de « Détour mortel » (Rob Schmidt en 2003) mais moins saisissant au niveau visuel et dans la conduite du suspense. Toutefois on ne s’ennuie pas à voir ces jeunes étudiants (encore et toujours !!) rongés par une maladie qui les couvre de plaies sanguinolentes et les fait se battre entre eux par la peur de la transmission. Eli Roth se repaît de la comédie humaine en nous montrant leurs comportements de panique lors de la première contamination et la facilité avec laquelle le groupe repousse à la marge leur camarade premier atteint par le virus. Tout ceci n’est que la prolongation des jeux télévisuels de ce début de XXIème siècle tels « Le maillon faible » ou « Koh-Lanta » qui misent beaucoup sur l'élimination du plus faible agrémentée d'une petite dose de délation face caméra.
Une série B avouée, certes, mais une série B vraiment trop convenue. C'est dommage car il y a quelques très bonnes idées pas assez exploitées et d'autres vues et revues trop mises en avant. La bascule vers le bon film n'est pas loin mais les écueils dans le montage et le scénario le font stagner sans espoir.
Un très bon cru qui se bonifie avec l'age pour tout les amateurs d'horreur. Avec en arrière plan une une amérique campagnarde fortement pointée du doigt.Cultissime!
Ah, la bande de jeunes a loué un chalet isolé dans les bois...ça commence fort. "Cabin fever" démarre donc comme le film d'horreur typique, celui que l'on a vu 32 fois. Sauf qu'ici, le psychopathe amateur de meurtre bien sanglant laisse sa place à un simple virus, délaissant donc le coté malsain du film gore qu'on imaginait. Très soft, "Cabin fever", en plus d'être écrit avec les pieds, ne propose en définitive aucune frayeur, ni aucune réelle innovation. On s'ennuie une fois de plus de cette facilité qui ne laissera aucun souvenir particulier dans la rubrique épouvante.
L'application du réalisateur (Roth) fait plaisir à voire tant dans sa mise en scène que par la direction d'acteurs...On tenait un futur bon réalisateur avant que la fièvre lui monte
Dès son premier film, Eli Roth pose ses marques ! Si les personnages débiles typiquement clichés agacent, ils sont surtout là comme prétexte de chair à horreur, le film penchant de plus en plus dans le glauque, avec quelques scènes assez saignantes ! C'est assez bon, fun et décalé !
Pour un premier long Eli Roth (Hostel) ne s'en sort pas trop mal. Bon le scénario n'est pas des plus recherchés, mais cela reste un vrai et bon film d'horreur ! Une bande de jeunes abrutis par en week end pour décompressé dans un chalet retiré et vont se faire contaminer par une bactérie qui va les bouffés de l'intérieur... Les acteurs tous inconnus plutôt bien sauf un absolument insupportable ! Les seconds rôles sont très moyens genre le flic qui n'a pas du tout un comportement normal et logique et le réal qui se donne un ptit rôle de junki n'assure pas non plus... Absence totale de gore et très peu violent. Cela dit, certains maquillages sont très bien réalisés et peuvent donner des hauts de coeur (la fille qui se rase dans la baignoire et la blonde qui se décompose). Sans oublier un clin d'oeil évidant à Evil dead, le chalet retiré et certains plans de caméra rasant le sol et poursuivant un jeune vu depuis les yeux du chien.
Pas grand-chose de plus à ajouter. Un film d'horreur simple et très classique, mais encore une fois, c'est son premier long donc faut être indulgent et laissé de côté les erreurs du débutant... en effet, certaines scènes sont absurdes et sans aucun sens et niveau dialogues c'est parfois très limite et lourd... Mais quand on sait la bombe qu'il nous a pondu comme prochains film, ce bon Eli est entièrement pardonné !
Ce premier film réalisé par Eli Roth sorti en 2004 en France n'est pas mal du tout ! Vu il y a longtemps, le film ne m'avait pas vraiment emballé à cause de son scénario peut-être trop "plan plan" malgré un côté original. Effectivement, les bases de film d'horreur classique sont là : cabane perdue dans les bois, bande de jeunes aux réactions débiles, scènes de sexe etc. mais l'histoire se démarque des autres : les victimes ne sont pas cette fois confrontées à un tueur ou à des forces démoniaques mais tout simplement à une maladie très contagieuse qui dévore la chair. Le film est d'ailleurs d'autant plus prenant en cette période post-Covid puisque nous y sommes forcément plus réceptif (même si les deux maladies n'ont rien à voir, je vous l'accorde). Mais bref, je trouve que le film réussi la prouesse d'être véritablement effrayant alors qu'il ne traite finalement que de maladie. Alors certes, c'est une maladie bien gore, nous ne sommes pas du film d'Eli Roth pour rien, certaines scènes sont très marquantes (je pense par exemple à la scène dans la baignoire qui m'avait beaucoup marqué à l'époque et qui me donne encore aujourd'hui des frissons), mais je veux dire que le film parvient à faire peur avec pas grand chose. Finalement, c'est une sorte de "It Follows" à l'avance en moins intello. Effectivement, comme dans ce dernier, nous avons une menace qui n'est pas physique et même pas visible, ce qui met le spectateur d'autant plus mal à l'aise. Malheureusement, je dois avouer que je trouve toujours le film assez mal rythmé. Si nous avons de grands moments de tension, nous avons également beaucoup de scènes un peu longues, typiques du slasher d'ailleurs, comme les histoires au coin du feu, les scènes de sexe etc. qui sont beaucoup trop longues pour ce qu'elles apportent au film. La mise en scène peut quant à elle paraitre classique mais elle reste en réalité très bonne, nous offrant des plans très beaux visuellement ou créant, au contraire, une ambiance bien glauque et oppressante. "Cabin Fever" est donc un film qui, malgré son rythme bancal, reste intéressant de par son approche originale du slasher.
Un film vraiment moyen... Comportant beaucoup de failles, notamment le cruel manque d'originalité (le lieu typique de la forêt, la fameuse bande de jeune et évidemment des vacances qui tournent mal, etc.), le scénario pauvre et sans surprise, les personnages insipides et stupides au possible auxquels on ne s'attache absolument pas, la lenteur de démarrage...Globalement ce film accumule les clichés, et fait naître l'ennuie chez le spectateur, à défaut de peur.
Néanmoins, la seconde partie du film est meilleure puisque la menace virale est habilement mise en place, créant une atmosphère oppressante où la paranoïa prend possession des protagonistes, donnant ainsi lieu à une seconde menace en plus du virus, celle du comportement humain. Ceci combiné à quelques scènes gores bien placées, permet de rendre certains moment plutôt plaisants.
En conclusion "Cabin Fever" est un film banal, succinct et sans surprise, où l'ennui peut rapidement arriver, cependant en tant que film ayant pour thématique la maladie, il rempli son contrat puisque certaines scènes et l'ambiance instaurée dans la seconde partie du film ne laisseront pas insensible les nosophobes et autres hypocondriaques.