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🎬 RENGER 📼
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3,0
Publiée le 27 janvier 2011
Premier long-métrage très convainquant pour Eli Roth, à qui l'on doit les torture-flick Hostel 1 & 2 (2006/2007). Cabin Fever (2004) est une réelle surprise, car bien que le film démarre comme un banal film d'horreur, ce dernier s'enlise peu à peu dans l'horreur pure, du gore qui éclabousse (notamment avec les séquences des lambeaux de chairs), les makeup-effect sont très efficaces ! Alternant entre humour noir (le type avec son harmonica) et autres passages sanguinolents, les personnages bien que très stéréotypés pour certains, ne nous empêche pas de s'y attacher. L'univers dans lequel évolue le film est parfaitement décrit, l'Amérique profonde avec ses rednecks et leurs sous-entendus ("la carabine est pour le nègre" dixit passage du film). Bien que l'origine du virus ne soit pas élucidée à la fin, le film nous retient en haleine avec aisance, on en vient même à en redemander ! Pour la petite anecdote, une suite à vue le jour en 2009, mais hélas, elle n'a pas été réalisée par Eli Roth, ce qui n'augure rien de bon.
Cabin Fever, premier film d'Eli Roth réalisateur des Hostel et acteur d'Inglorious basterds, est un bon film du genre. Bon timing, assez gore quand il le faut et des petites touches d'humour très bien placées notamment sur la scène finale.
Bof bof, c'est assez classique, on a du mal a s'attacher au groupe de jeunes et le film mais très longtemps à démarrer. Heureusement il y a quand même quelques notes d'humour. Sans ça, le film aurait été ennuyeux je pense.
L'idée générale de l'histoire (une maladie vraiment flippante) qui aurait pu être à l'origine d'un vrai film d'épouvante. Sauf que là... de qui se moque-t'on ? Jamais rien vu d'aussi mal joué, la crétinerie des teenagers est à son paroxisme de débilité. Tout est absolument invraissemblable, et au final notre seule hâte, à nous pauvres victimes de ce navet affligeant, est de voir cette bande de jeunes crétins mourir au plus vite. Un film à fuir absolument !
Le premier film du chouchou de Quentin Tarantino pousse déjà très loin les limites du film d’horreur-gore. Car cette histoire d’infection dirige le spectateur dans des frisons terribles. Un très bon film pour les amateurs de série Z ou des films de Quentin Tarantino. Même si Eli Roth ne dépasse pas le maître ; le film reste quand même très fort.
Des ados Américains se saoulent, se droguent, font l'amour dans une cabane au fond des bois quand un virus sort d'on ne sais ou et les déciment, c'est débile, mal joué, bref c'est très laid, passer votre chemin sinon vous choppere la fièvre.
encore un vrai film d'horreur, tout est présent, l'intrigue, le suspence...la mise en scéne parfaite....les acteurs pas mauvais...le GORE... à voir absolument pour les fans de films d'horeur...
" Cabin Fever " est un film 100% gore, c'est bien du Eli Roth qu'on a là ! Franchement, j'ai rarement vu un film d'horreur aussi direct et aussi efficace... Bref, parlons maintenant du film en lui-même. Le scénario reste simple, original, et surtout bien rythmé. On se prend pas la tête et on regard des gens mourir d'une infection atroce, du pur génie ! Les personnages du film en restent le défaut majeur, ils sont bêtes et n'ont qu'un seul trait de caractère. Il y a le beau gosse lâche, le con, la meuf bonne, la meuf intelligente et bonne, et le mec intelligent et normal, je vous laisse tout de suite imaginer le bazar. Techniquement, le film est top. Les maquillages sont très réalistes et l'ambiance 90's est parfaite. Mais il y a une exception à tout, et cette fois-ci c'est la bande-originale, est elle invisible, voilà ! Après, je voudrais pas passer trop de temps sur les jumpscares, ils sont imprévisibles mais sont classiques en quelques sortes, une sonorité aiguë et changement de plan brusque, et le tour est joué. Bref, ce film est correct mais sans plus.
Premier film d’horreur d’Eli Roth qui mise premièrement sur le contagieux, comme on le remarque avec Cabin Fever. Pas vraiment poignant, malgré des scènes horrifiques assez prolongées. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
Il est des fièvres à ne pas négliger tant leurs conséquences s’avèrent désastreuses et aisément prolifiques ! Eli Roth s’empare du film d’horreur dans les bois, sous-genre qui trouva ses lettres de noblesse chez Sam Raimi notamment, pour le détourner habilement vers un huis clos paranoïaque où l’environnement joue, à part entière, un rôle démoniaque : l’atmosphère, le bruit, les mouches que l’on entend, les arbres qui se dressent verticalement comme autant de connexions entre le Ciel et les Enfers, tout cela pèse sur nos malheureux personnages tour à tour pris de cette fièvre noire, emportés par la maladie pour finir à l’horizontal, couchés sur le sol en petits morceaux. On retrouve une ambiance qui n’est pas sans rappeler le traumatisant Deliverance de Boorman, teintée d’humour grotesque aux échos lynchéens – à travers la figure du policier, les trognes du magasin ou encore les thèmes principaux composés par Angelo Badalamenti –, de sorte à proposer un Twin Peaks version Evil Dead (ou l’inverse) savoureux et audacieux. Eli Roth s’amuse en sale gosse et remplit son film d’idées de mise en scène intéressantes disposant d’un fort potentiel esthétique, de scènes gores et de folie humaine. Il fait le choix bénéfique de ne pas convoquer les esprits malicieusement évoqués par des signes destinés à rassurer (en apparence) le spectateur pour mieux le surprendre : feu ritualisé, chien possédé, déformation d’un cadre aussitôt teinté de rouge etc. Le final surprend par le grotesque généralisé et délivre une bien triste morale sur l’humanité, ce qui sera d’ailleurs poursuivi dans les œuvres ultérieures d’Eli Roth. Cabin Fever ou le talent contagieux d’un réalisateur délicieusement sadique que l’on aime suivre dans son odyssée horrifique sans limites.
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0,5
Publiée le 11 mai 2020
J'ai décidé de m'attaquer a Cabin fever mais c'est le dernier navet de ma journée, ça suffit pour aujourd'hui. Cabin Fever est au sujet d'une maladie méchante qui bouillonne la peau. Un film dégoûtant et sans cervelle. Les gens de la cabine sont repoussés et choqués par les personnes infectées. Cabin Fever part du principe que lorsque l'on ne s'entraide pas le problème finit par devenir le vôtre. Des acteurs boiteux et a la dérive ne sachant pas jouer. Je ne sais pas quel est le pire la mise en scène ou le scénario horrible de ce film ? Cabin fever est peu près la définition du mot cliché et pour être honnête un peu pire. Si vous aimez le gore sans substance c'est votre film. Comme film d'horreur c'est surévalué et pas effrayant du tout...
Les gens encense le fait que le film soit rétro ou l’humour second degrés…je suis d’accord quand c’est réussi mais la c’est complètement raté…Tout est nul, il n’y a rien à en tirer
14 069 abonnés
12 481 critiques
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3,0
Publiée le 20 mai 2012
Amateurs de films d'horreur et d'histoire bien ficelèe, ce long-mètrage d'Eli Roth est pour vous! Une bande de jeunes prête à s'èclater dans un chalet isolè voit ses vacances de rêve tourner au cauchemar en raison d'un virus aussi rèsistant que virulent! Qui aurait pensè que le vèritable ennemi des protagonistes est l’eau ? Qui va survivre à cette fièvre ? L'humour noir, les effets très gore et le budget de misère èvoquent le premier "Evil Dead" de Sam Raimi! Frissons garantis et effets spèciaux efficaces avec un nouveau nom dans le film d'horreur de sèrie B: Eli Roth, futur rèalisateur qui s'est dèfinitivement imposè avec les sadiques "Hostel 1 & 2". Une suite a même vu le jour en 2009 avec une fois n’est pas coutume un terrible virus dèvoreur de chairs qui se propage...
Premier film d’Eli Roth, auteur du cultissime « Hostel » et grand amateur de survival gore, Cabin Fever est avant tout un hommage aux films de genre des années 70-80. Il reprend en effet tous les ingrédients des œuvres qui constituent les prémices du gore et de l’angoisse au cinéma : une cabane isolée au milieu d’un sous bois, une bande de jeunes inconscients… Le petit plus amené par Roth se situe au niveau de l’humour noir qui apparait tout au long du film et lui donne un caractère presque parodique, à la manière de Tarantino (tout du moins dans l’intention). Les personnages sont déjantés, certains dialogues sont savoureux et résument à merveille le niveau de l’Amérique profonde. L’intrigue reste prenante, elle tient le spectateur en haleine pendant la majeure partie du film, malgré l’utilisation de ce second degré parfois difficile à appréhender. On regrette seulement de ne pas connaitre l’origine du virus... En résumé, un premier essai convaincant pour Eli Roth qui montre de réelles qualités et surtout une envie de suivre les traces du maitre Tarantino, en disséminant de l’humour noir et des références pour cinéphiles tout au long de son film. Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)