Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Nova
"Ca rafraîchit, ça fait rire, cogiter, pas pleurer... Ca détend. Sans prendre personne pour un légume, car tout est écrit. Au cordeau. On savoure le texte et les situations en se tapant autant sur les cuisses qu'avec le désormais culte MES MEILLEURS COPAINS."
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Cela ressemble à une gigantesque fuite en avant que Renaud Cohen, très "réaliste", orchestre avec férocité, un brin de mesquinerie, beaucoup d'amusement.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La Tribune
par Christophe Bazire
"Servi par une distribution complice et un rythme efficace, le film permet à chacun d'y trouver une part de vérité. (...) Un bon bol d'air pour les vacances."
La critique complète est disponible sur le site La Tribune
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
"...l'une des comédies les plus tendres et pétillantes de ce début d'été. (...) Romane Bohringer est épatante, lumineuse dans un registre rare pour elle, la comédie."
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Souvent, le cinéma français s'essaie aux films sur les trentenaires, leurs avatars, leur jeunesse mal finie, leurs enfants tôt poussés. Et la mélancolie domine... Ici, c'est tout le contraire : voilà un film qui parle vrai, naturel, et rappelle à tout un chacun des situations qu'il aurait pu raconter. Benoît Cohen a le sens du rythme et de la légèreté.
Première
par Christophe Narbonne
Si les personnages peuvent apparaîitre caricaturaux et le rapprochement entre Demy et Bohringer, les deux ex, prévisible, Cohen confirme son habileté à dire des choses profondes sous couvert de légèreté. (...) Chacun de nous s'y reconnaîtra.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
Le troisième film de Benoît Cohen est une réussite appelée à devenir le phénomène bouche-à-oreille de l'été.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Le tableau est familier : les vacances dans une grande maison où s'invitent amis et parfum d'adultère, comme chez Pascal Thomas. Mais Benoît Cohen donne à cette chronique la nervosité d'un sketch. Sans s'encombrer de psychologie, il épingle ses personnages avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
C'est drôle, piquant et bien vu, ce qui nous fait d'autant plus regretter le scénario cousu de câble blanc et l'archétype de certains personnages (...). Mais l'on est séduit par l'abattage des comédiens, Romane Bohringer en tête, plus rayonnante que jamais, et l'entraînante musique de Jean-Philippe Goude. Rigolo et sympathique, parfait avant de prendre la route du soleil.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La douceur de la romance retrouvée entre Mathieu Demy et Romane Bohringer vient contrebalancer avec bonheur tout ce que le film peut avoir de pesant en matière d'accumulation -la concentration de personnages typés tient parfois du forçage sociologique- et de débordements poussifs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Les optimistes verront les qualités cinématographiques d'une bonne petite comédie de moeurs sur de jeunes parents et de vieux copains, bien enlevée, bien jouée. Les pessimistes trouveront que cela ne compense pas le temps perdu en compagnie d'une bande de vacanciers qui ne voient pas plus loin que leurs slips et leurs flips.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Certes, on n'évite pas ici quelques facilités. Mais, sur fond de bébés braillards et de regrets amoureux, cette chronique de vacances est enlevée avec un rythme si allègre, jusqu'à la " happy end " résolument amorale, qu'on y prend un vrai plaisir. Estival, en prime !
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) Mais Benoît Cohen n'est pas Pascal Thomas, maître du naturalisme cru. Sociologie de bazar et effets lourdingues font bon ménage dans cette ouvre sur-jouée.
Le Monde
par Isabelle Regnier
On n'aurait rien contre si le film de Benoît Cohen ne dissimulait pas, sous un vide idéologique apparent, un fond lourdement moralisateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nova
"Ca rafraîchit, ça fait rire, cogiter, pas pleurer... Ca détend. Sans prendre personne pour un légume, car tout est écrit. Au cordeau. On savoure le texte et les situations en se tapant autant sur les cuisses qu'avec le désormais culte MES MEILLEURS COPAINS."
Cahiers du Cinéma
Cela ressemble à une gigantesque fuite en avant que Renaud Cohen, très "réaliste", orchestre avec férocité, un brin de mesquinerie, beaucoup d'amusement.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La Tribune
"Servi par une distribution complice et un rythme efficace, le film permet à chacun d'y trouver une part de vérité. (...) Un bon bol d'air pour les vacances."
Le Journal du Dimanche
"...l'une des comédies les plus tendres et pétillantes de ce début d'été. (...) Romane Bohringer est épatante, lumineuse dans un registre rare pour elle, la comédie."
Le Parisien
Souvent, le cinéma français s'essaie aux films sur les trentenaires, leurs avatars, leur jeunesse mal finie, leurs enfants tôt poussés. Et la mélancolie domine... Ici, c'est tout le contraire : voilà un film qui parle vrai, naturel, et rappelle à tout un chacun des situations qu'il aurait pu raconter. Benoît Cohen a le sens du rythme et de la légèreté.
Première
Si les personnages peuvent apparaîitre caricaturaux et le rapprochement entre Demy et Bohringer, les deux ex, prévisible, Cohen confirme son habileté à dire des choses profondes sous couvert de légèreté. (...) Chacun de nous s'y reconnaîtra.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le troisième film de Benoît Cohen est une réussite appelée à devenir le phénomène bouche-à-oreille de l'été.
Télérama
Le tableau est familier : les vacances dans une grande maison où s'invitent amis et parfum d'adultère, comme chez Pascal Thomas. Mais Benoît Cohen donne à cette chronique la nervosité d'un sketch. Sans s'encombrer de psychologie, il épingle ses personnages avec habileté.
Zurban
C'est drôle, piquant et bien vu, ce qui nous fait d'autant plus regretter le scénario cousu de câble blanc et l'archétype de certains personnages (...). Mais l'on est séduit par l'abattage des comédiens, Romane Bohringer en tête, plus rayonnante que jamais, et l'entraînante musique de Jean-Philippe Goude. Rigolo et sympathique, parfait avant de prendre la route du soleil.
Chronic'art.com
La douceur de la romance retrouvée entre Mathieu Demy et Romane Bohringer vient contrebalancer avec bonheur tout ce que le film peut avoir de pesant en matière d'accumulation -la concentration de personnages typés tient parfois du forçage sociologique- et de débordements poussifs.
Le Figaroscope
Les optimistes verront les qualités cinématographiques d'une bonne petite comédie de moeurs sur de jeunes parents et de vieux copains, bien enlevée, bien jouée. Les pessimistes trouveront que cela ne compense pas le temps perdu en compagnie d'une bande de vacanciers qui ne voient pas plus loin que leurs slips et leurs flips.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Certes, on n'évite pas ici quelques facilités. Mais, sur fond de bébés braillards et de regrets amoureux, cette chronique de vacances est enlevée avec un rythme si allègre, jusqu'à la " happy end " résolument amorale, qu'on y prend un vrai plaisir. Estival, en prime !
L'Humanité
(...) Mais Benoît Cohen n'est pas Pascal Thomas, maître du naturalisme cru. Sociologie de bazar et effets lourdingues font bon ménage dans cette ouvre sur-jouée.
Le Monde
On n'aurait rien contre si le film de Benoît Cohen ne dissimulait pas, sous un vide idéologique apparent, un fond lourdement moralisateur.