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[Reprise] Ce Billy Wilder, (…), tire à boulets rouges sur le "star-system" et pousse un peu plus loin sa réflexion sur l’usine à rêves hollywoodienne amorcée dans "Boulevard du crépuscule". Brillant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Une réflexion sur un cinéma classique en phase terminale, multipliant les subterfuges pour survivre. Acharnement thérapeutique dont le film est une traduction imagée. Obsédant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
[Reprise] Délaissant l'ironie qui a longtemps été son arme de prédilection, le metteur en scène laisse libre cours à sa colère (...) et à l'admiration mêlée de terreur que lui inspire le star system. (...) Fedora est un grand mélodrame hollywoodien de l'âge classique. A ceci près que Billy Wilder l'a réalisé trente ans après (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
[Reprise] Les films de Wilder ne vieillissent pas car ils nous tendent un miroir fidèle, lucide (...) "Fedora" n’est pas le plus réussi mais c’est le plus beau en ce qu’il se présente comme un testament parfaitement wilderien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
["Boulevard du crépuscule"] a laissé place à l’aube, puis au zénith, sous les rayons duquel la couleur criarde de la modernité accuse les traits de ce cinéma moribond qui évoque souvent Mankiewicz. L’avant-dernier film de Billy Wilder tire à la fois son charme, son sel et sa relative maladresse dans cette façon de n’appartenir à aucune époque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
[Reprise] Difficile de ne pas noter les similitudes entre "Fedora" et "Sunset Boulevard", signé vingt-huit ans plus tôt par Wilder (...) Ce qui a manqué à "Fedora" ? Sans doute une vraie star (...) Mais aussi des dialogues aussi cinglants que ceux de "Sunset Boulevard".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
[reprise] (...) un film éblouissant (...) "Fedora" est une œuvre puissamment hantée, un conte cruel à la beauté foudroyante (...)
aVoir-aLire.com
[Reprise] Ce Billy Wilder, (…), tire à boulets rouges sur le "star-system" et pousse un peu plus loin sa réflexion sur l’usine à rêves hollywoodienne amorcée dans "Boulevard du crépuscule". Brillant et fascinant.
L'Humanité
Une réflexion sur un cinéma classique en phase terminale, multipliant les subterfuges pour survivre. Acharnement thérapeutique dont le film est une traduction imagée. Obsédant.
La Croix
[Reprise] Billy Wilder signe en 1978 une œuvre amère et lucide sur le désir de jeunesse éternelle dont Hollywood fait une obsession.
Le Monde
[Reprise] Délaissant l'ironie qui a longtemps été son arme de prédilection, le metteur en scène laisse libre cours à sa colère (...) et à l'admiration mêlée de terreur que lui inspire le star system. (...) Fedora est un grand mélodrame hollywoodien de l'âge classique. A ceci près que Billy Wilder l'a réalisé trente ans après (...).
TéléCinéObs
[Reprise] Les films de Wilder ne vieillissent pas car ils nous tendent un miroir fidèle, lucide (...) "Fedora" n’est pas le plus réussi mais c’est le plus beau en ce qu’il se présente comme un testament parfaitement wilderien.
Critikat.com
["Boulevard du crépuscule"] a laissé place à l’aube, puis au zénith, sous les rayons duquel la couleur criarde de la modernité accuse les traits de ce cinéma moribond qui évoque souvent Mankiewicz. L’avant-dernier film de Billy Wilder tire à la fois son charme, son sel et sa relative maladresse dans cette façon de n’appartenir à aucune époque.
Libération
[Reprise] Difficile de ne pas noter les similitudes entre "Fedora" et "Sunset Boulevard", signé vingt-huit ans plus tôt par Wilder (...) Ce qui a manqué à "Fedora" ? Sans doute une vraie star (...) Mais aussi des dialogues aussi cinglants que ceux de "Sunset Boulevard".