Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
[reprise] (...) un film éblouissant (...) "Fedora" est une œuvre puissamment hantée, un conte cruel à la beauté foudroyante (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Sébastien Schreurs
[Reprise] Ce Billy Wilder, (…), tire à boulets rouges sur le "star-system" et pousse un peu plus loin sa réflexion sur l’usine à rêves hollywoodienne amorcée dans "Boulevard du crépuscule". Brillant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une réflexion sur un cinéma classique en phase terminale, multipliant les subterfuges pour survivre. Acharnement thérapeutique dont le film est une traduction imagée. Obsédant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
[Reprise] Billy Wilder signe en 1978 une œuvre amère et lucide sur le désir de jeunesse éternelle dont Hollywood fait une obsession.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
[Reprise] Délaissant l'ironie qui a longtemps été son arme de prédilection, le metteur en scène laisse libre cours à sa colère (...) et à l'admiration mêlée de terreur que lui inspire le star system. (...) Fedora est un grand mélodrame hollywoodien de l'âge classique. A ceci près que Billy Wilder l'a réalisé trente ans après (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
[Reprise] Les films de Wilder ne vieillissent pas car ils nous tendent un miroir fidèle, lucide (...) "Fedora" n’est pas le plus réussi mais c’est le plus beau en ce qu’il se présente comme un testament parfaitement wilderien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Théo Ribeton
["Boulevard du crépuscule"] a laissé place à l’aube, puis au zénith, sous les rayons duquel la couleur criarde de la modernité accuse les traits de ce cinéma moribond qui évoque souvent Mankiewicz. L’avant-dernier film de Billy Wilder tire à la fois son charme, son sel et sa relative maladresse dans cette façon de n’appartenir à aucune époque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Eric Dahan
[Reprise] Difficile de ne pas noter les similitudes entre "Fedora" et "Sunset Boulevard", signé vingt-huit ans plus tôt par Wilder (...) Ce qui a manqué à "Fedora" ? Sans doute une vraie star (...) Mais aussi des dialogues aussi cinglants que ceux de "Sunset Boulevard".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
[reprise] (...) un film éblouissant (...) "Fedora" est une œuvre puissamment hantée, un conte cruel à la beauté foudroyante (...)
aVoir-aLire.com
[Reprise] Ce Billy Wilder, (…), tire à boulets rouges sur le "star-system" et pousse un peu plus loin sa réflexion sur l’usine à rêves hollywoodienne amorcée dans "Boulevard du crépuscule". Brillant et fascinant.
L'Humanité
Une réflexion sur un cinéma classique en phase terminale, multipliant les subterfuges pour survivre. Acharnement thérapeutique dont le film est une traduction imagée. Obsédant.
La Croix
[Reprise] Billy Wilder signe en 1978 une œuvre amère et lucide sur le désir de jeunesse éternelle dont Hollywood fait une obsession.
Le Monde
[Reprise] Délaissant l'ironie qui a longtemps été son arme de prédilection, le metteur en scène laisse libre cours à sa colère (...) et à l'admiration mêlée de terreur que lui inspire le star system. (...) Fedora est un grand mélodrame hollywoodien de l'âge classique. A ceci près que Billy Wilder l'a réalisé trente ans après (...).
TéléCinéObs
[Reprise] Les films de Wilder ne vieillissent pas car ils nous tendent un miroir fidèle, lucide (...) "Fedora" n’est pas le plus réussi mais c’est le plus beau en ce qu’il se présente comme un testament parfaitement wilderien.
Critikat.com
["Boulevard du crépuscule"] a laissé place à l’aube, puis au zénith, sous les rayons duquel la couleur criarde de la modernité accuse les traits de ce cinéma moribond qui évoque souvent Mankiewicz. L’avant-dernier film de Billy Wilder tire à la fois son charme, son sel et sa relative maladresse dans cette façon de n’appartenir à aucune époque.
Libération
[Reprise] Difficile de ne pas noter les similitudes entre "Fedora" et "Sunset Boulevard", signé vingt-huit ans plus tôt par Wilder (...) Ce qui a manqué à "Fedora" ? Sans doute une vraie star (...) Mais aussi des dialogues aussi cinglants que ceux de "Sunset Boulevard".