Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
MCinéma.com
par Anthony Clément
Le cinéma est investi ici d'une de ses missions les plus nobles : il fait résonner dans le coeur du spectateur un pan d'histoire. Ce film déjà remarquable dans la peinture des réactions diverses face aux disparitions, grâce à des acteurs fins et habités, se double donc d'une dimension politique imparable.
L'Ecran Fantastique
par Julie Deh
Mu par une sorte de force tranquile qui prend aux tripes, Disparitions captive. [...] Au coeur de cette mise en scène pudique le fantastique fait irruption avec un réalisme sans fioritures, gage de sa crédibilité. [Disparitions] rappelle que le 7e Art peut avoir, aussi, la force de l'engagement.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Croisement réussi entre Missing et Sixième Sens, Disparitions balance à la face du spéctateur le constat trouble d'une époque où la terreur régnait, accompagnée fidèlement de sa "soeur" torture. Servie par la photo de Cuillermo Navarro, l'oeuvre d'Hampton mérite qu'on s'y attarde, quitte à y laisser quelques larmes...
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
France Soir
par Richard Gianorio
Si ce film de Christopher Hampton s'avère maladroit (l'intrusion du surnaturel est incongrue), il a au moins le mérite de plaider en faveur des 30000 disparus argentins, "volatilisés" durant la dictature.
Paris Match
par Christine Haas
Christopher Hampton célèbre le triomphe de l'amour sur la cruauté à travers un film engagé et soutenu par Amnesty International. Mais qui se complique d'une narration à plusieurs niveaux, jonglant maladroitement entre les rêves prémonitoires et réalité.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Sara Ri
Cristopher Hampton n'hésite pas à sombrer dans la surenchère à l'atrocité sous prétexte d'un témoignage historique (...) en voulant enrayer la censure, Disparitions tombe dans le voyeurisme et perd définitivement sa crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Ayon
Sous prétexte d'hommage, c'est une divagation historique qui insulte les armées d'ombres martyres de la junte. Banderas, héros barbu visité de cette ânerie, est censé écrire. A d'autres.
Ouest France
par La rédaction
Le ridicule absolu au service d'une grande cause. Comment Christopher Hampton (Carrington) a-t-il pu embarquer ce couple prestigieux dans une telle ineptie.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Dominique Martinez
(...) une louable démarche (...). Mais, du côté du cinéma, quel gâchis. Le film de Christopher Hampton sonne faux pratiquement du début jusqu'à la fin. [...] Dommage, on est loin du solide témoignage de Garage Olimpo de Marco Bechis, réalisé en 1999.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par La rédaction
À l'image des prémonitions du héros, ce film maladroit ne mène nulle part et caricature la réalité politique de l'époque avec une désinvolture insultante.
Rolling Stone
par G.G. Jones
Le film enchaîne des scènes ahurissantes de nullité et d'invraisemblances dans un souci de devoir de mémoire très laborieux. Banderas est hilarant et on n'est pas prêt d'oublier la séquence où il retrouve la trace de sa femme en suivant un flamant rose.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Le mélange d'un sujet historique dramatique et d'un thème aussi racoleur que la voyance a quelque chose de malsain et de suspect.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Bijan Aquetil
Véritable insulte à une tragédie dont les plaies sont loin d'être pansées et dont l'écho mobilise encore tout un peuple, cette approche obscène, caricaturale et putassière sans aucun doute ce qu'on pouvait faire de pire.
Télérama
par Pierre Murat
On a un peu de mal, à prendre au sérieux cet invraisemblable mélo. [...] Christopher Hampton, pétri de générosité maladroite, tisse des liens improbables entre la dictature et l'Holocauste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
La part liée à l'imaginaire via les pouvoirs de médiums de Carlos/Banderas, sonne incroyablement creux et la portée du témoignage en prend un sérieux coup. Difficile d'adhérer à cette quête plan-plan qui devrait être poignante, et aux retrouvailles finales qui ne procurent aucune émotion.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Sous prétexte d'aborder un pan douloureux de l'histoire argentine, Christopher Hampton, réalisateur d'un Carrington déjà bien moyen, se permet des raccourcis gênants pour mieux toucher le grand public.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
MCinéma.com
Le cinéma est investi ici d'une de ses missions les plus nobles : il fait résonner dans le coeur du spectateur un pan d'histoire. Ce film déjà remarquable dans la peinture des réactions diverses face aux disparitions, grâce à des acteurs fins et habités, se double donc d'une dimension politique imparable.
L'Ecran Fantastique
Mu par une sorte de force tranquile qui prend aux tripes, Disparitions captive. [...] Au coeur de cette mise en scène pudique le fantastique fait irruption avec un réalisme sans fioritures, gage de sa crédibilité. [Disparitions] rappelle que le 7e Art peut avoir, aussi, la force de l'engagement.
Mad Movies
Croisement réussi entre Missing et Sixième Sens, Disparitions balance à la face du spéctateur le constat trouble d'une époque où la terreur régnait, accompagnée fidèlement de sa "soeur" torture. Servie par la photo de Cuillermo Navarro, l'oeuvre d'Hampton mérite qu'on s'y attarde, quitte à y laisser quelques larmes...
France Soir
Si ce film de Christopher Hampton s'avère maladroit (l'intrusion du surnaturel est incongrue), il a au moins le mérite de plaider en faveur des 30000 disparus argentins, "volatilisés" durant la dictature.
Paris Match
Christopher Hampton célèbre le triomphe de l'amour sur la cruauté à travers un film engagé et soutenu par Amnesty International. Mais qui se complique d'une narration à plusieurs niveaux, jonglant maladroitement entre les rêves prémonitoires et réalité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Cristopher Hampton n'hésite pas à sombrer dans la surenchère à l'atrocité sous prétexte d'un témoignage historique (...) en voulant enrayer la censure, Disparitions tombe dans le voyeurisme et perd définitivement sa crédibilité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Sous prétexte d'hommage, c'est une divagation historique qui insulte les armées d'ombres martyres de la junte. Banderas, héros barbu visité de cette ânerie, est censé écrire. A d'autres.
Ouest France
Le ridicule absolu au service d'une grande cause. Comment Christopher Hampton (Carrington) a-t-il pu embarquer ce couple prestigieux dans une telle ineptie.
Positif
(...) une louable démarche (...). Mais, du côté du cinéma, quel gâchis. Le film de Christopher Hampton sonne faux pratiquement du début jusqu'à la fin. [...] Dommage, on est loin du solide témoignage de Garage Olimpo de Marco Bechis, réalisé en 1999.
Première
À l'image des prémonitions du héros, ce film maladroit ne mène nulle part et caricature la réalité politique de l'époque avec une désinvolture insultante.
Rolling Stone
Le film enchaîne des scènes ahurissantes de nullité et d'invraisemblances dans un souci de devoir de mémoire très laborieux. Banderas est hilarant et on n'est pas prêt d'oublier la séquence où il retrouve la trace de sa femme en suivant un flamant rose.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Le mélange d'un sujet historique dramatique et d'un thème aussi racoleur que la voyance a quelque chose de malsain et de suspect.
TéléCinéObs
Véritable insulte à une tragédie dont les plaies sont loin d'être pansées et dont l'écho mobilise encore tout un peuple, cette approche obscène, caricaturale et putassière sans aucun doute ce qu'on pouvait faire de pire.
Télérama
On a un peu de mal, à prendre au sérieux cet invraisemblable mélo. [...] Christopher Hampton, pétri de générosité maladroite, tisse des liens improbables entre la dictature et l'Holocauste.
Zurban
La part liée à l'imaginaire via les pouvoirs de médiums de Carlos/Banderas, sonne incroyablement creux et la portée du témoignage en prend un sérieux coup. Difficile d'adhérer à cette quête plan-plan qui devrait être poignante, et aux retrouvailles finales qui ne procurent aucune émotion.
aVoir-aLire.com
Sous prétexte d'aborder un pan douloureux de l'histoire argentine, Christopher Hampton, réalisateur d'un Carrington déjà bien moyen, se permet des raccourcis gênants pour mieux toucher le grand public.