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    Cinq pièces faciles
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    54 critiques spectateurs

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    Louis Morel
    Louis Morel

    49 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2012
    Un film un peu lent, malgré un Jack Nicholson en grande forme.
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2012
    Un film typique du Nouvel Hollywood : porté par Jack Nicholson, acteur culte de cette période "Cinq pièces faciles" est l'histoire d'une errance, du choix qu'a fait Robert Dupea de ne pas suivre la carrière de musicien qui l'attendait pour finir ouvrier et épouser une serveuse qu'il a mis enceinte. Le personnage ne fait que fuir les institutions, la famille comme le mariage pour vivre sa propre vie qui l'amène à tromper sa femme ou à jouer du piano sur un camion de déménagement. Bob Rafelson met en scène le film avec une certaine énergie malgré l'esthétique un peu vieillotte de la photographie et malgré des inégalités, il y a de très beaux passages.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2012
    Les années 70, de beaux comme de mauvais souvenirs pour certains, en témoignent cette élégante mise en scène sur la crise qui régnait à l’époque aux Etats-Unis.
    Robert Eroica Dupea n’a pas sa place au sein de la société, ni auprès de sa famille, il se cherche et se consume à la fois.
    Une vie où le rêve n’a pas lieu d’être, l’envie de vivre, oui, mais avec la rage, celle d’un homme qui ne colle pas aux critères de sélections, qui ne rentre pas dans le moule comme un mouton. Un film qui critique ouvertement l’Amérique des années 70, porté par un Jack Nicholson exceptionnel, avec sa fougue et son tempérament bien à lui !
    Rémi P.
    Rémi P.

    28 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    "Cinq pièces faciles" raconte l'histoire de Robert, un ouvrier foreur anciennement prodige de piano, qui décide de renouer avec sa famille après l'annonce de la maladie de son père...
    L'intrigue peut paraître minimaliste au premier coup d’œil mais il n'en est rien ! Ce film est au contraire très complexe tant dans sa construction scénaristique que dans les sentiments qui y sont dévoilés. En effet, après une première partie qui introduit la vie de Robert et la banalité de son quotidien, on découvre mieux ce personnage, tous ses sentiments et ressentiments, à partir de son départ pour rejoindre la maison familiale. A la fois colérique, sensible et tranchant (les scènes avec la serveuse ou avec l'amie séminariste de la famille sont de vrais moments de comédie !), on s'attache à ce personnage si profondément humain qui arrive à un moment charnière de son existence, la quête de son identité. Celle ci passe par la déception d'une amourette vouée à l'échec, d'un sentiment de gâchis des talents de l'enfance ou encore de la séparation avec les personnes qui l'aiment, notamment sa compagne Rayette. C'est Jack Nicholson qui incarne le rôle de Robert dans ce qui est pour moi, sa meilleure performance. Roger Ebert disait de ce personnage qu'il est "l'un des plus mémorables de l'histoire du cinéma" et on ne peut qu'acquiescer tant celui ci nous bouleverse par sa mélancolie et par le doute qui l'habite en permanence. La scène de fin est une merveille car elle est absolument représentative de la sincérité du héros, de sa volonté de quitter les autres afin de trouver, dans sa solitude, la sérénité qu'il cherche tant. Ce film est donc pour moi un véritable coup de cœur mais c'est avant tout un coup de maître de la part de Bob Rafelson qui signe un film inoubliable et troublant d'humanité, porté par des musiques magnifiques (Chopin en tête) et par un Nicholson au sommet de son art... Bravo !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2013
    C'est l'histoire d'un jeune homme de "bonne famille" (famille bourgeoise de mélomanes) qui était promis à une belle carrière de pianiste, mais qui a tout plaqué. Un jeune homme en errance dans un monde où il ne trouve pas sa place : ni chez les riches, ni chez les pauvres, ni chez les intellos, ni chez les "beaufs" de l'Amérique profonde. Les difficultés pour communiquer avec sa famille, les insatisfactions amoureuses, le désarroi existentiel le poussent à prendre sans cesse la fuite, vers un ailleurs indéterminé.
    Avec ce personnage paumé (et en filigrane le tableau d'une jeunesse perdue), mais aussi avec cette contestation de l'american way of life (culte de la réussite sociale, matérialisme...), le film s'inscrit complètement dans le courant du Nouvel Hollywood qui témoigne de l'émergence d'une contre-culture. Liberté de ton, faible dramatisation... on est loin des canons hollywoodiens classiques. Dans le sillage de Dennis Hopper, qui avait signé un an auparavant l'oeuvre phare de ce mouvement, Easy Rider, Bob Rafelson (dont c'est le deuxième film) exprime lui aussi un mal-être générationnel, un sentiment de révolte contre un système (social ou cinématographique) plutôt rigide et conservateur. Et il le fait bien, dans un style brut, modeste et touchant. Il y a bien quelques faiblesses dans le scénario (on pouvait espérer plus de développements sur les noeuds familiaux) et quelques soucis de montage (à cause, peut-être, d'un tournage rapide et d'un faible budget), mais l'ensemble sonne juste.
    Et puis il y a Jack Nicholson (33 ans à l'époque). Sa carrière prenait alors son envol. Il avait été lancé par Roger Corman puis remarqué pour son rôle dans Easy Rider. Le rôle de Robert, ici, a été écrit sur mesure pour lui. L'acteur affirme son talent dans un registre qui lui sied à merveille, celui des personnages borderline, marginaux. Entre ironie et désenchantement, fougue et lassitude, il varie les rythmes et les intensités, en imposant une présence unique.
    On note, par ailleurs, que Bob Rafelson s'est un peu inspiré de son parcours pour nourrir son film, lui qui a quitté une voie universitaire toute tracée pour partir à l'aventure et exercer mille et un métiers avant d'arriver au cinéma. Il a participé à des rodéos, travaillé à bord d'un cargo, joué dans un orchestre de jazz au Mexique, étudié la philo, fait le DJ pour une radio, écrit des scénarios pour la télé, oeuvré pour le théâtre d'avant-garde new-yorkais... Paradoxalement, en tant que cinéaste, il est aujourd'hui moins connu pour ses premiers films estampillés "Nouvel Hollywood" que pour ses films ultérieurs, plus classiques : Le Facteur sonne toujours deux fois, La Veuve noire, Aux sources du Nil.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    Jack Nicholson plus sauvage que nature, dans un rôle lui allant comme un gant : l’anti héros impulsif, rêvant de liberté, ravagé pour ses démons. Enterré dans une vie qui ne lui ressemble pas, Robert Dupea este sous tension, et explose de machisme en faisant peu de cas de sa petite amie, la bien brave Raynette. C’est en revenant vers sa famille que la vraie nature de l'homme est mise à jour. Terrible!
    nastygobs
    nastygobs

    20 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 août 2007
    Pur film d'auteur qui montre le ras le bol du systéme et de la connerie des gens en général et plus particulièrement l'hypocrisie d'une famille dans certaines situations.Nicholson est parfait dans ce role de looser qui essaye tant bien que mal de refaire surface mais qui ne fait jamais les bons choix.Un film d'ailleurs fait par ses acteurs car le réalisateur réussit de justesse à mettre une atmosphére pesante mais qui repercute sur le rythme du film extremement lent et lourd.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Portrait d'un anti-héros, un film subtil qui traduit le mal être profond dans l'Amérique à la fin des années 60, avec un Jack Nicholson énorme.
    Alasky
    Alasky

    358 abonnés 3 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2017
    Belle performance du grand Jack Nicholson, incarnant l'anti-héros dans cette Amérique intime, qui nous plonge dans les seventies du fin fond des Etats-Unis. Le film n'a certes pas un scénario des plus excitants mais est plaisant à regarder.
    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2023
    Classique des années 70, et de la période nouveau hollywood Bob Rafelson signe une révélation avec Jack Nicholson dans son premier vrai rôle..la scène dans le deli ou jack Nicholson commande son breakfast est culte..le film est très beau et l'histoire se lasse voir avec curiosité...à revoir..période BBS productions..dont easy rider et five peaces east
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    185 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2012
    Le cri de liberté que semble vouloir lancer le film est atténué par le manque de personnalité de la part des personnages. On est en dessous d'un easy rider ou d'un macadam cowboy traitant du désir d'évasion ou de renouveau. Jack Nicholson fut également nettement plus éblouissant dans "profession reporter".
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2018
    Un classique de la nouvelle vague américaine sur le désir ou regret d'une autre vie. Le film est intelligent et le traitement sert bien le sujet. Nicholson crève déjà l'écran même si le film comporte quelques longueurs.
    Prad12
    Prad12

    94 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2017
    La route. Pourquoi prendre la route ? le film explique un peu les raisons, le dégoût de soi, le refus de l'engagement, le rejet de son milieu.... de graves problèmes pour la jeunesse dorée quand même..... bref, Jack Nicholson est parfait pour ce rôle et pour l'époque mais le scénario ou bien l'énervante Karen Black empêche de déguster pleinement ce road trip de la belle époque.....
    brunocinoche
    brunocinoche

    96 abonnés 1 106 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2016
    Deuxième film de la collaboration Bob Rafelson / Jack Nicholson, ce road movie du début des années 70 est très pessimiste et le film se révèle parfois un peu trop plombant. Qu'importe, le jeu de Nicholson, à la fois cynique et profondément humain, est le grand intérêt de ce film qui a compté dans le renouveau du cinéma américain des années 60/70.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    25 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2009
    Dans une contrée d'Amérique pas nommée. un homme, (Jack Nicholson) travail d'arache pied pour un boulot de merde. Il travail pour rien, au sens financier et pratique du terme car sa tâche nous montrée comme totalement inutile. Mais sa femme (Susan Anspach) est belle et gentille et ses amis le sont tout aussi. Et pourtant l'homme ne semble pas trouver de consolation auprés de ses proches. Peut-être est-ce le néant de son labeur qui le rend mal à l'aise ? Pas tout à fait car plus tard on verra que le jeune homme est issue d'une bonne famille dans laquelle il existe des tensions. Le cinéaste nous explique trés rapidement qu'ils sont des artistes ratés dont le grand-père et sourd-muet. Alors peut-être que le jeune homme à voulu quitter sa famille pour ne pas suivre la tradition de pianiste et/ou bien pour fuir les querelles ? Encore là un point d'interrogation. L'homme invite sa jolie jeune femme mais il est trés vite exaspéré par son comportement niais. Encore là on se demande si il veut fuir la bourgeoisie ou défend son mode de vie. Se pose clairement les contradictions d'un homme qui ne sait pas ce qu'il veut. Pis encore, la seule personne à qui il veut bien se confier et son grand père handicappé avec qui le dialogue est impossible. C'est un demi-aveu qui ne pourra pas l'aider, à croire qu'il ne cherhce pas d'aide. Et d'ailleurs, il préfèrera quitter sa femme pour une destination inconnu à bord du 1er camion qui passe. La route semble en définitive la seule solution pour cet éternel indécis.
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