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Audrey L
647 abonnés
2 593 critiques
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2,5
Publiée le 13 mai 2017
Un film de romance à la Cary Grant (qui d'habitude est touchant) assez fade, ne consistant qu'en de nombreux allers-retours d'amour et de haine entre le duo en tête d'affiche. L'amour ne prend jamais, le jeu des acteurs n'est vraiment pas en symbiose... Dommage car ils nous ont habitué à bien mieux. Le film est long, manque d'action, Grant ne fait pas ses yeux doux charmeurs, sa complice semble caricaturale dans son rôle de simplette, et la fin ne surprend pas... Alors pourquoi mettre la moyenne ? Car il y a de bons gags au début du film (dialogues assassins, et scène mémorable de la claque que prend le souffre-douleur de Grant en voulant prendre une salade car la cuisinière le prend pour le violeur de son amie...). Dispensable à cause du manque de charme, mais quelques bons gags au début.
J’avais ce film dans mes envies depuis des lustres. La réalisation est plutôt plate, pour tout avouer si j'ai regardé ce film pour Cary Grant, juste le mec le plus classe et le plus charismatique de tous les temps.
Une charmante comédie romantique à la thématique, certes un peu désuète, mais c'est justement là que réside son charme: dans les années 60, la société était dirigée par et pour les hommes; une femme n'avait d'autre choix que de se marier ou finir vieille fille; autrement c'était une traînée. Ce film raconte le combat de la naïve Doris Day pour gagner sa respectabilité face à un Cary Grant séduisant, riche et coureur de jupons.
Je ne supporte pas Doris Day qui pour moi symbolise à elle seule la bien-pensance des années 50 et du début des années 60 dans le cinéma américain (depuis il y en a eu d'autres à prendre le relais !!!). Le scénario, une jeune femme d'origine modeste tombe raide dingue amoureuse d'un riche play-boy la fin de cinquantaine très séduisante. La jeune femme veut se marier et avoir des enfants, le riche play-boy la fin de cinquantaine très séduisante veut juste une passade sans prise de tête ; devinez qui c'est qui gagne à la fin... Comme dans toute comédie avec Doris Day, il y a le faire-valoir comique du personnage masculin principal joué par Tony Randall, sauf qu'il est joué par Gig Young, il y a aussi la bonne copine pince-sans-rire du personnage féminin principal jouée par Thelma Ritter, sauf qu'elle est jouée par Audrey Meadows. Et bien sûr dans le rôle masculin principal, il y a Rock Hudson sauf que c'est Cary Grant (j'aime bien Rock Hudson mais Cary c'est Cary !!!)... Pour tout avouer si j'ai regardé ce film avec l'insupportable Doris Day c'est uniquement pour Cary Grant, juste le mec le plus classe et le plus charismatique de tous les temps, juste le mec que j'aurais rêvé d'être. L'une des rares stars qui arriverait à me faire regarder n'importe quel film pour sa seule présence. Parce qu'autrement entre un scénario bien-pensant et des gags qui tombent tous à plat (le running gag avec le psychiatre est particulièrement pathétique dans ce sens !!!), difficile de trouver un quelconque autre intérêt à ce film entièrement insignifiant. Qu'est qu'on ne ferait pas pour Cary ???
Cette comédie romantique signée Delbert Mann réunit la charmante Doris Day dans le rôle d'une femme sans emploi et un Cary Grant vieillissant mais toujours aussi charismatique en millionnaire désinvolte et séducteur. Leur rencontre ne fait toutefois pas autant d'étincelles que prévues dans cette oeuvre agréablement désuète, éminemment sympathique mais pas inoubliable. Le film a aussi quelque chose de nostalgique malgré lui, puisque le classicisme de ce cinéma allait bientôt céder le pas à la modernité cinématographique. On ne boude en tout cas pas son plaisir devant ce film cocasse et divertissant, qui est aussi un document intéressant sur " l'American way of life" du début des années 1960.
Une comédie qui manque parfois de rythme mais certainement pas de charme (la présence de Cary Grant et de Doris Day aide à cela). On accepte aussi un final légèrement paresseux et on se réjouit surtout de voir des personnages tous aussi attachants les uns que les autres. Un film modeste, inégal mais pas désagréable.
13 955 abonnés
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3,0
Publiée le 2 février 2014
Ambiance rètro et nostalgique d'un temps rèvolu pour une comèdie de la Paramount des sixties souvent drôle avec une loufoquerie qui confère au film de Delbert Mann un charme volatil! Mais ce sont surtout la jolie frimousse de Doris Day et le tombeur de ces dames Cary Grant qui s'en donnent à coeur joie dans "That Touch of Mink". il se dègage quelque chose de Doris Day qui ressemble à de la puretè, de l'innocence et de l'honneur! En rendant un vison au sèducteur milliardaire Grant, son personnage de demandeuse d'emploi pas très chanceuse devient un symbole d'espoir pour toutes les malheureuses qui ont cèdè à un « soupçon de vison » . La rencontre des deux stars effectuèes, les sèquences s'enchaînent comme de bons sketchs où les gags sont rois (le lit multi-fonctions, l'excès d'alcool qui se termine par une chute sur un store...). On oublie, grâce à eux, un scènario assez gentil pour qui convoite la fourrure! C'est aussi l'occasion de voir les plateaux-repas de toute une èpoque où l'on pressait sur le fameux « Press Button Self » pour avoir son dèjeuner! De plus même en V.F, le plaisir persiste...
Une comédie romantique sans prétention mais néanmoins délicieuse. C'est raffiné, élégant, drôle et puis Cary Grant et Doris Day dans un même film ça ne se refuse pas.
C’est vraiment une charmante comédie sur le mariage avec des comiques de situations drôles et des quiproquos qui ne le sont pas moins. Il faut dire qu’avec des comédiens comme Doris Day et Cary Grant tout devient plus facile. La mise en scène est belle et les décors encore plus, nous sommes entraînés avec le couple dans de beaux endroits. Gig Young en troisième personnage y tient une place importante, il est lui aussi excellent. Les dialogues sont très subtils et montrent une grande connaissance de son auteur envers certains comportements hommes-femmes. La séquence se passant au restaurant dans lequel les plats se choisissent en les payant un à un est d’une grande originalité, la baffe que reçoit Roger en lieu et place de son assiette est très savoureuse pour les est a remarquer le manque de bisous entre les deux vedettes, pour un tel sujet c'est inhabituel même en 1962.