Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sommet baroque. (...) Même s'il utilise ponctuellement des effets numériques, Barney n'a rien d'un artiste virtuel ; c'est quelqu'un qui malaxe la matière, qui triture le réel avec une audace impossible dans le cinéma narratif. Barney a franchi la frontière. Il n'a pas de limites.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury et Elisabeth Lebovici
Les histoires des Cremaster se "produisent" à l'intérieur d'un corps indéfini, sans organes, tel que Deleuze et Guattari le rêvaient. Un corps cosmique : du jamais vu au cinéma. (...) Tout, absolument tout, dans les sept heures de Cremaster est ainsi : indescriptible, à force d'essayer.
Score
par Pete Wakefield
Ce n'est pas que les films soient inintéressants mais les récits, souvent sans dialogues et extrêmement maniérés, sont des visions symboliques d'événements qui sont moins importants que les images utilisées pour les évoquer. (...) Une suite de purs plaisirs sensoriels.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Marie Varasson
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
La force visuelle et mythologique des films de Barney demande juste qu'on s'y plonge comme dans un liquide amniotique.
Zurban
par Yasmine Youssi
C'est surtout l'aspect hybride de l'oeuvre qui fascine. (...) Du très grand art.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
La démarche est si outrecuidante et conceptuelle qu'elle peut provoquer un rejet radical. Toutefois, il règne dans ces enchevêtrements de visions hallucinées une folie dure qui a le bon goût de stimuler les mirettes, ainsi qu'une poésie hypnotique provoquée par la simple force des images et d'une bande-son singulière.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Matthew Barney occupe le temps de ce premier tome à montrer ces éléments, à en détailler le fonctionnement (...) Mais quel que soit le degré d'agitation des corps et des objets sur l'écran, le spectacle n'acquiert jamais la qualité vitale du cinéma, le temps n'y est pas à l'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gaël Golhen
Cinq "films" expérimentaux qui ne racontent pas grand-chose et font passer l'enveloppe avant le fond, permettant à l'artiste d'étaler ses "visions" fumeuses inspirées par Kubrick ou Greenaway.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Sommet baroque. (...) Même s'il utilise ponctuellement des effets numériques, Barney n'a rien d'un artiste virtuel ; c'est quelqu'un qui malaxe la matière, qui triture le réel avec une audace impossible dans le cinéma narratif. Barney a franchi la frontière. Il n'a pas de limites.
Libération
Les histoires des Cremaster se "produisent" à l'intérieur d'un corps indéfini, sans organes, tel que Deleuze et Guattari le rêvaient. Un corps cosmique : du jamais vu au cinéma. (...) Tout, absolument tout, dans les sept heures de Cremaster est ainsi : indescriptible, à force d'essayer.
Score
Ce n'est pas que les films soient inintéressants mais les récits, souvent sans dialogues et extrêmement maniérés, sont des visions symboliques d'événements qui sont moins importants que les images utilisées pour les évoquer. (...) Une suite de purs plaisirs sensoriels.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La force visuelle et mythologique des films de Barney demande juste qu'on s'y plonge comme dans un liquide amniotique.
Zurban
C'est surtout l'aspect hybride de l'oeuvre qui fascine. (...) Du très grand art.
aVoir-aLire.com
La démarche est si outrecuidante et conceptuelle qu'elle peut provoquer un rejet radical. Toutefois, il règne dans ces enchevêtrements de visions hallucinées une folie dure qui a le bon goût de stimuler les mirettes, ainsi qu'une poésie hypnotique provoquée par la simple force des images et d'une bande-son singulière.
Le Monde
Matthew Barney occupe le temps de ce premier tome à montrer ces éléments, à en détailler le fonctionnement (...) Mais quel que soit le degré d'agitation des corps et des objets sur l'écran, le spectacle n'acquiert jamais la qualité vitale du cinéma, le temps n'y est pas à l'oeuvre.
Première
Cinq "films" expérimentaux qui ne racontent pas grand-chose et font passer l'enveloppe avant le fond, permettant à l'artiste d'étaler ses "visions" fumeuses inspirées par Kubrick ou Greenaway.