Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Michel Palmiéri
Dans cette odyssée nostalgique, l'objectif importe moins que le chemin. Silhouette ascétique et visage sombre, Sam Shepard parcourt sans la voir l'immensité désolée des grands espaces de l'Ouest américain.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) Avec Don't come knocking, le cinéaste nous offre une oeuvre au moins aussi exceptionnelle que la Palme d'or 1984. Un film d'une rare beauté et riche émotionnellement. Du très grand cinéma.
Paris Match
par Christine Haas
Dans ce huit-clos à ciel ouvert, tandis qu'une formidable complicité artistique lie les thèmes existentiels de Shepard à l'imaginaire de Wenders, les sentiments tourbillonnent pêle-mêle, emportant [tous les acteurs] dans leur ronde de joies et de troubles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) le cinéma de Wenders, à l'aise aujourd'hui dans ses propres contradictions, dresse, avec beaucoup de liberté et de hauteur de vue, un constat inquiétant : nous avons perdu le droit de disparaître, le droit de se perdre. Les détectives privés nous retrouveront toujours.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Yara De Lima
Un univers à la limite de la rêverie, marqué d'un bout à l'autre par une image cinématographique absolument magnifique. On ressort de ce film apaisé et des étoiles plein les yeux. Que demander de plus !
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
(...) chronique d'une quête émouvante, intriguante, cocasse et colorée qui, dans la veine des westerns de John Ford, ruisselle d'humanité et vibre d'un chant d'amour dédié àl'Amérique et à ses légendes.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par François Forestier
Incontestablement, le film est beau et Wenders sait filmer les grands espaces, les néons, les bistrots, la route. Il y a des moments de grâce et le rythme si spécial du cinéaste, une sorte de lenteur méditative.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par S. L.
C'est admirablement écrit, avec un joli exercice d'équilibrisme entre ironie et richesse émotionnelle, mais un poil longuet (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Jean Roy
(critique cannoise)(...) le réalisateur laboure un champ qui n'est plus guère arpenté que par Clint Eastwood, celui du grand cinéma à l'ancienne avec sa distribution de rêve, ses collaborations techniques impeccables, la vérité psychologique des personnages, la foi dans le romanesque appuyé, le mythe du " poor lonesome cow-boy ".
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film souffre parfois de longueurs et de baisses de rythme, mais Wenders en fait une songerie prenante sur les décors et les décombres de la vie. Avec des paysages naturels ou urbains qui parlent d'une ancienne Amérique, et de beaux portraits de femmes, meurtries et pleines de jus.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Si l'histoire de ce Don Quichotte en jean est touchante, c'est parce qu'elle nous renvoie au désarroi d'un cinéaste aux abois, incompris, jadis glorieux et aujourd'hui dévalué, un second rôle que plus personne n'a envie de prendre pour son maître et qui cherche quelque chose d'exaltant à filmer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Classique jusqu'au bout des éperons, ce film est un modèle de dosage : émotion, désenchantement... Il plaira à tout ceux qui attendent du cinéma une armature puissante mais aussi une certaine féminité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Ghislain Loustalot
Wim Wenders et Sam Shepard (...) déroulent (...) le retour vers le passé d'un personnage maladroit et touchant qui a le droit à une seconde chance (...) Sublimement filmé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
(critique cannoise) Evitant le plus souvent le sentimentalisme, et faisant peu de cas de la vraisemblance, Don't come knocking renferme un humour pince-sans-rire, un imaginaire étonnant (...) et de grands moments d'émotions
Zurban
par Claire Vassé
"Don't come knocking" s'égare parfois dans une esthétique un peu clinquante mais réussit à mettre en scène des relations humaines très émouvantes - à commencer par les retrouvailles entre les deux anciens amants interprétés par Sam Shepard et Jessica Lange.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Ce personnage principal [Sam Shepard] voué par le film à une sorte d'effacement progressif, c'est aussi bien Wim Wenders lui-même (...) qui ici accomplirait un chemin vers les autres qui, non sans une grande dignité (...) ne lui vaudra aucun retour.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Thomas Sotinel
(critique cannoise) On dirait que le désir est toujours là, manque juste l'objet (...) Des moments de grâce (...) le film en offre des dizaines. Mais ce qui les unit, ce n'est plus la puissance d'évocation du temps de Paris Texas, quand Wenders partageait son éblouissement de conquérir l'Ouest armé d'une caméra.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Toujours aussi grandiose, sauvage et majestueuse dans ses espaces et ses paysages, [l'Amérique] a pris des allures de cimetière des illusions perdues (...) Wenders la peuple de personnages que Sam Shepard, donc, mais aussi Jessica Lange... ne parviennent pas à débarrasser de clichés convenus. Ceux d'une lourde démonstration, empesée et chargée.
Télérama
par Aurélien Férenczi
(critique cannoise) Wenders réussit quelques personnages secondaires (...) et s'offre des vrais plaisirs visuels et sonores (...) Mais dans l'Ouest, le vrai, où se dissout la cellule familiale, se perd aussi la densité potentielle de cette belle bulle un peu creuse.
Variety
par Todd McCarthy
(critique cannoise) (...) le tandem parvient à plaquer de jolis accords, même si certains passages sonnent faux et sont même parfois limite risibles.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Si le film contient certes des qualités sur ses deux longues heures de bobine, il n'en reste pas moins qu'on ressort de "Don't come knocking" extrêmement perplexe. (...) Pas détestable, pour sûr, mais maniéré et obsolète.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise) Virtuosité publicitaire au service d'une poésie à deux balles, personnages creux, désespérément creux, plus rien ne fonctionne (...) Le problème reste toujours ce satané changement d'époque, facteur que Wenders, plus négationniste que jamais, voudrait éluder (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morin
Wim Wenders (...) est rattrapé par ses vieux démons : une propension à la surcharge pondérale, un recours décontracté aux clichés, et qui plus est aux clichés de cinéma, et plus encore aux clichés du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
(critique cannoise) La première partie (...) ne ressemble pas à grand-chose sinon à la décoration d'un flipper au moment du tilt. Mais ce n'est rien à côté de ce que Wenders, en pleine autocitation, nous réserve ensuite (...) Gabegie esthétique frisant la laideur (...), Don't Come Knocking est un grand moment de n'importe quoi.
Télérama
par Marine Landrot
Souvent déplacée, l'application parodique de Wim Wenders contamine involontairement les moments de pathos (...) " Je viens d'arriver au bout de quelque chose... " maugrée finalement le héros, déçu par son pèlerinage en cul-de-sac. Comme Wim Wenders ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Dans cette odyssée nostalgique, l'objectif importe moins que le chemin. Silhouette ascétique et visage sombre, Sam Shepard parcourt sans la voir l'immensité désolée des grands espaces de l'Ouest américain.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(critique cannoise) Avec Don't come knocking, le cinéaste nous offre une oeuvre au moins aussi exceptionnelle que la Palme d'or 1984. Un film d'une rare beauté et riche émotionnellement. Du très grand cinéma.
Paris Match
Dans ce huit-clos à ciel ouvert, tandis qu'une formidable complicité artistique lie les thèmes existentiels de Shepard à l'imaginaire de Wenders, les sentiments tourbillonnent pêle-mêle, emportant [tous les acteurs] dans leur ronde de joies et de troubles.
Positif
(...) le cinéma de Wenders, à l'aise aujourd'hui dans ses propres contradictions, dresse, avec beaucoup de liberté et de hauteur de vue, un constat inquiétant : nous avons perdu le droit de disparaître, le droit de se perdre. Les détectives privés nous retrouveront toujours.
Score
Un univers à la limite de la rêverie, marqué d'un bout à l'autre par une image cinématographique absolument magnifique. On ressort de ce film apaisé et des étoiles plein les yeux. Que demander de plus !
Télé 7 Jours
(...) chronique d'une quête émouvante, intriguante, cocasse et colorée qui, dans la veine des westerns de John Ford, ruisselle d'humanité et vibre d'un chant d'amour dédié àl'Amérique et à ses légendes.
TéléCinéObs
Incontestablement, le film est beau et Wenders sait filmer les grands espaces, les néons, les bistrots, la route. Il y a des moments de grâce et le rythme si spécial du cinéaste, une sorte de lenteur méditative.
Brazil
C'est admirablement écrit, avec un joli exercice d'équilibrisme entre ironie et richesse émotionnelle, mais un poil longuet (...)
L'Humanité
(critique cannoise)(...) le réalisateur laboure un champ qui n'est plus guère arpenté que par Clint Eastwood, celui du grand cinéma à l'ancienne avec sa distribution de rêve, ses collaborations techniques impeccables, la vérité psychologique des personnages, la foi dans le romanesque appuyé, le mythe du " poor lonesome cow-boy ".
Le Figaroscope
Le film souffre parfois de longueurs et de baisses de rythme, mais Wenders en fait une songerie prenante sur les décors et les décombres de la vie. Avec des paysages naturels ou urbains qui parlent d'une ancienne Amérique, et de beaux portraits de femmes, meurtries et pleines de jus.
Le Monde
Si l'histoire de ce Don Quichotte en jean est touchante, c'est parce qu'elle nous renvoie au désarroi d'un cinéaste aux abois, incompris, jadis glorieux et aujourd'hui dévalué, un second rôle que plus personne n'a envie de prendre pour son maître et qui cherche quelque chose d'exaltant à filmer.
Le Parisien
Classique jusqu'au bout des éperons, ce film est un modèle de dosage : émotion, désenchantement... Il plaira à tout ceux qui attendent du cinéma une armature puissante mais aussi une certaine féminité.
Première
Wim Wenders et Sam Shepard (...) déroulent (...) le retour vers le passé d'un personnage maladroit et touchant qui a le droit à une seconde chance (...) Sublimement filmé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Evitant le plus souvent le sentimentalisme, et faisant peu de cas de la vraisemblance, Don't come knocking renferme un humour pince-sans-rire, un imaginaire étonnant (...) et de grands moments d'émotions
Zurban
"Don't come knocking" s'égare parfois dans une esthétique un peu clinquante mais réussit à mettre en scène des relations humaines très émouvantes - à commencer par les retrouvailles entre les deux anciens amants interprétés par Sam Shepard et Jessica Lange.
Cahiers du Cinéma
Ce personnage principal [Sam Shepard] voué par le film à une sorte d'effacement progressif, c'est aussi bien Wim Wenders lui-même (...) qui ici accomplirait un chemin vers les autres qui, non sans une grande dignité (...) ne lui vaudra aucun retour.
Le Monde
(critique cannoise) On dirait que le désir est toujours là, manque juste l'objet (...) Des moments de grâce (...) le film en offre des dizaines. Mais ce qui les unit, ce n'est plus la puissance d'évocation du temps de Paris Texas, quand Wenders partageait son éblouissement de conquérir l'Ouest armé d'une caméra.
Ouest France
Toujours aussi grandiose, sauvage et majestueuse dans ses espaces et ses paysages, [l'Amérique] a pris des allures de cimetière des illusions perdues (...) Wenders la peuple de personnages que Sam Shepard, donc, mais aussi Jessica Lange... ne parviennent pas à débarrasser de clichés convenus. Ceux d'une lourde démonstration, empesée et chargée.
Télérama
(critique cannoise) Wenders réussit quelques personnages secondaires (...) et s'offre des vrais plaisirs visuels et sonores (...) Mais dans l'Ouest, le vrai, où se dissout la cellule familiale, se perd aussi la densité potentielle de cette belle bulle un peu creuse.
Variety
(critique cannoise) (...) le tandem parvient à plaquer de jolis accords, même si certains passages sonnent faux et sont même parfois limite risibles.
aVoir-aLire.com
Si le film contient certes des qualités sur ses deux longues heures de bobine, il n'en reste pas moins qu'on ressort de "Don't come knocking" extrêmement perplexe. (...) Pas détestable, pour sûr, mais maniéré et obsolète.
Chronic'art.com
(critique cannoise) Virtuosité publicitaire au service d'une poésie à deux balles, personnages creux, désespérément creux, plus rien ne fonctionne (...) Le problème reste toujours ce satané changement d'époque, facteur que Wenders, plus négationniste que jamais, voudrait éluder (...)
Les Inrockuptibles
Wim Wenders (...) est rattrapé par ses vieux démons : une propension à la surcharge pondérale, un recours décontracté aux clichés, et qui plus est aux clichés de cinéma, et plus encore aux clichés du cinéma américain.
Libération
(critique cannoise) La première partie (...) ne ressemble pas à grand-chose sinon à la décoration d'un flipper au moment du tilt. Mais ce n'est rien à côté de ce que Wenders, en pleine autocitation, nous réserve ensuite (...) Gabegie esthétique frisant la laideur (...), Don't Come Knocking est un grand moment de n'importe quoi.
Télérama
Souvent déplacée, l'application parodique de Wim Wenders contamine involontairement les moments de pathos (...) " Je viens d'arriver au bout de quelque chose... " maugrée finalement le héros, déçu par son pèlerinage en cul-de-sac. Comme Wim Wenders ?