Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un mélange entre western et réalité provinciale à la française, qui fonctionne superbement grâce à des choix de mise en scène subtils et rigoureux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Ultime marque de goût, ADIEU PAYS se termine avec une ballade de Leonard Cohen, "That's no way to say goodbye", grave mais aérienne, belle à en frémir, intemporelle.
Première
par Sophie Grassin
Résultat : au bout d'1 h 25, on en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Claire Vassé
Un western à la française, plein de charme.
Aden
par Philippe Piazzo
Bien sûr, ce n'est pas du Rohmer : les dialogues sont épais ; le scénario, attendu. Et le tout est filmé de manière appuyée, à la façon des comédies télévisées des années 1980. Et pourtant, de cette bluette campagnarde, il se dégage une lueur sympathique : un petit côté anar, amateur, le zozotement de Philippe Garziano, et la fraîcheur d'Anne Azoulay, qui fait qu'on en garde une petite trace, comme d'une première histoire d'amour, forcément maladroite.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Mais, même si Adieu pays est moins "réussi" que L'Arche de Noé, par son mélange d'élan affectueux et de stylisation comique, il s'affirme plus que jamais prometteur.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Adieu pays devient presque crispant à rester ainsi dans un état permanent d'entre-deux, entre ce qui l'attire -un vrai parti-pris formel qui déboucherait sur une forme d'étrangeté brute et forestière- et ce qui le retient -la tentation d'en rester à un décalque de western englué dans la mollesse du film de famille figé. Il n'y a toutefois pas de raison de s'inquiéter : une fois véritablement lancé, le cinéma de Philippe Ramos ira très vite.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il faut croire que si ce film régional a bien le goût et la couleur du western, il n'en a pas tout à fait l'ampleur ni la dimension tragique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Frayant dans les mêmes eaux – retour à la province d'origine, dimension autobiographique, transplantation d'intrigues et de genres urbains en milieu champêtre, revitalisation de l'histoire du cinéma... –, Ramos n'a pas aussi brillamment converti son premier essai.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Qu'Adieu pays boite pas mal n'est du coup pas tout à fait incohérent : c'est le prix à payer pour sa valse-hésitation, pour son attachement ; c'est donc aussi son intelligence, sa sincérité et une large partie de son charme fragile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Le charme d'un film, ça tient parfois à peu de chose, à son accueil par exemple. Pour cela, Adieu pays est un film hospitalier, sans être obséquieux ni mielleux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Une naïveté qui confère un certain charme à ce western rural pince-sans-rire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Inrockuptibles
Un mélange entre western et réalité provinciale à la française, qui fonctionne superbement grâce à des choix de mise en scène subtils et rigoureux.
MCinéma.com
Ultime marque de goût, ADIEU PAYS se termine avec une ballade de Leonard Cohen, "That's no way to say goodbye", grave mais aérienne, belle à en frémir, intemporelle.
Première
Résultat : au bout d'1 h 25, on en redemande.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Un western à la française, plein de charme.
Aden
Bien sûr, ce n'est pas du Rohmer : les dialogues sont épais ; le scénario, attendu. Et le tout est filmé de manière appuyée, à la façon des comédies télévisées des années 1980. Et pourtant, de cette bluette campagnarde, il se dégage une lueur sympathique : un petit côté anar, amateur, le zozotement de Philippe Garziano, et la fraîcheur d'Anne Azoulay, qui fait qu'on en garde une petite trace, comme d'une première histoire d'amour, forcément maladroite.
Cahiers du Cinéma
Mais, même si Adieu pays est moins "réussi" que L'Arche de Noé, par son mélange d'élan affectueux et de stylisation comique, il s'affirme plus que jamais prometteur.
Chronic'art.com
Adieu pays devient presque crispant à rester ainsi dans un état permanent d'entre-deux, entre ce qui l'attire -un vrai parti-pris formel qui déboucherait sur une forme d'étrangeté brute et forestière- et ce qui le retient -la tentation d'en rester à un décalque de western englué dans la mollesse du film de famille figé. Il n'y a toutefois pas de raison de s'inquiéter : une fois véritablement lancé, le cinéma de Philippe Ramos ira très vite.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Il faut croire que si ce film régional a bien le goût et la couleur du western, il n'en a pas tout à fait l'ampleur ni la dimension tragique.
Le Monde
Frayant dans les mêmes eaux – retour à la province d'origine, dimension autobiographique, transplantation d'intrigues et de genres urbains en milieu champêtre, revitalisation de l'histoire du cinéma... –, Ramos n'a pas aussi brillamment converti son premier essai.
Libération
Qu'Adieu pays boite pas mal n'est du coup pas tout à fait incohérent : c'est le prix à payer pour sa valse-hésitation, pour son attachement ; c'est donc aussi son intelligence, sa sincérité et une large partie de son charme fragile.
Télérama
Le charme d'un film, ça tient parfois à peu de chose, à son accueil par exemple. Pour cela, Adieu pays est un film hospitalier, sans être obséquieux ni mielleux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
Une naïveté qui confère un certain charme à ce western rural pince-sans-rire.