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Marc Recha, on le voit, qui, agençant tous les éléments qui pour lui doivent faire un film, ne veut en rien mâcher la besogne au spectateur, est un cinéaste de plus en plus exigeant. On aimerait que ces spectateurs fassent l'effort de le suivre. Ce voyage dans un pays perdu en vaut la peine.
Il y a des moments composés comme on assemble des volumes et, dans leur creux, une élégance douce d'affection partagée, un sourire nimbé de désir, la peur, la solitude.
Ces images, ces dialogues morts-nés sont d'autant plus envoûtants que Les Mains vides diffusent une impression d'improvisation. Recha efface tout sentiment d'un récit trop contrôlé, s'efforce d'accueillir l'imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Près de la frontière espagnole, Marc Recha organise une sarabande drolatique entre marginaux qui circulent, festoient, s'affrontent et jouent au bonneteau avec un cadavre mystérieux.
Recha multiplie les plans-séquences, nimbe de la même énergie fraternelle temps forts et moments creux, et signe un film libre, vêtu de sa seule rudesse hivernale. A ces Mains vides, on souhaite des salles pleines.
Le charme même du film est parfois fuyant, mais un talent collectif soutient cette chronique de la croisée des chemins, poétique comme une peinture naïve, et vaguement surréaliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Une poignée de personnages qui traînent leurs questions existentielles tout au long de deux heures dix interminables dans une province-frontière symbolique...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Une oeuvre décousue et complexe dans laquelle le réalisateur espagnol suit le destin d'un trop grand nombre de personnages, auxquels on ne s'attache jamais vraiment.
Chose informe dans laquelle la souffrance des personnages se joint à la nôtre, Les mains vides échoue dans toutes ses ambitions outrecuidantes et provoque un sévère rejet du genre.
L'Humanité
Marc Recha, on le voit, qui, agençant tous les éléments qui pour lui doivent faire un film, ne veut en rien mâcher la besogne au spectateur, est un cinéaste de plus en plus exigeant. On aimerait que ces spectateurs fassent l'effort de le suivre. Ce voyage dans un pays perdu en vaut la peine.
Cahiers du Cinéma
Il y a des moments composés comme on assemble des volumes et, dans leur creux, une élégance douce d'affection partagée, un sourire nimbé de désir, la peur, la solitude.
Le Monde
Ces images, ces dialogues morts-nés sont d'autant plus envoûtants que Les Mains vides diffusent une impression d'improvisation. Recha efface tout sentiment d'un récit trop contrôlé, s'efforce d'accueillir l'imprévisible.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Près de la frontière espagnole, Marc Recha organise une sarabande drolatique entre marginaux qui circulent, festoient, s'affrontent et jouent au bonneteau avec un cadavre mystérieux.
Libération
En ôtant tout superflu au récit au point de le déconstruire, le Catalan livre une expérience de mise en scène réussie.
Première
Recha multiplie les plans-séquences, nimbe de la même énergie fraternelle temps forts et moments creux, et signe un film libre, vêtu de sa seule rudesse hivernale. A ces Mains vides, on souhaite des salles pleines.
Télérama
Le charme même du film est parfois fuyant, mais un talent collectif soutient cette chronique de la croisée des chemins, poétique comme une peinture naïve, et vaguement surréaliste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Aden
Une poignée de personnages qui traînent leurs questions existentielles tout au long de deux heures dix interminables dans une province-frontière symbolique...
MCinéma.com
Une oeuvre décousue et complexe dans laquelle le réalisateur espagnol suit le destin d'un trop grand nombre de personnages, auxquels on ne s'attache jamais vraiment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) pseudo-chronique sociale de la France profonde.
aVoir-aLire.com
Chose informe dans laquelle la souffrance des personnages se joint à la nôtre, Les mains vides échoue dans toutes ses ambitions outrecuidantes et provoque un sévère rejet du genre.