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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film est une horreur ! Aucun scénario hormis vers la fin (et encore ), des acteurs qui jouent très mal à se demander sil ne sagit pas dune parodie, un montage immonde, une musique omniprésente (rock typique US) pour cacher labsence de dialogues, une photo dégueulasse, scènes répétitives... La réalisation est un exemple de ce quil ne faut pas faire : la caméra sagite toute seule (aucun plan nest cadré), des ralentis pourris des années 80s toutes les deux scènes, une image granuleuse et sombre, des zoom sur les nez, les lèvres, les yeux à la Pitof dans Vidocq Des scènes stupides (une scène de sexe après un accident, quoi de plus naturel ?), gore, inutiles (on nous montre une scène pendant 10 minutes pour ensuite revenir en arrière avec effet magnéto pour nous dire que ça nest pas la bonne version ). Lun des pires films du mois et de loin.
Tout à saturation : couleurs horribles, montage haché, mise en scène saccadée, scénario à l'emporte-pièce, télescopage d'incessants flash-back, jusqu'à la nausée... Tony Scott en fait trop, beaucoup trop.
vous appellez cela un film keira jouant le role d'un mec ;d'un homace en mal de perversite ;mickey avachi et rabougri ;rien a voir avec angel heart ou l'annee du dragon ;des scenes tournees a la maniere du telephone cellulaire ;en somme :un enorme canular
Un film d'une abyssale imbécilité. Domino n'a rien pour lui: la mise en scène (si on peut appeler ça comme tel) est un insupportable hachis d'images toutes plus horribles les unes que les autres, le montage est épilepique et l'interprétation lamentable (en particulier Keira Knightley et Mickey Rourke). Si l'idée de base était plutôt intéressante, le film (inspiré d'une histoire vraie) gache tout son potentiel par la direction de Tony Scott, cinéaste à la carrière trés irrégulière (en comparaison avec son trés prenant Spy Game) et capable de tomber bien bas.
Ce film sous forme de mauvais clip MTV enchaîne les invraisemblances, les astuces de scénario grossières et surtout, surtout, les effets de style vus et revus, à vomir si l'histoire ne nous faisait pas mourir d'ennui. Keira Knightley prouve une fois de plus qu'elle est composée d'antimatière de comédie. Ses comparses se contentent du minimum syndical, avec mention spéciale pour Mickey Rourke et Christopher Walken qui s'ennuient à mourir dans leurs rôles sans personnalités, à l'instar d'ailleurs de tous les autres rôles du film.
Ce n'est pas un film, mais un clip d'1h30, avec des images qui ne dépassent pas les 3 secondes. J'en ai eu mal au crâne au bout de 5 minutes ! Je me demandais même si on avait pas mit quelque chose dans mon verre, mais non c'était bien Tony Scott, qui voulait peut être faire "djeunz". Je ne parlerais même pas de l'histoire qui est décalée aux années 2000 alors que tout se passe début 90 dans la réalité, ni du fait qu'on ne voit jamais Domino se droguer dans le film alors que c'était une junkie. Rien n'est crédible dans ce film, la façon de filmer donc, le scénario (faire des rebondissements et une histoire qui part dans tous les sens n'est pas un gage de qualité), l'interprétation (le plus mauvais film de Keira Knightley, sa 1ère erreur de film, elle en refera d'autre, mais ici elle n'est absolument pas réaliste), et le doublage (pour une fois que je le critique...) car voir Mickey Rourke avec la voix de Bruce Willis, et Keira Knightley avec celle de Joey Potter de Dawson, faut le faire ! De Tony Scott, je n'ai aimer que 2 de ces films, un tous les 10 ans ("Top gun" en 86 et "Ennemi d'état" en 98), j'attends encore 1 an ou 2 avant de voir un autre bon film de sa part.
Réalisation clipesque a vomir,on se croirais devant un mauvais clip de mtv.L'histoire est mal expliqué,on ne comprend pas tout(et a vrai dire on s'en fou).Un ratage complet.
Prévoyez un tube d'aspirine si vous comptez le voir en entier : c'est un peu comme regarder des clips MTV en accéléré pendant 1h30 (quoique même certains clips doivent avoir un scénario plus élaboré). Interdit aux épileptiques.
Avec Domino , Tony Scott réitére dans une réalisation épileptique , saturée de couleurs criardes , plus catastrophique que jamais accompagnée de musiques absolument insupportables avec effets playback des plus irritants . Insupportables les personnages le sont également , en particulier les afro-américains caricaturals et ridicules au possible . L'univers des chasseurs de primes est pourtant un sujet intéressant mais Tony Scott , après douze années de travail tout de même , fait seulement un film à l'intrigue simpliste se voulant pourtant recherché . Très rarement cela m'est arrivé mais pourtant j'ai vraiment cru que je n'arriverai pas à regarder ce film jusqu'au bout en particulier dans la deuxième heure où le film part dans un délire psychédélique des plus risible . Dommage pour Keira Knightley , très sexy et parfaitement à l'aise dans son rôle .
Tony Scott revient avec... Roulements de tambour... La même chose que d'habitude. Surprise ! Mais en plus cette fois-ci, non content de nous raconter une autre histoire sans queue ni tête (mais vraie bien entendue), il nous casse littéralement les yeux avec son montage clippé, pseudo branchouille révolutionnaire. Pire de minute en minute. Un vrai supplice.
Alors, là. J'avais pas dû lire le résumé au dos de la boîte avant d'acheter le DVD. Ca m'aurait stoppé net. Je dois dire que je n'ai vu que 20 minutes du film, mais je crois que ça suffit pour s'en faire une idée. La réalisation, d'abord. De la merde. Des séquences en accéléré succèdent à des plans au ralenti. Ajoutez là-dessus des fausses couleurs (merci Photoshop) et la gerbe guette. Keira Knightley. Alors, elle, en chasseur de prime, on y croit à peu près pendant 5 secondes. Le scénario. J'en connais que les grandes lignes. Un hold-up dans un casino, le patron du casino qui embauche des chasseurs de prime pour récupérer le magot. C'est pas original, ok, mais ça ne présage en rien de la qualité du film (voir Heat de Michael Mann).
Un film que je qualifierai... d'insupportable. une chose est sûre: c'est bien un film de Tony Scott et inutile d'attendre le générique de fin pour le savoir. Ce réalisateur a au moins le mérite d'avoir un style, je ne peux pas lui enlever ça. Il a cette faculté de donner à l'image une sorte d'effet brouillon, flou (comme un effet de superposition). Il aime utiliser cet effet visuel. Seulement dans ce film, il l'utilise et il en abuse pendant deux heures!!! Enervant! Impossible d'accrocher à l'histoire. Le seul intérêt de ce long métrage est de voir Christopher Walken et les acteurs de Beverly Hills qui pratiquent l'autodérision. Après "Man on fire" que j'ai vraiment adoré, "Domino" est une très très grande déception.