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Votre avis sur Domino ?
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Fille de l'acteur Laurence Harvey (dècèdè en 1973) et de Paulen Stone, mannequin vedette des sixties, Domino Harvey avait tout pour devenir Paris Hilton à la place de Paris Hilton! Sa vie sera autrement trèpidante! Fuyant très vite les dèfilès et les mondanitès, Domino devient à vingt-trois ans, en 1993, chasseur de primes! Sur ce destin hors normes et sur un script signè Richard Kelly ("Donnie Darko"), le regrettè Tony Scott radicalise ses expèrimentations visuelles amorcèes dans "Spy Game" et "Man on Fire". S'accordant pas mal de libertès avec la biographie de son hèroïne, il signe un « action movie » à la mise en scène fièvreuse et au montage saccadè! Dans le rôle titre, Keira Knightley crève l'ècran tout comme Mickey Rourke dans la peau de son mentor! La vraie Domino Harvey, elle, a eu moins de chance! En juin 2005, on l'a retrouvèe morte (sans doute d'une overdose) dans sa maison de West Hollywood! Elle avait trente-cinq ans et ètait sous le coup d'une inculpation pour trafic de stupèfiants! Elle risquait dix ans de prison! Histoire incroyable mais vraie, avec un casting ètonnant dans les seconds rôles! Parmi eux, deux vedettes de la sèrie « Beverly Hills 90210 » : Brian Austin Green et Ian Ziering qui jouent ici leur propre rôle...
FaRem
Un bon film qui s'appuie sur une histoire sympa et un très bon casting, sans plus même si très agréable à voir.
🎬 RENGER 📼
Après Man on Fire, Tony Scott arrive encore à me surprendre avec cette pure merveille !
Ce film au montage à la fois très spécial tant par ces " flash " répétitif et son côté " épileptique ", assurent au film une action du début à la fin.
Attention les rétines ! ! ! !
Keira Knightley toujours aussi éblouissante dans son rôle d'ex-mannequin reconvertie en chasseur de prime et n'oublions pas Mickey Rourke, égal à lui même.
Ce film au montage à la fois très spécial tant par ces " flash " répétitif et son côté " épileptique ", assurent au film une action du début à la fin.
Attention les rétines ! ! ! !
Keira Knightley toujours aussi éblouissante dans son rôle d'ex-mannequin reconvertie en chasseur de prime et n'oublions pas Mickey Rourke, égal à lui même.
AMCHI
Le début de Domino est plutôt prenant mais rapidement la mise en scène tape à l'oeil très épileptique de Tony Scott agace et donne mal à la tête.
lhomme-grenouille
Caméras épileptiques, traitement de l'image nauséeux et personnages caricaturaux au possible. Tony Scott enchaîne toutes les fautes de goût dès les cinq premières minutes de son film si bien que l'on a déjà envie de partir pendant que le générique de début passe à l'écran. Tous ceux qui espéraient la mise en valeur d'un personnage ambigu doivent passer leur chemin! La domino Harvey que nous sert Scott est une pin-up tout droit sorti d'un clip de R n'B qui fait des streap-teases pour savoir où se cachent ceux qu'elle cherche (authentique, je ne ment pas!)En somme, si par le plus grand des hasards Tony Scott venait à tomber sur cette critique, je lui conseillerai vivement de retourner faire des pubs pour des 4X4 et des gels douches car il n'a rien compris au cinéma.
NeoLain
Epileptico ! Montage épileptique très MTV, absence de substance scénaristique. Collage de scènes très bavardes aux personnages décalés et de fusillades à la Peckinpah où zoom, filtres, flash-back, faux-raccords sont convoqués grossièrement pour maintenir le rythme à défaut d'attention ou d'un quelconque intérêt pour ces personnages broyés par la mise en scène. Il y a plus de cinéma dans une scène de fusillade d'un film de Michael Mann ou bien de John Woo que dans toute la filmographie violente de Tony Scott. Un sujet de base qui aurait pu donner un bien meilleur résultat. On s'ennuie à la longue malgré un casting à la hauteur, la faute à un montage anarchique et décousu. A préférer du même réalisateurs : Man on fire
Mal de crâne assuré pour ce thriller épileptique qui raconte le destin embrûmé d'une ex-mannequin devenue chasseuse de primes dans le Los Angeles interlope des années 90. Tony Scott n'a jamais été aussi loin dans sa démarche radicale de sursaturer l'image,de surdécouper,de filter à lextrême les couleurs. Le tout fait de "Domino"(2005)un gros patchowrk ultra-speedé,techniquement impressionnant mais qui donne le tournis et qui est incapable de se poser le temps d'une scène entière. Ce n'est pas ma conception du cinéma,même si l'on peut pardonner bien des choses à l'irrésistible bad ass Keira Knightley!
Si sur le papier, l'histoire était intéressante et le casting alléchant, le résultat sur l'écran est vraiment décevant. La mise en scène de Tony Scott qui se veut dynamique finit par devenir lourde et à donner mal au crâne. On peut filmer à sa manière une séquence mais un film entier, c'est vraiment horrible. Le scénario est intelligent mais sous-exploité à l'image du casting qui aurait pu faire mieux (on a connu Keira Knightley et Mickey Rourke en meilleure forme). Un plantage total.
Un réalisateur a parfaitement le droit de faire du cinéma expérimental, le spectateur a parfaitement le droit de juger le résultat catastrophique et de le dire. Ici il faut supporter les couleurs saturées, les cadrages abominables, le montage hystérique, tout cela au service d'une histoire qu'on jugera incompréhensible ou mal racontée (ce qui revient un peu au même) dans laquelle tout plaisir et tout intérêt sont absents. Même la distribution ne suit pas, on a rarement vu Walken aussi mauvais, quant à Keira elle n'est même pas mise en valeur, même si elle a l'extrême obligeance de nous montrer ses nénés pendant 5 secondes.
Julien D
Véritable quintessence de la nouvelle tendance dans le cinéma d’action visant à en amplifier la confusion grâce à une caméra au poing branlante et un montage épileptique (une mouvance initiée par La mort dans la peau sortie un an plus tôt), l’enveloppe formelle de Domino jouit également d’une photographie saturée de couleurs explosives et autres effets de flashs qui lui donnent sa facture si particulière. En plus de cet étalonnage et cette narration aussi violents que ses personnages, le fait de savoir que Tony Scott a confié, pour la réaliser, à Richard Kelly l’écriture d’une fiction autour du véritable et impressionnant parcours de Domino Harvey, qui malheureusement s’est éteinte peu de temps après fait un rapide caméos à la fin du film, donne davantage de crédit à cette série B ultra-testostéronée et le regard mordant qui y est porté sur le rapport entre les médias et la violence urbaine lui apporte une dimension plus profonde. Si cette mise en scène clipesque devient vite abrutissante et rend la plupart des échanges de coups de feu (en particulier la fusillade finale) parfaitement illisibles, l’excellent casting (à commencer par Keira Knightley qui nous offre une de ses prestations les plus intenses mais aussi Brian Austin Green et Ian Ziering qui font preuve d’une autodérision tordante) participe à faire de ce divertissement survitaminé une source de bonnes surprises et donc un bien bon moment à passer.
Un film très intéressant.
A la réalisation tranchante et dynamique, Domino embarque le spectateur dans un récit vif, sans temps mort.
Visuellement attrayant, le film nous prouve une nouvelle fois que Tony Scott maîtrise la mise en scène et les effets visuels.
Telle une hallucination, Domino nous procure une sensation d'échappatoire, d'évasion tant physique que psychologique.
Enfin, la BO est méticuleuse et emmène ce film du début à la fin au son des rifts Rock'n'roll ravageurs, démoniaques.
Le jeu des acteurs est correct pour l'ensemble.
En conclusion, Domino est un ovni du cinéma d'action.
Déjanté, il scotche littéralement le spectateur dans son fauteuil.
A la réalisation tranchante et dynamique, Domino embarque le spectateur dans un récit vif, sans temps mort.
Visuellement attrayant, le film nous prouve une nouvelle fois que Tony Scott maîtrise la mise en scène et les effets visuels.
Telle une hallucination, Domino nous procure une sensation d'échappatoire, d'évasion tant physique que psychologique.
Enfin, la BO est méticuleuse et emmène ce film du début à la fin au son des rifts Rock'n'roll ravageurs, démoniaques.
Le jeu des acteurs est correct pour l'ensemble.
En conclusion, Domino est un ovni du cinéma d'action.
Déjanté, il scotche littéralement le spectateur dans son fauteuil.
L'idée de base, tirée d'une histoire aussi véridique qu'invraisemblable, était plutôt bonne : Domino Harvey, l'ex-mannequin devenue chasseuse de prime, est un sujet explosif, un thème bourrin et violent que Tony Scott pouvait gérer les doigts dans le nez. Mais entre le biopic romancé et le film d'action pétaradant, le réalisateur anglais ne sait pas vraiment où aller et se prend un peu les pieds dans les plats. Car outre sa mise en scène comme d'habitude clippesque (voire ici un peu trop), des baisses de rythme en pagaille et des effets de style trop nombreux donnent l'impression de voir un clip de deux heures muni de quelques dialogues plutôt qu'un véritable long-métrage d'action réfléchi. Image jaunie et saturée , montage épileptique, surdécoupage des scènes et chronologie discontinue à la Tarantino... Tony Scott veut en mettre indéniablement plein la vue. Niveau casting, il choisit du lourd : Keira Knightley, cheveux courts, tatouages et fringues crados, casse avec brio son image en incarnant cette bad girl atypique tandis que l'oublié Mickey Rourke fait un retour fracassant aux côtés du méconnu Édgar Ramírez (une véritable révélation). Pour le reste, nous avons droit au fidèle Christopher Walken, toujours aussi bienvenu, Lucy Liu et même des guest stars inattendues au rôle finalement primordial à l'histoire... Mais le film est long, trop long et, arrivé à la moitié du métrage, on commence à décrocher. De plus, bon nombre de scènes inutiles viennent également alourdir le métrage de longueurs malvenues comme la séquence avec les latinos, sexy mais vaine, ou encore la scène d'amour entre Domino et son comparse Choco. Ainsi, à trop vouloir en faire et en délaissant très souvent un scénario pourtant excellent (signé par le brillant Richard Kelly), Tony Scott ne remplit pas toutes les parts du contrat, son 13e long-métrage restant tout au plus un bon petit spectacle aussi inégal que parfois spectaculaire.
Lorsque l'intrigue commence à se dérouler et on a soudain l'impression d'avoir pris une surdose d'amphétamines. Les choses n'ont plus aucun sens je ne voudrais pas gâcher le plaisir de regarder le film en donnant certaines scènes mais là encore il est tellement mauvais qu'il vaut mieux ne pas les regarder. On pense d'abord qu'il s'agit d'une histoire de crime racontée dans une conversation entre Keira Knightley et Lucy Liu. Mais cette conversation ne fournit aucun récit cohérent. Puis j'ai pensé qu'il s'agissait peut-être d'un film sur une fille issue d'un milieu aisé mais dysfonctionnel qui est devenue une dure chasseuse de primes. En tout cas c'est le message véhiculé par les premières scènes. Mais après cela la question du caractère de Domino est entièrement perdu au profit de l'intrigue criminelle. Donc en résumé ce n'est pas un film sur le personnage de Domino. Puis j'ai pensé c'est probablement l'histoire d'un vol assez sanglant. Dix millions de dollars ont disparu des chasseurs de primes pourchassent les suspects des mafieux sont exécutés Domino essaie de comprendre pourquoi cette fois ils n'ont pas de certificat de prime. En outre il y a de nombreuses autres intrigues secondaires le fou afghan qui veut libérer l'Afghanistan, l'histoire d'amour entre Domino et Chocco l'épisode de la mescaline l'opération de surveillance du FBI. Est-ce que toutes les choses mentionnées ci-dessus peuvent être emballées dans un film cohérent de 2 heures jugez par vous-même mais ma conclusion est claire c'est un véritable gâchis...
Redzing
Tony Scott nous livre un film s'inspirant de la vie de Domino Harvey, ancienne mannequin reconvertie en chasseuse de primes à Los Angeles (et décédée peu après le tournage...). Malgré ce que suggère le titre et le début du long-métrage, "Domino" ne se centre finalement pas tant que ça sur ce personnage électrique, mais plutôt sur une intrigue mêlant mafia, casino, chasseurs de primes pourris, et autres embrouilles. Ce scénario n'est pas inintéressant (tant au niveau des idées que des rebondissements), et les acteurs sont plutôt convaincants. Cependant le gros problème du film est sa forme. Spécialiste des films clipesques, Tony Scott pousse ici son style jusqu'à son paroxysme, avec des images criardes, des plans dans tous les sens, et un montage complètement épileptique qui donne rapidement mal au crâne. Malgré son scénario sympatoche, "Domino" tient plus du trip sous acide que du thriller d'action.
Je n’ai pas du tout aimé Domino. Ce film à gros budget est plat et sans aucun intérêt. La mise en scène de Tony Scott est correcte mais je n’ai pas du tout aimé l’histoire et le scénario est parfois mal ficelé. Les acteurs comme Keira Knightley, Mickey Rourke ou encore Édgar Ramírez sont peu convaincants et pour finir je me suis ennuyé. Bref ça vaut un 06 / 20.
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