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landofshit0
278 abonnés
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0,5
Publiée le 4 juillet 2008
Ce truc est le parfait manuel de comment faire pour cacher la faiblesse de son scènario par une mise en scène sur vitaminé sans y arriver.Dans ce domaine Tony Scott semble etre un maitre,car tout est sur exageré,les effets,la saturation des couleurs,les flashbacks.Et biensur comme tout film de braquage on échappe pas aux ralentis dès l'arrivé d'un nouveau personnages suvit d'une pose et d'un gros plan avec une voix off et le nom sur le coté qui s'affiche,cliché ça???NON!!!!!Tout ça afin de faire croire a l'histoire complexe,et qu'il est très important de bien saisir la personalité de chacun d'entre eux car sinon c'est mort.Il vous faudra vous retaper le film en entier afin de comprendre tout ce qu'il vous a échappé,(non s'il vous plait je veux pas le voir deux fois).Ce temps de mise en place dure 1h,bourré de choses complétement inutiles sur le passé de chacun.Quand a la suite c'est la meme chose avec le dénoument de l'histoire trop pas complexe.On est vraiment soulagé a l'arret de se défilement d'images a rendre meme votre fauteuil épileptique.
Je retrouve Keira Knightley avec grand plaisir dans un notre registre . Bon scénario que celui de la fille d'une mère en quête d'homme riche , cette fille endurcie par sa vie , son histoire , trouvera sa voie , la voie de la violence dans un "métier" réservé au homme fort. La suite est une série de péripétie auquel elle devra échapper , elle et sa petite équipe de chasseur de prime . Mais à quel prix...
Epileptico ! Montage épileptique très MTV, absence de substance scénaristique. Collage de scènes très bavardes aux personnages décalés et de fusillades à la Peckinpah où zoom, filtres, flash-back, faux-raccords sont convoqués grossièrement pour maintenir le rythme à défaut d'attention ou d'un quelconque intérêt pour ces personnages broyés par la mise en scène. Il y a plus de cinéma dans une scène de fusillade d'un film de Michael Mann ou bien de John Woo que dans toute la filmographie violente de Tony Scott. Un sujet de base qui aurait pu donner un bien meilleur résultat. On s'ennuie à la longue malgré un casting à la hauteur, la faute à un montage anarchique et décousu. A préférer du même réalisateurs : Man on fire
Caméras épileptiques, traitement de l'image nauséeux et personnages caricaturaux au possible. Tony Scott enchaîne toutes les fautes de goût dès les cinq premières minutes de son film si bien que l'on a déjà envie de partir pendant que le générique de début passe à l'écran. Tous ceux qui espéraient la mise en valeur d'un personnage ambigu doivent passer leur chemin! La domino Harvey que nous sert Scott est une pin-up tout droit sorti d'un clip de R n'B qui fait des streap-teases pour savoir où se cachent ceux qu'elle cherche (authentique, je ne ment pas!)En somme, si par le plus grand des hasards Tony Scott venait à tomber sur cette critique, je lui conseillerai vivement de retourner faire des pubs pour des 4X4 et des gels douches car il n'a rien compris au cinéma.
L’histoire de cette jeune femme issue de la Bourgeoisie américaine qui vire dans le super glauque monde des chasseurs de prime est indiscutablement intéressante. L’inconvénient est que Tony Scott ne semble pas être seulement animé par le désir de nous faire partager son intérêt pour son sujet. Il semble surtout vouloir nous imposer sa fascination, voire sa servilité pour le personnage de Domino. De très nombreuses scènes interminables de longueur semblent n’avoir d’utilité que pour rabâcher la fascination de Dominette sur les autres personnages. Chose que le spectateur même abruti de sommeil ou torché de bière avait compris dès la première demi heure. Les lourds et longs tartinages de violence stylisée par des filtres, cadrages et plans super branchouï, la narration, certes complexe car chronologiquement inversée, mais archi déjà vue, tout cela montre que Scott a plus tenté une opération de tape à l’œil, doublée d’un auto plagia de son excellent « True Romance » plutôt qu’une opération véritablement créatrice et novatrice.
Et allez, on met des effets de montage toutes les deux secondes, on fait une mise en scène spectaculaire, des personnages marginaux branchés, des dialogues qui tuent, et on trouvera forcément des imbéciles qui feront de ce "Domino" leur film culte! Oh ouai! Vive la subtilité de Tony Scott, vive son élégance! Parce que là, on a droit à tous les stéréotypes et conneries du genre! Keira Nightley grotesque, mais bon, bien roulée (on voit ses seins! :bave: ), alors on la prend. Mickey Rourke, ça fait 20 ans qu'il aurait dû arrêter, mais comme il a des gros bras, on le prend. Et puis c'était vraiment l'idée du siècle, ce réquisitoire émouvant sur l'Afghanistan! D'ailleurs on en pleure presque. Mais bon, pour sécher nos larmes (héhé), y a de l'humour dans ce film. Mais c'est pas vraiment grâce à lui qu'on rigole. On rit pas le moindre instant même... À la rigueur, si le côté nanar avait totalement été assumé, ça aurait pu être drôle... Mais non, même pas (peut-être un tout petit peu). En clair, une daube odieuse, qui ne mérite pas même d'être téléchargée.
Un réalisateur a parfaitement le droit de faire du cinéma expérimental, le spectateur a parfaitement le droit de juger le résultat catastrophique et de le dire. Ici il faut supporter les couleurs saturées, les cadrages abominables, le montage hystérique, tout cela au service d'une histoire qu'on jugera incompréhensible ou mal racontée (ce qui revient un peu au même) dans laquelle tout plaisir et tout intérêt sont absents. Même la distribution ne suit pas, on a rarement vu Walken aussi mauvais, quant à Keira elle n'est même pas mise en valeur, même si elle a l'extrême obligeance de nous montrer ses nénés pendant 5 secondes.
0/20 : Tout d’abord, la mise en scène est tout bonnement abjecte (filtre jaune hideux, générique d’entrée tout simplement laid semblant être fait par un amateur, utilisations de ralentis lamentables et d’accélérations ridicules). Concernant les acteurs, Keira Knightley, tenant le rôle principal de Domino Harvey, nous livre une interprétation ni bonne, ni mauvaise (donc passable). Son personnage n’est pas attachant et peut même parfois nous agacer par son arrogance. Mickey Rourke, jouant le rôle d’Ed Moseby, est un personnage complètement effacé et sans grand intérêt. Celui-ci a été sélectionné seulement pour son nom, sa gueule burinée et sa carrure baraquée. Edgar Ramirez, interprétant le rôle de Choco mène une histoire d’amour superflue et faite à la va-vite avec Domino. Pour le reste du casting, Lucy Liu, Christopher Walken ou encore Mena Suvari, tiennent des rôles secondaires inintéressants. Sans oublier les scènes censées être drôles qui tombent à plat, la scène d’amour entre Choco et Domino qui est totalement ringarde (faisant penser à une pub de parfum) et le déplaisir que nous avons à regarder cette succession d’images esthétiquement désagréable. DOMINO est un film ennuyeux au plus haut point, dénué de tout intérêt. A fuir absolument !
Après Man on Fire, Tony Scott arrive encore à me surprendre avec cette pure merveille ! Ce film au montage à la fois très spécial tant par ces " flash " répétitif et son côté " épileptique ", assurent au film une action du début à la fin. Attention les rétines ! ! ! ! Keira Knightley toujours aussi éblouissante dans son rôle d'ex-mannequin reconvertie en chasseur de prime et n'oublions pas Mickey Rourke, égal à lui même.
Un film d'action qui ne pousse pas à la réflection, juste un moment de détente qui nous porte avec Mickey Rourke sur le retoUr de l'époque et Keira Knightley et en guest des acteursde Beverly Hills. PLV : juste de la détente.
Tony Scott tente de mettre un peu de fun dans sa mise en scène, trop même, ce qui en deviendra rapidement écœurant... "Domino" est relativement lourd à digérer, tant il ne se passe pas grand chose, et tant l'histoire n'emballe pas. On cherche encore les bonnes trouvailles, les plans dégoulinant de jaune au cadrage faussement stylé agressent l’œil, la redondance de cette voix off en mode magnétophone... cette surdose de tentative de "new touch" agasse sur deux heures de bobine. Difficile de trouver du plaisir face à cette bande de chasseurs de primes.
En dépit d'une bande-annonce alléchante et d'un sujet pour le coup vraiment original, le tâcheron (a.k.a Ridley Scott) nous livre un énième film de bandits et de flingues avec des scènes épileptiques de-la-mort-qui-tue. Et pourtant le film avait de quoi intéresser s'il nous avait réellement fait comprendre la vie de Domino Harvey, ce qui a poussé une fille du show-biz à devenir chasseur de prime, mais non. Ridley Scott, comme à son habitude, préfère tout miser sur les effets de photographiques, images léchées, déformées, baveuses, etc. plutôt que de passer du temps et de l'énergie pour que l'on s'attache à Domino et livrer des réflexions qui ne manquaient pas : la corruption par l'argent, la violence aux USA, le culte des armes. On suit donc, avec en plus un côté "religieux destin sauver le monde par des petits rien et sauver vos âmes", où nos trois compères, sorte de nouvelle Trinité armés de calibre 12, emmenés par un gros dur baroudeur (Mickey Rourke), un gentil garçon romantique Choco-blanc qui se transforme en un psychopathe, Choco-Dark, lorsqu'il relâche sa queue de cheval, et une ancienne mannequin qui joue la dure et veut faire comme les grands (Keira). Heureusement qu'elle est là, la sublime Keira Knightley, au moins, elle fait passer le temps (joli postérieur en passant). Le plus étonnant reste que les fans de Ridley soient incapable de voir les similitudes (effets de déjà-vu) dans la filmographie du benjamin Scott : toujours le même final depuis True Romance. Et puis Domino-poisson-rouge (ceux qui ont vu le film comprendront) revient chez maman-chérie et tout est bien qui finit mieux, terminée la vie de gangster et l'adrénaline (ou la mescaline, au choix), la vie d'une fille d'acteur pété de tunes, c'est quand même mieux pour se la couler douce dans sa piscine à Beverly Hills.
Un divertissement honnête et qui ne manque ni de charme, ni de personnalité. Et si l'histoire de la vraie Domino est ici quelque peu romancée, c'est au profit d'une dynamique qui met en valeur une réalisation stylée et des acteurs qui semblent s'en donner à coeur joie. Mickey Rourke est, comme toujours, très à l'aise dans le rôle du vieux baroudeur un poil cynique et la délicieuse Keira Knightley prouve qu'elle est capable de changer de registre avec brio, même si cela n'atteint pas sa performance cultissime dans "Orgeuil et Préjugés". Bref, tout pour passer un bon moment.