Derniers Avis : Star Trek : Premier contact - Page 4

Sans le duo mythique formé par le capitaine Kirk et monsieur Spock, Star Trek n’est plus qu’un support à de la science-fiction de série Z. Alors que le septième épisode, qui devait avant tout servir de chainon scénaristique entre les deux séries de films, fut un échec cuisant, Jonathan Frakes semble avoir voulu en reprendre tous les éléments dont les vilains Borgs, ces extraterrestres mi-robots mi-zombis absolument grotesques et ses personnages dénués du charisme qui donnait son charme aux anciens membres du vaisseau. Le scénario se basant sur un retour dans le temps comporte quelques bonnes idées, dont surtout celle de servir de prétexte à expliquer l’évolution de l’humanité entre les 21ème et le 26ème siècle, mais est finalement trop peu original et mal exploité pour nous offrir une histoire captivante mais uniquement un film fade dénué de suspense et d’action.

Star Trek premier Contact de 1996 avec Patrick Stewart que l'on retrouve dans le rôle du professeur X dans les X-mens... Ici l'histoire se base sur les Borgs qui tentent de changer l'histoire.. Une grand partie du film se concentre a l’intérieur du vaisseau l'Enterprise avec un équipage semblant absent derrière l’écran on y vois seulement notre Capitain Picard dans une longue mise en scène avec l'ennemi .. Certes c'est plutôt bien fait avec un bon acteur mais il manque cruellement d'action générales on a droit a des scenes intergalactiques au début du film mais on reste sur notre faim...James Cromwell qui joue le rôle de l'homme qui vas changer l'histoire sur Terre apporte un peu de Rock & Roll au film..Mais Le fait de voir seulement les Borgs a l’intérieur d'un vaisseau nous renfermes encore plus... Une petite escapade sur Terre pour rétablir le passé et le film se termine , dommage je m'attendais a mieux et cet opus ne marquera pas la franchise Star Trek..

• Actions / Effets Spéciaux: 5.9 / 10
• Scénario : 6 /10
• Crédibilité des Acteurs: 6.4 /10
• Bluraythèque: Oui

Grand succès aux Etats-Unis lors de sa sortie en 1996, First Contact s'avère être l'épisode le plus cinématographique et le plus spectaculaire de la saga Star Trek. Huitième film qui en compte aujourd'hui douze, c'est à Jonathan Frakes alias le commandant Reeker d'avoir mis en boîte celui qui est considéré comme le meilleur épisode de l'arc "Picard". Certainement plus inspiré que Nimoy et Shatner avant lui, Frakes donne le ton lors d'un prologue à la fois impressionant et révélateur des nouvelles ambitions de la franchise : le spectacle. Là où les épisodes précedents jouaient davantage la caractérisation plutôt que l'action à la Star Wars (ce que Star Trek a l'honneur d'avoir évité avec intelligence, évacuant toute comparaison inutile, donc), on a donc ici la première incursion d'un cinéma hautement divertissant quoique imparfait dans l'exécution de ses thématiques et de ses pistes narratives. Picard, qui lutte contre son côté Borg suite à un ancien et marquant épisode de la saison trois de The Next Generation, il lutte ici à l'extrême pour interrompre leur plan maléfique qui vise à interrompre le premier contact établi avec les vulcains, première manifestation extraterrestre qui a bousculé l'Humanité pour enfin devenir cet espace humaniste que Roddenberry a savamment et intelligemment créé. Un plongeon dans les racines de l'univers du créateur puisque les personnages sont projetés en plein XXIème siècle quelque temps après une Troisième Guerre mondiale ayant ravagé le monde comme il est dit lors d'un dialogue annonciateur des évènements pré-Star Trek.
Nous voilà donc plongés en plein XXIème siècle sur une base menant un projet plus qu'ambitieux, puisqu'il s'agira d'un lancement de fusée qui effectuera le premier "warp" de l'Histoire, ce que les borgs tentent de saboter durant tout le métrage. Une narration superposée, d'un côté les humains sur Terre, de l'autre les borgs ayant capturé l'androïde Data afin de le recoufigurer et le transformer en borg. Des liens s'ffectuent entre la chef borg, sorte d'être aux trois quarts machine, le reste vaguement humain et Data, donnant lieux à des scènes captivantes, à la fois malsaines et intenses. De l'autre, les officiers de l'Enterprise nouent des liens avec Cochran l'inventeur quelque peu alcoolisé du premier Warp Drive.
Ce First Contact, tout en étant particulièrement spectaculaire dans ses scènes de batailles spatiales est pour le moins alléchant en tant que pure film de science-fiction mélangeant voyage dans le temps et intéraction humaine entre présent XXIème siècle et XXIIIème siècle, opposant donc un monde dans le déclin, un futur humaniste, le tout parasité par une vision bélliqueuse des Borgs souhaitant dominer toute espèce vivante.
Alors oui, la vision quelque peu série B (souvent très "zombie-like" pour ce qui est des borgs), un final légèrement beauf (les vulcains visitent des humains qui se bourrent la gueule ... pas très glamour cette vision des hommes) parasitent ce Star Trek-là, mais n'empêche qu'il s'agit d'un des meilleurs films de la franchise avec les épisodes II et VI et IX.

Premier véritable long-métrage mettant en scène uniquement les personnages et l'univers de "Star Trek : The Next Generation", ce huitième opus délaisse la médiocrité du précédent film pour se consacrer à une aventure riche en action et en rebondissements, renouant brillamment avec l'esprit de la série. Remettant sur le tapis les fameux Borgs (nouveaux extra-terrestres à moitié bioniques issus de la série TV), Premier contact se révèle être un long-métrage très sombre, jouant avec la part d'humanité du Capitaine Picard, lui qui a été autrefois asservi par les terrifiants aliens... Le scénario, rocambolesque au possible, nous entraîne dans le passé, au 21e siècle plus précisément, la veille du Premier Contact, jour historique où humains et extra-terrestres issus de différentes galaxies se sont enfin rencontrés, créant dès lors une alliance entre les différentes races de l'univers. C'est ce jour-ci que les Borgs veulent empêcher en retournant dans le passé et en tentant de tuer l'homme responsable de cet évènement historique. Mais c'est sans compter sur les membres du fringant nouveau Enterprise-E qui va tout faire pour contrer les Borgs. Autour d'une mise en scène incroyablement dynamique et surtout visuellement époustouflante (la meilleure à ce jour), ce huitième film joue donc la carte de l'action et de l'originalité. Les néophytes auront bien sûr du mal à connaitre les nombreux personnages mais les fans s'amuseront à nouveau des incompréhensions humaines de l'androïde Data, des répliques fumeuses de Picard et son second Riker sans oublier la bestialité du Lieutenant-Commandant Worf et l'incroyable prestation d'Alice Krige dans la peau d'une Reine Borg aussi séduisante que terrifiante. Ainsi, outre son fantastique scénario, son approche beaucoup moins bavarde et son humour plus contenu, Star Trek : Premier contact bénéficie aussi de monstrueux effets visuels surprenants d'efficacité, que ce soit pour la conception de la Reine Borg, lors de combats explosifs encore de plans larges hallucinants (le plan d'intro pour ne citer que lui). Jonathan Frakes (qui campe le Commandant Riker) est visiblement autant à l'aise devant que derrière la caméra pour sa première réalisation. On le félicite, ce huitième film étant tout simplement l'un des meilleurs de la saga et le meilleur de celle tirée de "The Next Generation".

sympa mais sans plus. les deux thématiques sont : Les borgs envahissent l'enterprise et la situation devient rapidement critique + Cochrane et la première rencontre avec les vulcains.
Autant les borgs sont "sympathiques", autant l'histoire avec Cochrane est plus que médiocre, voire complétement tiré par les cheveux. A voir pour les fans.

un film à destination exclusive des fans de la série, les autres spectateurs seront mis sur la touche.
PLV : aux fans de la série

Un nouveau Star Trek découlant de la série Next Generation. C'est long, ça n'apporte rien, c'est sans grand intérêt mis à part les effets spéciaux qui sont assez sympathiques et Patrick Stewart digne remplaçant du Capitaine Kirk en temps que leader de l'enterprise.

Comme souvent l'ouverture d'un volet de Star Trek se passe formidablement bien, tant sur le plan visuel et que les personnages nous paraissent plaisant, action bataille galactique. Par la suite je m'y intègre moins, même si l'histoire peut sembler intéressante (bombe nucléaire, 3ème guerre mondiale, Borg), j'y arrive pas avec un total enthousiasme à bien apprécier le tout, l'univers de la nouvelle génération me laisse assez froid. Fin de contact...

le meilleur film de la franchise NEXT GENERATION qui allie action-suspense et humour

Star Trek : Premier contact est un bon film de science-fiction de Jonathan Frakes. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est travaillé et intéressant, j’ai bien accroché à l’histoire, les effets spéciaux fonctionnent correctement et les acteurs comme Jonathan Frakes, Patrick Stewart ou encore Brent Spiner sont très convaincants dans leurs rôles. Bref, c’est à voir…

Premier Contact est un très bon Star Trek. Le thème de l'assimilation d'une race par des entités extraterrestres n'est pas tout à fait nouveau mais son exploitation ici est plutôt pas mal vue. On assiste également, par un jeu sur le voyage dans le temps, à la première fois que l'homme a atteint la vitesse lumière et à sa première rencontre avec une intelligence extraterrestre (d'où le titre). Un Star Trek bien ficelé, riche et intelligent, et qui ne lésine pas sur les effets spéciaux et autres batailles dans l'espace.

C'est ennuyeux et nul

Moyen, moyen. Pas trop fan de Star Trek il faut dire.

Certainement le film le plus réussi des quatre en rapport avec la next génération, Premier contact reste néanmoins peu abordable pour qui ne connait pas l'univers de Star Trek. D'autant plus que les personnages des Borgs ne sont apparus que dans la série Next Generation (longtemps inédite en France à la TV et diffusée anonymement sur W9). Le film en profite pour raconter un point primordial de la mythologie ST, selui du premier contact avec les Vulcains (conséquence qui formera bien plus tard Starfleet et la Féderation des Planètes). Ici, ce n'est pas la réalisation classique qui prime, mais surtout l'intérêt de l'histoire. Le scénariste respecte l'univers et connait son sujet (ce qu'il ne fera pas dans les films suivants, avant le reboot). Le dernier bon film Star Trek avant longtemps, malheureusement pour nous, les fans.

Sans nul doute le meilleur Star Trek de la Next Generation, et certainement un des meilleurs des 12 films. Jonathan Frakes maîtrise l'univers Star Trek et le prouve. Ici tout y est et nul doute, on y est ! La mise en scène, l'efficacité des scènes et de leur enchaînement... Les Borg, Cochrane sont des éléments qui pourraient perturber le néophyte mais l'ensemble est suffisamment bien expliqué pour que le film puisse être suivi même si c'est le premier Star Trek qu'on voit de toute sa vie, séries et films confondus... Et à la différence d'autres films comme Insurrection (X) ou The Voyage Home (IV), ce n'est pas une intrique d'épisode qui est traitée, mais bien l'intrigue plus lourde et marquante d'un vrai film Star Trek plutôt qu'un gros épisode au cinéma. L'amateur de Star Trek ne peut qu'être comblé d'assister au First Contact entre des Vulcains et des Terriens et ce film là peut-être vu et revu, il ne lasse jamais car il contient l'étincelle de Sir Rodenberry.