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Un visiteur
4,0
Publiée le 12 janvier 2009
Très bon film. Enfin autre chose que ce que l'on nous sert depuis tant d'années. Bravo évidemment aux acteurs. Sachez toutefois que, selon moi, le numéro 2 est encore un brin meilleur.
Ces hommes on les aimes, on les cotois tous les jours et Esposito nous le montre bien, "le coeur des hommes" à son caractère et il n'est pas que fondant ... Merci.
Réalisation Moyenne, scénario qui passe, le coeur est homme est un film plus ou moins macho, qui montre les mauvais côté de l'être humain, et qui sont vrai, mais qui sont faux pour certaines personnes, un macho pour les macho.
Voici un film tout simplement magnifique et toute sa qualité repose sur son quatuor de grands acteurs qui jouent avec autant de simplicité que de profondeur.Les quatre personnages sont très attachants ,les dialogues sont d'une très rare qualité.Et même si il n'y a pas de scénario explicite ,tout est mis en scène d'une manière somptueuse.C'est bien la preuve que l'action n'est pas nécessaire pour passer un bon moment car on ne s'ennuie pas un seul instant à tel point qu'on en redemande à la fin.
Le Cœur des hommes a connu un joli succès en 2003, attirant plus de 1,5 millions de spectateurs en salles. Il est écrit et réalisé par Marc Esposito, ancien fondateur des magazines de cinéma Première et Studio qui symbolise cette tendance de voir des journalistes passer derrière la caméra. Le Cœur des hommes est un film très sympathique sur la vie de quatre quadragénaires issus de quartiers populaires. On suit leurs engueulades (pour un ticket de loto ou une fille), leurs rigolades, leurs frustrations, leurs angoisses, leurs envies, leurs besoins. Dans ce genre de films ce qui est important, c'est d'avoir des acteurs talentueux et des répliques qui claquent. Là, ça tombe bien, on a les deux. On retrouve des comédiens d'origine diverses : le crooneur Gérard Darmon, le chanteur Marc Lavoine, l'ex-inconnu Bernard Campan et Jean-Pierre Darroussin l'acteur fétiche de Guédiguian. Marc Lavoine hilarant en obsédé sexuel et Bernard Campan touchant, dans un nouveau rôle dramatique, de cocu après Se souvenir des belles choses sortent du lot. Les présences féminines sont réduites à être des seconds rôles. Mention spéciale à Florence Thomassin (Juliette) qui joue la copine frappa dingue de Manu. Au casting figure également Ludmila Mikaël, Fabienne Babe, Catherine Wilkening qu'on a pu voir ici ou là fin des années 80, début des années 90 ainsi que la belle Zoé Felix. Un film, à regarder avec sa copine, que l'on suit avec le sourire aux lèvres du début à la fin et qui donne envie de boire un coup entres potes à la fin.
Il y a près de 30 ans, Yves Robert réalisait l'exploit, avec Un Eléphant Ça Trompe Enormément, de réunir 4 acteurs talentueux crevant l'écran d'une amitié palpable et contagieuse. Exploit difficile donc, mais que réitère 3 décennies plus tard Marc Esposito dans Le Coeur Des Hommes en rassemblant ce quatuor improbable : Marc Lavoine (génial), Bernard Campan, Gérard Darmon (irrésistible) et Jean-Pierre Darroussin (touchant). Et ça fonctionne à merveille!!!!
Ce film est tour à tour très drôle, émouvant, jouissif : on vit avec les personnages, plus vrais que nature. Et s'il ne parvient pas toujours à éviter l'écueil de la mièvrerie (en particulier en ce qui concerne la BO), cela ne saurait en aucun cas dominer le plaisir incontestable qu'on peut prendre à s'attabler avec cette bande de potes, à les voir évoluer, nous faire marrer et nous toucher.
Et tout comme la référence d'Yves Robert, le plaisir est plus intense encore à chaque vision. Chapeau, monsieur Esposito, pour avoir réussi ce petit tour de force et pour nous avoir procuré un plaisir rare.
Un film plus que moyen. Malgré un bon casting avec des dialogues assez bien. Ce film n’a rien d’exceptionnel, rien d’original et un film qui est parfois ennuyeux.
Film moyen. Quelques passages sont drôles, la confrontation entre les personnages de Marc Lavoine et Bernard Campan, entre l'infidèle et le cocu, est intéressante. Mais c'est un peu près tout, le reste a tendance à nous bercer dans les bons sentiments (oh le pauvre! son papa est mort, et puis tout est bien qui finit bien).