Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
On a beau voir d'ici les mauvaises langues réduire Nous étions libres à une version Canada Dry du Patient anglais, impossible cependant d'en vouloir à John Duigan, assurément l'un des intermittents du cinéma bis les plus débrouillards et sympathiques du moment.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) on n'est pas dupe du caractère hollywoodien de la reconstitution, mais on ne s'ennuie pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Dans NOUS ETIONS LIBRES, tout semble fait à moitié, sans la moindre prise de risque, un comble pour un film sur la liberté et l'audace. Jamais dans sa mise en scène le cinéaste ne tente quoi que ce soit d'ambitieux. (...) Mais ce qui agace le plus, c'est le travail de reconstitution du Paris des années 30. Sur des airs d'accordéon savamment choisis, Duigan nous trimballe dans des décors factices et sans âme où les figurants en font trois tonnes pour paraître crédibles, sans bien sûr y parvenir.
Ouest France
par La rédaction
L'entreprise n'a pas beaucoup d'originalité, et guère plus de caractère. Mais si Stuart Townsend est visiblement un peu à l'étroit dans l'affaire, on peut avec lui soupirer entre Penelope et Charlize, lesquelles ne rechignent pas à la tâche.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Olivier Pélisson
(...) cette bluette un peu longue n'a pas de relief. Entre romantisme lisse, érotisme chic et sadisme rétro, les personnages défilent tels des marionnettes animées dans des vignettes.
Aden
par Philippe Piazzo
Une fresque patapouf où les femmes sont belles comme dans une publicité pour cosmétiques et où l'on parle de liberté comme dans un roman de Barbara Cartland.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
par Richard Gianorio
Une romance qui enfile des clichés au kilomètres. (...) Un mélo situé à Paris et dont le scénario semble avoir été rédigé par une petite main de la collection Harlequin.
Libération
par Gilles RENAULT
Une fresque romantico-historique autopropulsée sans ciller "dans la lignée de Casablanca et de Docteur Jivago", qui, sur fond de Lucienne Boyer ("Parlez-moi d'amour / Redites-moi des choses tendres..."), prise en otage dès le générique, repousse avec une conviction (...) touchante les limites du ridicule.
Première
par Gérard Delorme
Entre un script à la Harlequin et la peinture involontairement comique de Paris reconstitué en studio à Montréal, le film a beaucoup de mal à trouver une identité et, encore plus, à susciter l'indulgence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La rédaction
Mielleux et pleins de clichés, le film est à peine sauvé par le charme de Charlize Theron.
Télérama
par Ophélie Wiel
Le réalisateur a bien révisé ses leçons d'histoire (...). On le sent fasciné par cette période agitée, mais il ne sait en exalter le romantisme qu'à coup d'énormes clichés. Et au fil d'un exposé si scolaire qu'il finit par ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
On a beau voir d'ici les mauvaises langues réduire Nous étions libres à une version Canada Dry du Patient anglais, impossible cependant d'en vouloir à John Duigan, assurément l'un des intermittents du cinéma bis les plus débrouillards et sympathiques du moment.
Le Monde
(...) on n'est pas dupe du caractère hollywoodien de la reconstitution, mais on ne s'ennuie pas.
MCinéma.com
Dans NOUS ETIONS LIBRES, tout semble fait à moitié, sans la moindre prise de risque, un comble pour un film sur la liberté et l'audace. Jamais dans sa mise en scène le cinéaste ne tente quoi que ce soit d'ambitieux. (...) Mais ce qui agace le plus, c'est le travail de reconstitution du Paris des années 30. Sur des airs d'accordéon savamment choisis, Duigan nous trimballe dans des décors factices et sans âme où les figurants en font trois tonnes pour paraître crédibles, sans bien sûr y parvenir.
Ouest France
L'entreprise n'a pas beaucoup d'originalité, et guère plus de caractère. Mais si Stuart Townsend est visiblement un peu à l'étroit dans l'affaire, on peut avec lui soupirer entre Penelope et Charlize, lesquelles ne rechignent pas à la tâche.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
(...) cette bluette un peu longue n'a pas de relief. Entre romantisme lisse, érotisme chic et sadisme rétro, les personnages défilent tels des marionnettes animées dans des vignettes.
Aden
Une fresque patapouf où les femmes sont belles comme dans une publicité pour cosmétiques et où l'on parle de liberté comme dans un roman de Barbara Cartland.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Une romance qui enfile des clichés au kilomètres. (...) Un mélo situé à Paris et dont le scénario semble avoir été rédigé par une petite main de la collection Harlequin.
Libération
Une fresque romantico-historique autopropulsée sans ciller "dans la lignée de Casablanca et de Docteur Jivago", qui, sur fond de Lucienne Boyer ("Parlez-moi d'amour / Redites-moi des choses tendres..."), prise en otage dès le générique, repousse avec une conviction (...) touchante les limites du ridicule.
Première
Entre un script à la Harlequin et la peinture involontairement comique de Paris reconstitué en studio à Montréal, le film a beaucoup de mal à trouver une identité et, encore plus, à susciter l'indulgence.
Rolling Stone
Mielleux et pleins de clichés, le film est à peine sauvé par le charme de Charlize Theron.
Télérama
Le réalisateur a bien révisé ses leçons d'histoire (...). On le sent fasciné par cette période agitée, mais il ne sait en exalter le romantisme qu'à coup d'énormes clichés. Et au fil d'un exposé si scolaire qu'il finit par ennuyer.