Avis : Le Nombre 23 - Page 9

Un côté philosophyque catastrophique. Une Jim Carrey pas dans sont role. On ne peut pas dire que ce film m'a marque bien au contraire. Des incoherence pour le scénarios de la longueurs etc....

Autant de bonnes idées pour au final aussi peu d'intêret...un scénario bizaroide, mal maîtrisé et souvent peu crédible...dômmage le talent de Jim Carrey est là et apporte finalement un peu de relief à ce film qui ne peut avoit qu'une prétention: offrir une demi heure finale réjouissante après une heure et quart aux abords du ridicule!

Un thriller décevant pour un sujet alléchant qui mène finalement vers... pas grand chose. La folie qui nait autour du nombre 23 reste vague et la mise en scène pseudo branchée de Schumacher, en partie pompée sur L'Effet Pappillon (il nous avait déjà fait le coup avec Phone Game, qui copiait David Fincher) ne rattrape pas la mise. A voir à la rigueur pour Jim Carrey toujours impeccable.

Un sujet très interéssant et un casting judicieux : c'est ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout. Seulement, c'est Monsieur Schumarer qui est au commandes et, une nouvelle fois, le gourrou tente de nous fasciner à coups de frime clipesque, et de frissons forcés. Et tant pis pour les incohérences, les cafouillages et et les explications manquantes.
Confié à un réalisateur comme Aronofsky ou Polanski, un tel sujet aurait facilement atteint le statut de culte.

Un gros budget, qui aurait dû être investi dans une cause plus noble, commme par exemple payer des cours de français à "Kiterboy", dont la critique postée non loin avant la mienne, me désole.

On entre bien dans le film dès le générique (en partie grace à la musique (la seule a retenir de la B.O.)) et au fur et à mesure que le film avance on reste sans émotion. Car la réalisation se contente de nous livrer quelques plans séquence numérique et de montage temporel, mais Schumacher (comme dans la plupart de ses films) se contente de nous montrer un univers qui ne lui correspond pas. On navigue entre séquence saxo-pluie à la "Sin-City" et recherche d'une signification inutile à la "Da Vinci Code". On a malheureusement du mal a s'integrer dans le film et il devient plus sujet de rigolades (a chercher le numéro 23 partout) qu'une mémoire de bon film.
On ne peut garder de ce film que l'interprétation de Jim Carrey, incroyable, il se surpasse a chaque nouveau film, de quoi nous faire oublier des "Menteur-Menteur" ou des "The Grinch"

Ce film sombre est une bonne illustration de la folie. Il s'inspire de films tels que Angel Heart ou la boite noire.
Ceci dit, la réalisation est brouillonne et confuse et les dialogues souvent sans intérêt. On se perd vite dans le film en même temps que Jim Carrey.
La 1ere partie mettant en scène le roman est trop fantasmée et aurait gagné à être raccourcie.
Bref, le nombre 23 est un film que l'on pourra vite oublier.

Pffffff tout ça pour ça !!!! Quel ennui !!! Si l'idée de départ est plutôt originale, son traitement est complètement raté ! Tout est prétexte à trouver le nombre 23 et ça part dans tous les sens, ça n'a plus ni queue ni tête ! Et le pire vient vers la fin quand le détail le plus insignifiant rend suspect n'importe qui !! Du coup tout le monde y passe, même les animaux !!!
Au final, on peut se demander ce qu'est venu faire Jim Carrey dans cette galère, sa très bonne prestation passe presque inaperçue !

Après avoir fait de nombreuses comédies Jim Carey s'amuse à changer de plus en plus de registre. Il nous livre ici une bonne prestation mais hélas desservi par un scénario bancal qui mêle amnésie folie et un nombre mystérieux, c’est un peu léger !

C'est mou, le jeu d'acteurs n'est pas très bon et pas mal de répliques sont risibles. Allez, 1 étoile pour les 10-15 dernières minutes...

Que dire de ce thriller inule. Pourtant parti d'un bon scénario ce film est décevant. Il nous fait patienter pas moins de deux heures pour finalement ...... rien!
Mais quand même 1 étoile pour souligner la remarquable interprétation de Jim Carrey qui n'a apparemment pas tiré le bon numéro!

Une déception au final malgré des plans léchés pendant la lecture du livre, et une idée de base surprenante, mais la fin conventionelle et des incohérences dans le scénario plombe le film...Jim Carrey s'en sort avec les honneurs comme d'habitude, puisque c'est un grand acteur aux mimiques facial hors du commun!
Conclusion s'est divertissant mais on y retient rien!

L'histoire ne tient pas debout...
Si vous aimez les chiffres regardez plutôt "des chiffres et des lettres" dont le film semble librement inspiré... :D

Décevant. Retrouver Jim carrey dans un nouveau thriller numérologique et ceci orchestré par Joel Schumacher ( entre autre " Phone Game") était pltôt "appétisant". Et pourtant.;le film d'bute bien mollement. Très vite, on risibles les associations faites au nombre 23.
N'importe qui pourrait en faire de semblables. 23: le nombre d'élève que nous étions en classe de 3°6! 23: l'âge que j'aurais dans 3 ans! 23% des internautes surfent avec Firefox! Le 23 avril 1616, disparaissaient Cervantes, Shakespeare et Garcilaso de la Vega! (merci google ^^) etc...
Biensûr le chiffre 23 ne s'atteint pas si facilement..Il y a également des maths dans ce film! Je rassure les moins vaillants..Pas besoin d'avoir fait maths spé pour comprendre. J'habite au 1814! 1+8=9 +14= 23! Aie dangereux alors ?!
En sommes ce jonglage de chiffres " diaboliques " dans une ambiances sombre, est facile et perd rapidement en crédibilité. Perdant également le spectateur au passage.
Une étoile tout de même pour le dénouement final qui, sans rien vous dévoiler biensûr, rattrape un peu le " néant" du film.
Et puis..23 à l'envers ca donne 32. 3-2= 1
La fameuse étoile de ma critique ! ^^

Le sujet aurait pu faire un bon film, ce qui n'est, hélas, pas le cas: malgré un Jim Carrey qui fait ce qu'il peut, l'histoire (surtout la dernière demi heure) est complètement invraisemblable voire ridicule et la mise en scène assez insupportable...

Jim Carrey est l’un des rares acteurs dont j’aime suivre la carrière, cela sera un plaisir non dissimulé de le voir dans le prochain Tim Burton (Believe it or not). Mais en attendant, peut-être faut-il que je regarde de manière plus objective sa filmographie car sa dernière grande interprétation (je n’ai pas vu ETERNAL SUNSHINE ….) remonte à MAN OF THE MOON. Le nom du réalisateur Joel Schumacher ne m’est pas inconnu puisqu’il a réalisé les épisodes 3 et 4 des Batman. Le monde d’Hollywood est décidemment petit.
Pour en venir au film, qui réunit Jim Carrey et Joel Schumacher, LE NOMBRE 23 est le fruit typique d’une production de série B qui rappelle des bribes de films dans sa construction (Lynch et Mullolhand Drive, Angel Heart, Memento) avec les clichés du fils suivant son père, l’épouse pleine de compassion, un cadavre qui disparaît, un chien maléfique (ou perçut comme cela) et dont la réalisation tente souvent un croisement entre le clip et l’ambiance lynchienne.
Walter se voit offrir par sa femme, en cadeau d’anniversaire un livre à la couverture rouge (comme les murs de chez lui) avec pour titre ‘le nombre 23’ qui va le plonger dans l’obsession et le pire des cauchemars. Toute la panoplie des personnages, des fausses pistes vont être présentées avec l’utilisation de techniques cinématographiques : blanc surexposé, couleur rouge présente, image tremblante, ambiance d’un monde parallèle ou rêvée, en même temps que l’histoire avance. On se lasse et le temps paraît long. La fin peut même être traitée de ridicule dans cette volonté de voir triompher le bien et la justice.
L’interprétation de Jim Carrey n’est pas en cause, bien que sa voix de la version française soit difficilement supportable. Le fait est, que l’on ne peut croire en son personnage, pas plus que cette obsession des chiffres. LE NOMBRE 23 : 2+3 = 5, c’est la somme minimale que vous pouvez économiser en n’allant pas voir ce film.