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Un visiteur
0,5
Publiée le 2 mars 2007
Rien que le générique est à vomir... jamais vu un truc aussi frustrant que ces flashs d'informations que vous n'avez même pas le temps de lire. Le début du film est atrocement long, je dois m'être endormi deux ou trois fois... Ensuite Virginia Madsen a crié un bon coup et j'ai espéré que ça allait un peu s'emballer... à tort. Un type est sorti de la salle en plein milieu, j'ai résisté à la tentation de le suivre. Il est revenu un peu plus tard, et je me suis demandé quel genre de masochiste pouvait accepter de se ré-infliger ce navet volontairement. Donc le scénario est minable, les scènes sont réchauffées (mention spéciale à la reprise quasi intégrale de l'image de Sam Neil recroquevillé dans un coin recouvert de graphitis dans l'Antre de la Folie de Big John par un Jim Carrey clownesque)l'intrigue atrocement prévisible... En un mot, une purge. Quand on se rappelle que Schumacher était déjà coupable de Batman & Robin, évidemment,on se dit qu'on était prévenus... mais ça choque quand même! Et il y en a pour le défendre... ça craint.
Un bon navet de chez navet.Long, ennuyeux, imvraisemblable, scénario complétement décousu... J'ai du mal à comprendre les personnes qui ont mis 4 étoiles...
A l'origine nous devions aller voir "Le dernier roi d'Ecosse"...Arrivé un peu à la bourre, 10 mn avant (non, pas 23, pourquoi ?), plus de place ! Damned ! Bon sur quoi se rabattre ? Bof, pas grand chose de pas encore vu...Allez c'est parti pour "Le nombre 23" malgré la présence de Jim Carey...23 mn après le bébut de film : c'est commencé là ? c'est plus les pubs ? Ha ben non...Au final celui qui me faisait hésiter est finalement la chose correcte du film. T'es en progrès Jim, mais choisis mieux tes films...Le scénario est invraisemblable, la mise en scène plus que molassone ou alors carrément alambiqué et le champion du monde "des chiffres et des lettres" trop présent dans le film. On pense à "Angel heart" (en beaucoup beaucoup moins bien), à "L'expérience Interdite" en à peine plus mauvais (difficile pourtant...)...et on ne comprend rien au pourquoi du comment de la malédiction du nombre 23 Une fois le film terminé (ouf), on se dit qu'on est vraiment bon public pour ne pas s'être endormi devant ce navet totalement incohérent. En tout les cas, moi, je n'ai toujours pas vu "Le dernier roi d'Ecosse", et c'est ça la vraie malédiction.
DAUBE ! Pardon mais Jim Carrey est atrocement mauvais ! (au passage fuyez la VF !! Enfin non, fuyez le film tout simplement) et les dialogues sont honteusement risibles ("parce que je t'aime..." dans la scène finale). A mon avis, la plus grosse difficulté pour le scénariste aura sûrement été de trouver le plus de manières différentes de caser le chiffre 23 dans la vie du héro. Addition, soustraction, le compte est bon, on compte les voyelles et les consonnes on divise le tout par lâge du capitaine et hop, on tombe sur 23, ou 32, où un dénominateur commun, nimporte quoi qui fait laffaire pour nous faire gobber que ce maudit chiffre est partout. Exemple avec une des protagonistes du film sappelle Rose. Hors, le rose, cest du rouge plus du blanc (red et white en anglais). RED = 27, WHITE = 65 (avec A= 1, B = 2 ) 27 + 65 = 92. Hors ROSE a 4 lettres. 92/4 = 23. MORTEL NON ? Comme dirait Grimaldi dans la Cité de la Peur : «on sait pas ce que ça veut dire mais les types des chiffres et des lettres sont dessus». Ca me rappelle le pétage de câbles de Christophe Dechavanne avec sa thèse conspirationniste sur le 11 Septembre basée sur les chiffres : 11 Septembre = 9/11. 9+1+1=11. 254e jour de lannée : 2+5+4=11. 111 jours avant la fin de lannée. The Pentagone = 11 lettres. New York City = 11 lettres. Vol 11 avec 92 passagers (9+2=11). Bref, jen passe et des meilleurs. Au final, on tombe sur de la paranoïa à l'extrême ! Une histoire de numérologie à 2 euros cinquante, mention spécial au 2/3 = 0,666 (chiffre du diable) qui m'a fait hurler de rire...Du foutage de gueule pur et simple !
Les rôles à contre-emploi sont l'occasion pour les acteurs de prouver leur valeur dans d'autres registres. Jim Carrey réussissait l'épreuve brillamment dans le bouleversant Truman Show. Il revient dans un rôle encore plus sombre avec Le nombre 23. Et ce dernier passe malheureusement totalement inaperçu. Désastre cinématographique à la réalisation ratée, au scénario grotesque et à la révélation finale hilarante malgré elle, ce long-métrage est une énorme tâche dans la filmographie de Jim Carrey.
Shumacher filme avec une truelle une histoire acadacabrante où rien ne colle, où les personnages n'ont aucune épaisseur et où le scénario convenu est prévisible dès les premières minutes. A coup sûr un des nanars de l'année, même pas drôle.
Ce film est une daube sans nom. Le scénario est totalement tiré par les cheveux. Le nombre 23 se retrouve partout. haannnn ça fait peur. Sauf que n'importe qui vous trouvera le nombre 666 ou vous voulez, ou le nombre 42, ou n'importe lequel. Ca nous fait une belle jambe qu'il y ait des 23 partout... Jim Carrey est honorable mais ne peux pas parvenir à sauver un film plombé par un scénario aussi nul. N'allez pas le voir !
Film qui n'est pas nul ... non ... juste risible. Tout sonne faux, tout est superficiel, du scenario aux dialogues en passant par les acteurs. Je suis fan de Jim Carrey, c'est un grand acteur sous-estimé, mais dans ce film il est navrant. Comme le reste : les scenes de sexe par exemple (avec les personnages encore habillés, ca va de soi, bienvenue à Hollywood) sont d'une betise !! C'est creux, ca tourne en rond, revoyez Phone Game ou l'eexcellent Chute Libre plutôt que ce nanar.
C'est l'histoire d'un bouledogue qui court vers un cimetiere après avoir mordu un monsieur qui voulait l'attraper. Mais, ce bouledogue, que fait-il dans le film? que celui qui à trouver une réponse me la fasse parvenir. Des protagonistes qui n'ont aucunes utilités dans un scénario n'ont rien à y faire. Et puis quelle coincidence de se retrouver nez à nez avec ce bouquin, au hasard d'une bibliothèque. Ben oui , il fallait bien que le film commence quelque part! et quelle chance de retrouver intactes les affaires d'un ancien malade mental dans une clinique complètement détruite! et puis ne parlons pas des figures de style artistiques qui n'ont aucun interêt.
déception. cela tiens vraiment trop du monologue et le coup du nombre n'est guère crédible. un mec qui fais des additions ou autes ça va un moment mais là. ça se conclut pas trop mal mais vraiment trop de déchets dans l'ensemble. y'avait pourtant du potentiel...
23 pour reprendre la critique du Parisien , ça fait aussi 2+3=5 , et 5 sur 20 c'est une note que ne merite meme pas ce navet hollywoodien , un film incomprehensible , tarabiscoté , sans queue ni tete , très mal joué , une bande son et une photo très mauvaises , une pâle copie de grands films tels Shining , L'Effet Papillon , Mémento , qui n'a strictement aucun interet!!! Le nanar de ce début d'année , 1h40 d'ennui féroce
Bâtir tout un film autour de l'idée saugrenue qu'un nombre peut régir notre vie : un concept tordu à la base qui aurait demandé un minimum d'inspiration et de psychologie. Les pistes sont nombreuses : conspiration ? Symbolisme paranormal ? Délire obsessionnel ? Pas de chichi ici, on nous sert tout ça ensemble, dosé à la louche, avec en prime de la pensée new age fumeuse, une intrigue policière et des rebondissements pour bien faire passer la pilule et éviter l'endormissement ; après, au téléspectateur de se débrouiller à démêler les (grosses) ficelles d'une histoire qui part dans tous les sens. Joel Schumacher, peu réputé pour sa finesse derrière la caméra, nous filme le tout de la façon la plus pesante et outrancière qui soit, usant d'écrans de fumée, d'effets de styles appuyés, de couleurs saturées, d'ambiances vomitives. A éviter après un repas copieux !