Derniers Avis : Le Nombre 23 - Page 6

Jim Carrey, protagoniste d'un film sombre, et dirigé par le réalisteur de l'excellent 8 mm! L'affiche était séduisante mais la recette ne fonctionne pas. Quelques petites incohérences perturbent le scénario pourtant très prometteur et de petites longueurs finissent de rendre ce film très moyen!

Tres moyen...Un scenario sorti d'on ne sait ou...Mais 1 etoile parceque le film a reussi a m'occuper 1h30 dans un avion (^^)

Un précepte de base original, de bons acteurs (quel plaisir de revoir Melle Madsen...) et un film décevant au possible.

La faute n'incombe ni à Carey ni à Madsen mais bien à la réalisation et au scénario sans queue ni tête de ce thriller de bas étage.
Schumacher a toujours été capable du pire et du pire, et il semble ici particulièrement en forme. Pensez... en premier soit il n'a pas de chance soit il ne sait pas lire puisque le scénario ne tient plus à des ficelles mais bien à des lianes ; deuxio, quelle idée d'aller nous pondre une esthétique genre mariage entre Crying Freeman et Sin City qui rend le film presque imbuvable lors des scènes 'livre' pour ensuite aller piquer dans celle d'un Seven qui aurait été victime d'une soustraction.

Ajoutez à cela une des fins les plus mièvres de ces dernières années et vous aurez le beau nanar dont je vous parle. Intéressant non ?
Je comprend l'envie naturelle de Jim Carey de vouloir sortir de temps en temps des sentiers qu'il a lui-même contribue à battre mais ici il aurait mieux valu s'abstenir (et changer de coiffure, indice, peut-être le même coiffeur que Tom Hanks dans DaVinci Code ?).
Joel et Jim, c'est tout sauf du bon cinéma.

Man in the book.
La polémique suscitée par ses films est la griffe du cinéma de Joel Schumacher ("L'expérience interdite", "Le droit de tuer ?", "8 mm"). "The Number 23" en est le parfait exemple. Il nous entraîne sur les pas de Walter Sparrow (Jim Carrey), employé dans une fourrière animale, qui reçoit le jour de son anniversaire, de sa femme Agatha (Virginia Madsen), un roman intitulé "The Number 23". Déjà, sa date de naissance (le 3 février) est en corrélation avec ce nombre mystérieux. Au cours de sa lecture, il se trouve des similitudes troublantes avec le "héros" du bouquin, qui semble avoir vécu les mêmes épreuves traumatisantes, dont le paroxysme est l'assassinat sanglant de sa mère. Ce livre, qui se termine étrangement, et sans fin..., par le chapitre 22, lui permet de réveiller un passé obscène, qui trouvera son issue dans la chambre 23 d'un hôtel glauque. Grâce à sa femme, qui connaissait les tenants et les aboutissants de cette sombre affaire, il aura subi la meilleure des thérapies pour, soi-disant, repartir à zéro... Tellement réducteur ! Une contrefaçon ignoble du génial "Memento" de Christopher Nolan.

0+0+0+0 = 23 ... comme quoi, même sans chercher, on arrive toujours à ce chiffre !!! Au secours ! C'est vraiment mauvais...dommage j'avais bien aimé phone game, du même réalisateur.

Schumacher nous montre une fois de plus qu'il est incapable de faire un bon film et que le mauvais goût fait parti intégrante de sa carrière. Malgré tout, je crois qu'il va encore récidiver...

Jim Carey s'essaye au Triller... mais ce n'est pas vraiment un succès. "Le nombre 23" est un peu long, très long même. Et il faut le revoir plusieurs fois pour en comprendre les grandes lignes et le sens.
Ce film met parodie également la peur populaire des numéros : la peur du chiffre 7 et 9, chiffres du Diable, du chiffre 13, synonyme de malheur etc...
Je t'en prie Jim, revient à la comédie.
A voir au moins une fois.

malgré une bonne histoire, j'ai trouvé que le film ne tennait pas la route meme si jim carrey nous montre d'autre facette de son jeu. a voir quand meme.

Jim Carrey dans un thriller, c'était tentant, même si le film était de Schumarer, sait on jamais, Michael Bay nous avait fait un très bon "The Island", peut être la même chose pourrait arriver.
Mais non, le scenar est pas mal mais l'equipe prend vraiment le public pour des imbéciles, ils ne veulent pas nous faire refléchir, nous faire mener notre propre enquête. Au lieu de ça, il nous envoient des flashback inutiles, je dirait même lassant. Ajoutez a cela un doublage français médiocre ( même pas Emmanuel Curtil comme doubleur pour Jim, tssss ), un jeu d'acteurs pas du tout crédible, et une chute naze. quelques effets visuels sympathiques cependant et des jeu de lumières assez jolis, l'histoire en elle même est interressante, j'entends la version finale... a voir si vous n'avez rien a faire un dimanche aprem pluvieux et que le DVD traine sur la table basse.

Un film qui m'a vraiment décu je me suis vraiment ennuyé pendant ce fim jétais sur le point de m'endormir. Sérieusement je m'atendais a beaucoup mieux, je ne le reverrais pas ce film ca c'est sure.

Ouais... Certes le scénario est bien réussi et Jim Carry surprend encore une fois avec un rôle plutôt innatendu et très bien interprété. Mais dans le fond, c'est assez prévisible et tout est pretexe à trouver le nombre 23 partout. On aurait pu le faire avec n'importe quel autre. L'idée de départ était pourtant bonne mais assez mal exploitée par la suite.

Quelle déception ! Après avoir vu la bande d'annonce, j'avais hâte de voir le film et finalement, y'a pas grand chose à voir ou à retenir. L'histoire d'un mec complètement parano, c'est pas transcendant je trouve. Très déçu !

Terriblement deçu... Le film avait de quoi cartonner avec un bon sujet mais finalement le scénario est vraiment mauvais. Le final est peu crédible et prévisible. Joël Schumacher tente de rendre l'ambiance original, un peu à la Sin City et c'est au final vraiment râté. La narration est mauvaise et le montage très mal foutu par moment. Non franchement le nombre 23 est un film très mauvais et vraiment ennuyeux. Reste juste la performance de Jim Carrey mais c'est bien là l'unique point fort et dieu que c'est maigre pour un film. À fuir donc...

On entre bien dans le film dès le générique (en partie grace à la musique (la seule a retenir de la B.O.)) et au fur et à mesure que le film avance on reste sans émotion. Car la réalisation se contente de nous livrer quelques plans séquence numérique et de montage temporel, mais Schumacher (comme dans la plupart de ses films) se contente de nous montrer un univers qui ne lui correspond pas. On navigue entre séquence saxo-pluie à la "Sin-City" et recherche d'une signification inutile à la "Da Vinci Code". On a malheureusement du mal a s'integrer dans le film et il devient plus sujet de rigolades (a chercher le numéro 23 partout) qu'une mémoire de bon film.
On ne peut garder de ce film que l'interprétation de Jim Carrey, incroyable, il se surpasse a chaque nouveau film, de quoi nous faire oublier des "Menteur-Menteur" ou des "The Grinch"

Le principal intérêt du film réside dans sa façon de montrer comment peut naître une obsession. Sinon, ce n'est qu'un film sans grand intérêt, à l'esthétique parfois avantageuse (la maison peinte en rouge par exemple) et au dénouement plutôt surprenant bien qu'un peu convenu. Jim Carrey ne s'en tire pas trop mal.