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Votre avis sur Le Nombre 23 ?
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FaRem
Très bon film, Jim carrey tiens un rôle dont on a pas l'habitude de voir mais il s'en sort très très bien
Caine78
Incontestablement, le nombre 23 est manqué. Dommage, car les sujets abordés (la paranoïa, la folie...) étaient intéressants et auraient vraiment pu donner quelque chose. Hélas, Joel Schumacher (je continue néanmoins à croire qu'il n'est pas un mauvais réalisateur) fait preuve d'ici d'une très grande lourdeur, notamment dans certains effets, particulièrement épouvantables parfois. On s'ennuie même un peu parfois et il est vrai que l'on finit par avoir un peu mal à la tête, notamment à la fin du film, ou l'on comprend vaguement ce qui s'est passé, mais sans être convaincu, d'autant plus que les effets la aussi sont assez lourds. Dommage, car certaines scènes ne sont pas inintéressantes et le film démarrait pas mal. On est également peiné du manque de réussite du film par rapport à l'épatante prestation de Jim Carrey, qui aurait vraiment mérité de mieux. De plus, il y a un je ne ne sais quoi qui fait que l'ensemble est finalement à peu près regardable. On peut toutefois s'en passer sans trop de problèmes.
🎬 RENGER 📼
On lattendait de pied ferme, leau à la bouche, en se questionnant depuis des mois à savoir « A quoi pouvait ressembler Jim Carrey dans un thriller ? ».
Car pour lui, il sagit bel et bien là, de son tout premier thriller. Il quitte le monde trop joyeux de la comédie, après y avoir officié pendant des années (The Mask - 1994), (Dumb and Dumber - 1995) & (Bruce tout-puissant - 2003), il franchit le cap pour celui du drame, mêlant habillement thriller et paranormal.
Lui aussi attendu de pied ferme, cest Joel Schumacher (8mm huit millimètres - 1999) & (Phone Game - 2003), qui cette fois, nous revient avec un « thriller numérique ». Entre folies obsessionnelles compulsives et rêves étranges, on a droit à un savant mélange, qui hélas, a été mal dosé. En effet, Le Nombre 23 est accompagné dun scénario assez pauvre et relativement lent à la détente. Si bien que lon se retrouve vite à la dérive, quelque peut perdu entre tous ces calculs.
Tout compte fait, le seul atout du film réside dans linterprétation de Jim Carrey, qui se révèle une fois nest pas coutume, un acteur étonnant et très mystique !
Car pour lui, il sagit bel et bien là, de son tout premier thriller. Il quitte le monde trop joyeux de la comédie, après y avoir officié pendant des années (The Mask - 1994), (Dumb and Dumber - 1995) & (Bruce tout-puissant - 2003), il franchit le cap pour celui du drame, mêlant habillement thriller et paranormal.
Lui aussi attendu de pied ferme, cest Joel Schumacher (8mm huit millimètres - 1999) & (Phone Game - 2003), qui cette fois, nous revient avec un « thriller numérique ». Entre folies obsessionnelles compulsives et rêves étranges, on a droit à un savant mélange, qui hélas, a été mal dosé. En effet, Le Nombre 23 est accompagné dun scénario assez pauvre et relativement lent à la détente. Si bien que lon se retrouve vite à la dérive, quelque peut perdu entre tous ces calculs.
Tout compte fait, le seul atout du film réside dans linterprétation de Jim Carrey, qui se révèle une fois nest pas coutume, un acteur étonnant et très mystique !
selenie
Un Jim Carrey moins cloonesque pour une histoire intéressante. D'autres films ont utilisé ce filon du chiffre ; ici le nombre 23... Théorie fascinante s'il en est. Un film qui a tout pour faire un bon thriller mais au final c'est plutôt bancal. 1er bémol le scénario qui se casse la tête avec des flashbackstrop longs voir inutiles. 2nd bémol malgré un excellent twist à la fin on ne comprend pas pourquoi ses proches ont joué le jeu (mentir donc) si longtemps ?! 3ème bémol on ne sent jamais la montée en puissance de la folie qui reste sommes toute bien gentillet, on aurait préféré un délire paranoïaque de la puissance de Christian Bale dans "The Machinist". Jim Carrey surprend et est très bon mais le film manque de puissance, on reste un peu sur notre faim.
lhomme-grenouille
Pas un instant le film ne parvient à atteindre les prétentions quil affichait fièrement dans sa bande-annonce. Jamais nos cerveaux ne sont mis en ébullition par une quelconque prouesse numérologiste. Bien au contraire, on ne se limite quà une simple intrigue bien poussive qui ne décolle jamais et dont le dénouement est des plus artificiels. A éviter.
NeoLain
C'est un film vraiment interessant, qui centre sur la connaissance de nous-même. Jim Carrey nous plonge dans les chemins tortueux de la memoire et du vécu. Un Jim Carrey étonnant, bouleversant et sombre... Reste un malaise au niveau de l'histoire, qui faut le dire est dur a avaler, et aussi trop formater sur le fameux nombre 23 ( c'est limite le nombre 23 la star). Ce film avait tout pour etre excellent il reste juste bon.
gimliamideselfes
Un film qui prétend avoir un fond alors que même la forme est exécrable.
Mettez le peu délicat Joël Schumacher aux commandes d'un thriller fantastique au pitch franchement ridicule,et vous un obtenez un film indigeste,ultra-pompé,invraisemblable et même granguignolesque."Le nombre 23" s'attarde sur la théorie des chiffres qui régissent notre univers.A moins de croire aux sciences esotériques ou d'être un fan assidu d'Elisabeth Tessier,on ne peut que se moquer.Surtout quand le déroulement du film,très premier degré,balançe les sujets intéressants de la paranoïa et de la folie,pour faire dans le tortueux et l'ennuyeux.La mise en scène,indigne d'un téléfilm,alterne réalité et fiction retranscrite du livre que lit le personnage principal.Jim Carrey n'est pas à proprement parler à blâmer.Il joue avec un calme inhabituel,du genre tempête sous un crâne,mais il est balloté par Schumacher dans des situations sans queue ni tête.Aucun frisson,aucun intérêt.Un mystère qui trouve dans sa conclusion consensuelle et très morale une fin en queue de poisson.Virginia Madsen et Danny Huston ne sont ici qu'accessoires.Schumacher détruit toute vélléité permettant aux thrillers de ce genre,ceux à tiroirs,d'exister par leur simple artifice.
Bon, il y avait de l'idée... D'abord celle de l'obsession du nombre 23 qui revient souvent dans notre culture de manière surprenante que l'on soit paranoïaque ou non et puis aussi celle de confier à Jim Carrey un rôle purement dramatique. Et Joel Schumacher échoue. Mettons-nous d'accord, il est responsable de la mauvaise direction d'acteurs (Carrey lui-même ne convainc pas) et de la mise en scène vite fait mal faite mais il n'est pas responsable du scénario qui est un ramassis de clichés et de rebondissements auxquels on ne croit pas du tout et qui ne fait qu'intriguer au début. Une fois que l'on voit vers quoi le film va partir, l'intérêt s'évapore et il ne nous reste plus qu'à subir le restant du film en espérant que la fin nous surprenne. C'est seulement quand elle arrive que l'on se rend compte que l'on aurait dû arrêter le film depuis le début...
MaCultureGeek
Un film à l'ambiance pesante et oppressante mais qui part s'égarrer dans des délires qui ne font que détruire un scénario pourtant à la base original et assez bien ficelé. Il en résulte une oeuvre assez étrange; autant l'ambiance est plaisante, autant l'intrigue paraît baclée.
ffred
Bof bof ! Une déception. L'idée est bonne et aurait pu faire un bon thriller horrifique mais le traitement léger, avec de gros effets bien appuyés et qui pèsent des tonnes. Une fin politiquement correct qui aggrave un peu plus les choses. Un beau montage mais à part ça...Du bon Joel Schumacher quoi ! Le metteur en scène typique hollywoodien qui enchaine les films comme des perles depuis 25 ans, mais n'a pas encore sorti le moindre petit chef d'oeuvre. Jim Carrey fait une prestation plus qu'honorable, Danny Huston et Virginia Madsen s'en sortent pas trop mal mais un beau casting ne fait pas forcement un bon film ! A bon entendeur...Dans le genre thriller paranoïaque allez plutôt voir l'excellent Bug !!!
Julien D
La façon dont Joel Schumacher s’est réapproprié le mystère numérologique de la récurrence du chiffre 23 pour en faire une histoire tordue autour des troubles psychologiques d’un père de famille est particulièrement maladroite. Plutôt que jouer, comme l’a fait à sa manière Aronofsky avec cet autre chiffre énigmatique qu’est Pi, sur le pouvoir de fascination et les théories du complot qui entourent son sujet, Schumi s’en est uniquement servi pour justifier le basculement névrotique de son héros dans une improbable crise de paranoïa aigue. Le scénario tarabiscoté, dénué de subtilité et reposant sur des incohérences flagrantes ne parvient à faire partager au spectateur ni la peur du personnage principal ni les émotions confuses de son entourage. Pire que tout, alors que le système de mise abyme sur lequel repose le récit s’embourbe dans sa propre confusion schizophrénique, il ne s’en dégage qu’une impression d’assister à un grotesque brouillon de thriller fantastique trop désireux de se prendre au sérieux. On ne retiendra finalement de ce thriller capilotracté que la peine d’avoir vu Jim Carrey se donner vainement à fond dans la prestation la sombre de sa carrière sans jamais arriver à empêcher au film de s’élever au-dessus du niveau de navet insipide.
Le Nombre 23 : Un thriller des plus captivant et travaillé. Vraiment, je ne comprends pas toutes ces notes négatives car le film est maitrisé de toute pièce. Déjà, la réalisation est vraiment magnifique et la mise en scène très soigné. Et tout ça réalise par Joel Schumacher qui nous signe son meilleur film. Et grâce a cette superbe mise en scène. On a le doit à une ambiance de dingue : très dark, très glauque et inquiétante et assez fou. Qui colle parfaitement au scénario qui rend aussi fou le personnage que les spectateurs. Car, le film met l’accent sur l’obsession sur le chiffre 23 : après le film, ça ma donné envie d’en savoir plus donc le film est interactive (très bon point). Mais le scénario du film est aussi très intéressant et bien construit et surtout prenant du début jusqu'à la fin. Car, c’est un homme qui a une vie banale jusqu’aux jours ou il va lire un livre qui a trouvé par hasard (et certains 23 décembre). Et bizarrement, ce livre va avoir beaucoup de ressemblance avec la vie du personnage. Ce qui va l’attiré dans une grand machination et une obsession et une folie du nombre 23 qui est absolument partout dans le film (regardé bien). Et vraiment, le personnage va entrer dans une folie infernale qui va l’amené du chiffre 23 a une enquête des plus inquiétante. Jusuq’au twist final qui est pas si étonnant et spectaculaire que ça (car, on le vous souvent dans d’autres films). Mais, il est bien joué et un twist a toujours sont petites effets. Et pour finir, les personnages sont eux aussi très bien travaillé, surtout le personnage principal. Interprété par l’unique Jim Carrey qui joue a contre emploi dans ce film. On n’a pas l’habitude de le voir dans ce genre de film et c’est dommage car il vraiment énorme. Interprétation fiévreuse de sa part, vraiment chapeau : il est juste saisissant. Et les autres acteurs sont tous aussi convaincants. Donc voila, un thriller magistralement bien maitrisé car c’est prenant et le film joue avec nous. A voir que ça soit pour le scénario qui est génial ou pour la magistrale interprétation de l’unique Jim Carrey : bravo l’artiste.
Autant jouer cartes sur table tout de suite, le film est assez mauvais.
Il y a de plus un fond de psychologie de comptoir qui rend un peu amer son déroulement bancal sans cesse sur la corde raide.
Le Nombre 23 est à placer, dans votre filmographie de Schumacher, à coté d’autres « joyaux » du réalisateur, on peut citer Batman Forever (où lui et Jim Carrey était déjà sur le même plateau) ou le très réussi Batman & Robin. Dans tous les cas il ne peut être un bon film, ne serait-ce que par son scénario décousu (fait par un scénariste inconnu) , son script au ras des pâquerettes et un manque total de jugeote.
Il y a quoi de bon à retenir alors me direz-vous ? Jim Carrey n’est pas trop mal dans son rôle à double-emploi. Notons également au passage une photo correcte, réalisée par Matthew Libatique (Requiem For A Dream, Gothika, Iron Man).
Le reste est à rapidement oublier.
Il y a de plus un fond de psychologie de comptoir qui rend un peu amer son déroulement bancal sans cesse sur la corde raide.
Le Nombre 23 est à placer, dans votre filmographie de Schumacher, à coté d’autres « joyaux » du réalisateur, on peut citer Batman Forever (où lui et Jim Carrey était déjà sur le même plateau) ou le très réussi Batman & Robin. Dans tous les cas il ne peut être un bon film, ne serait-ce que par son scénario décousu (fait par un scénariste inconnu) , son script au ras des pâquerettes et un manque total de jugeote.
Il y a quoi de bon à retenir alors me direz-vous ? Jim Carrey n’est pas trop mal dans son rôle à double-emploi. Notons également au passage une photo correcte, réalisée par Matthew Libatique (Requiem For A Dream, Gothika, Iron Man).
Le reste est à rapidement oublier.
Ce film n'a aucun respect pour le temps du spectateur il prend une histoire de 15 minutes et l'étire en 95 minutes. Pour y parvenir il doit utiliser une narration très lente et faire courir tout le monde avec une angoisse frénétique invraisemblable. Le temps qu'il montre quelque chose d'intéressant dans l'intrigue je m'en fichais. Le problème n'est pas dans le jeu des acteurs mais plutôt dans le rythme car l'histoire est tout simplement faible. Jim Carrey est un acteur compétent mais ses tentatives d'injecter un humour léger dans un rôle sérieux sont tout simplement déplacées. Son style d'humour n'est pas générique et il apparaît comme une version édulcorée de lui-même. Le chiffre 23 cause beaucoup de chagrin et de frustration aux personnages de l'histoire mais sa justification n'est jamais logique car c'est simplement de la superstition. Jim Carrey a bien plus de capacités dans un rôle sérieux que ce film ne le révèle. Louez ce film si vous avez des problèmes de sommeil et si vous êtes encore éveillé après 10 minutes c'est que vous l'avez aimé plus que moi. Je n'ai pas aimé non plus l'éclairage et les aspects artistiques de la réalisation de Joel Schumacher. Un grand nombre d'effets visuels ont été jetés au spectateur avec des éclairages et cela n'a pas contribué à améliorer l'histoire déjà trop faible...
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